|   Dr. 
                  Leonard Horowitz :  Si la grippe aviaire devient réellement 
                  une pandémie redoutable, ce sera à la suite d’une 
                  volonté politique délibérée. Par 
                  cet article, nous pouvons être mieux informés sur 
                  le prochain génocide “médicalement assisté”, 
                  tout en nous confiant dans le Seigneur pour notre protection 
                  ! En avril 2003, nous avons déjà 
                  connu le SARS (Severe Acute Respiratory Disease, SRAS en Français), 
                  ou pneumonie atypique. Cette maladie nous venait également 
                  d’Asie, et frappa lourdement la région de Toronto. 
                  J’étais sur place pendant presque toute la durée 
                  de cette épidémie, qui annonçait la grippe 
                  aviaire actuelle. On a dit à l’époque que 
                  le SRAS était la dernière venue de toute une série 
                  de maladies nouvelles, provoquées par une série 
                  de mystérieux “super germes” mutants qui 
                  devaient frapper l’humanité. Une étude scientifique attentive des 
                  caractéristiques médico- sociologiques et des 
                  antécédents de cette épidémie a 
                  révélé quelque chose de bien plus insidieux 
                  que le SRAS proprement dit. J’ai considéré 
                  la réaction des médias comme doit la considérer 
                  tout diplômé de Harvard, expert en problèmes 
                  de santé publique et en techniques psychologiques de 
                  persuasion mentale. Car cette épidémie possédait 
                  toutes les caractéristiques d’une nouvelle expérimentation 
                  sociale conduite par des “bioterroristes” en blouse 
                  blanche. Il me parut clair que cette manipulation humaine 
                  sans précédent était destinée à 
                  endoctriner les masses populaires et à les manipuler 
                  subtilement, pour qu’elles soutiennent une politique de 
                  santé publique parfaitement inadaptée à 
                  la venue d’une pandémie massive, malgré 
                  toute la législation existante (1). Tout au long de l’épidémie 
                  de “pneumonie atypique,” les médias n’ont 
                  cessé de faire référence à des “agents 
                  bactériologiques” nouveaux, qui pouvaient provoquer 
                  la disparition du tiers à la moitié de la population 
                  mondiale. Ayant étudié à fond tout ce qui 
                  a été publié récemment en matière 
                  de contrôle de la population, ainsi que les objectifs 
                  actuels des principales sociétés industrielles 
                  multinationales, j’ai remarqué que ces “prédictions” 
                  correspondaient étroitement à certains objectifs 
                  officiels en matière de réduction de la population 
                  mondiale (2). En 2003, la lutte menée au Canada contre 
                  le SRAS, pour la première fois de l’histoire de 
                  ce pays, fut dirigée directement par les Nations Unies 
                  et par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). 
                  Pour avoir découvert les liens étroits qui existaient, 
                  sur les plans financier et administratif, entre les organisations 
                  suivantes, j’ai constaté que la famille Rockefeller, 
                  la Fondation Carnegie, et les principaux dirigeants de l’industrie 
                  pharmaceutique mondiale, ont contrôlé la recherche 
                  canadienne et la lutte menée au Canada contre cette épidémie. Aucune grande pandémie, ou épidémie 
                  à l’échelle mondiale, n’a jamais pu 
                  être séparée de son contexte économique 
                  et politique. L’épidémie de pneumonie atypique 
                  a fait avancer le programme politique du Nouvel Ordre Mondial 
                  beaucoup plus vite que tout autre problème de santé 
                  publique. Si les responsables politiques de la santé 
                  publique voulaient réellement prévenir ces épidémies 
                  nouvelles qui se produisent régulièrement, ou 
                  s’ils voulaient vraiment les traiter à la source, 
                  ils ne pourraient manquer de remarquer que ces agents bactériologiques 
                  dévastateurs sont toujours mystérieusement apparus 
                  au sein de structures secrètes associant certains milieux 
                  militaires, médicaux et de la biotechnologie. Il suffit 
                  simplement d’étudier la sociologie médicale 
                  pour s’en rendre compte. Cela fait des décennies que certains 
                  “experts” nous prédisent l’arrivée 
                  prochaine d’une super épidémie dévastatrice. 
                  Ce qui a aussitôt éveillé mes soupçons, 
                  en ce qui concerne la pneumonie atypique, fut le moment où 
                  elle est survenue. Elle survint au moment même où 
                  était lancée la guerre totale contre le terrorisme, 
                  et la guerre Anglo-Américaine contre l’Irak. Il 
                  m’a semblé qu’il s’agissait là 
                  d’une occasion rêvée de “distraire” 
                  l’opinion publique du fait que l’administration 
                  Bush avait accusé Saddam Hussein d’accumuler un 
                  arsenal impressionnant d’armes bactériologiques, 
                  dont l’anthrax et le virus du Nil. L’épidémie 
                  de pneumonie atypique était donc caractéristique 
                  de ce que j’avais déjà annoncé dans 
                  l’un de mes livres au titre prophétique, publié 
                  avant les attaques du 11 septembre. Plusieurs mois avant ces 
                  attaques, je les avais annoncées dans ce livre, en présentant 
                  l’analyse conceptuelle qui nous permet de comprendre les 
                  liens qui existent entre ces épidémies et le Nouvel 
                  Ordre Mondial (Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic 
                  Warfare, Tetrahedron Publishing Group, 2001 - “Mort dans 
                  l’air : Globalisme, Terrorisme et Guerre chimique”). Pour résumer l’essentiel de ce 
                  livre, j’y expliquais comment une certaine forme de “bioterrorisme” 
                  d’Etat était parfaitement compatible avec une guerre 
                  bactériologique officiellement menée par un Etat. 
                  Saddam Hussein avait lui-même fait subir à certaines 
                  des populations de l’Irak et des Etats voisins les effets 
                  destructeurs des armes chimiques et bactériologiques. 
                  Pour moi, il est clair que la pneumonie atypique, tout comme 
                  la grippe aviaire actuelle, se sont produites avec le consentement 
                  et l’appui de certains milieux des industries médicale, 
                  pharmaceutique, pétrochimique et militaire, opérant 
                  de manière illégale. C’est ce que j’ai 
                  pu prouver maintes fois. Ayant eu l’occasion de témoigner 
                  devant le Congrès Américain, j’ai pu me 
                  rendre compte directement de quelle manière l’industrie 
                  pharmaceutique influence et contrôle nos représentants 
                  économiques et politiques au niveau du gouvernement. 
                  Les épidémies émergentes complètent 
                  les effets de la guerre politique contre le terrorisme, et correspondent 
                  à notre culture actuelle influencée par le bioterrorisme. 
                  Un tel programme secret répond à deux objectifs 
                  essentiels : la recherche du profit, et la réduction 
                  de la population mondiale. Réalité politique, contre mythes véhiculés 
                  par les médias.
 La folie croissante du monde qui nous entoure 
                  correspond étrangement aux recommandations des penseurs 
                  du Nouvel Ordre Mondial, qui favorisent les “désastres 
                  sans guerre.” De quoi s’agit-il exactement ? Dès la fin des années 60, dans 
                  les principaux milieux industriels, on a commencé à 
                  réfléchir à des “substituts économiques 
                  à la guerre classique.” Comparés aux effets 
                  des première et seconde guerres mondiales, les dégâts 
                  qui pouvaient être provoqués par les désastres 
                  naturels, les super ouragans, les épidémies, ou 
                  la guerre bactériologique et génétique, 
                  ont commencé à apparaître comme politiquement 
                  et économiquement “rentables.” Ces “désastres 
                  sans guerre” étaient manifestement beaucoup plus 
                  “gérables” politiquement, et plus “rentables” 
                  économiquement. Pour ces raisons, et tout particulièrement 
                  pour leur rentabilité économique, les dirigeants 
                  politiques Anglo-Américains du Nouvel Ordre Mondial ont 
                  considéré ces “désastres sans guerre” 
                  comme des options de tout premier choix. Par exemple, le protégé de Nelson 
                  Rockefeller, Henry Kissinger, en tant que Conseiller pour la 
                  Sécurité Nationale sous Richard Nixon, a dirigé 
                  en fait la politique extérieure des Etats-Unis, tout 
                  en considérant la réduction de la population mondiale 
                  comme une “nécessité” pour les Etats-Unis, 
                  la Grande-Bretagne et leurs alliés. C’est ce même 
                  Kissinger qui a été nommé par George W. 
                  Bush pour présider le comité d’enquête 
                  sur les événements du 11 septembre. Kissinger 
                  est pourtant un criminel de guerre avéré, qui 
                  avait ordonné à la CIA de développer des 
                  armes bactériologiques, selon les archives du Congrès 
                  Américain de 1975. Parmi ces armes bactériologiques 
                  fabriquées par l’homme, il existe des germes bien 
                  plus mortels que celui de la grippe aviaire ! Par exemple, avant 1968, Kissinger ordonna 
                  une enquête concernant les agents bactériologiques 
                  synthétiques existants, qui pourraient être utilisés 
                  en matière de guerre bactériologique et de contrôle 
                  de la population mondiale. Or une équipe de chercheurs 
                  (O’Conner, Stewart, Kinard, Rauscher et d’autres), 
                  venait juste de fabriquer en laboratoire de nouveaux virus mutants 
                  de la grippe, capables de propager certains cancers (3). A l’occasion 
                  de ce programme, certains virus grippaux furent combinés 
                  artificiellement avec d’autres virus de la leucémie 
                  aiguë, pour fabriquer littéralement de nouveaux 
                  germes capables de répandre ce cancer à la vitesse 
                  d’une épidémie de grippe, par simple contact 
                  direct avec des personnes infectées. Ces mêmes 
                  chercheurs ont aussi manipulé des virus du cancer du 
                  poulet, un sarcome, pour les inoculer à des hommes et 
                  à des singes, afin de tester leur capacité à 
                  produire un cancer chez ces derniers. Raucher, et d’autres, 
                  ont aussi employé les radiations pour augmenter la puissance 
                  du virus du cancer du poulet. Ces faits scientifiques incroyables 
                  ont été officiellement reconnus, mais largement 
                  négligés par les principaux médias. De même, l’Institut Londonien IOSS 
                  (Institute of Science in Society), a officiellement évoqué 
                  la possibilité que le virus de la pneumonie atypique 
                  ait été fabriqué en laboratoire. Il a posé 
                  la question suivante : “Est-il possible que des expériences 
                  de génie génétique aient pu créer 
                  le virus de la pneumonie atypique, même par inadvertance 
                  ?” Cette hypothèse n’a même pas été 
                  examinée par les experts virologues appelés pour 
                  aider à résoudre la crise, experts qui furent 
                  par la suite encensés par les sociétés 
                  pharmaceutiques soucieuses de produire les vaccins. Ceux qui 
                  habitent des maisons de verre n’ont pas l’habitude 
                  de jeter des pierres ! J’ajoute que l’IOSS aurait 
                  pu aussi examiner l’hypothèse d’une création 
                  intentionnelle du virus de la pneumonie atypique, dans leur 
                  étude censée être scientifique et objective 
                  (4). Les “conflits sans guerre,” tels 
                  que la “guerre contre le SIDA,” la guerre contre 
                  la drogue,” la guerre contre le terrorisme,” la 
                  guerre contre le cancer,” et, à présent, 
                  la “guerre contre la grippe aviaire,” exigent des 
                  programmes très sophistiqués de propagande, ayant 
                  recours à des campagnes visant à stimuler la crainte 
                  au sein de l’opinion publique, afin qu’elle accepte 
                  et soutienne les lois supprimant les libertés publiques. 
                  Ces opérations psychologiques sont nécessaires 
                  pour contrôler ces conflits sans guerre, et constituent 
                  la caractéristique essentielle de la nouvelle “révolution 
                  militaire” en cours. Cette “révolution militaire” 
                  cherche à instaurer une nouvelle forme d’esclavage 
                  humain, par lequel les populations humaines ne se rendent même 
                  plus compte qu’elles sont soumises à un esclavage 
                  (2) ! Cette nouvelle “révolution militaire” 
                  fait appel, sans aucun doute, à des armes bactériologiques 
                  et chimiques très puissantes. Ces armes sont mises en 
                  oeuvre par les fabricants de vaccins et de médicaments, 
                  pour leur plus grand profit. Il existe un exemple classique, 
                  celui des pesticides très toxiques et cancérigènes 
                  largement utilisés dans des zones habitées, sous 
                  prétexte d’éradiquer les moustiques responsables 
                  de la “fièvre du Nil.” Ces produits, selon 
                  les termes militaires, ne sont pas directement mortels. Mais 
                  ils agissent à long terme, en provoquant une mort lente 
                  par empoisonnement chronique, ce qui génère encore 
                  plus de profits pour les sociétés pharmaceutiques 
                  chargées d’inventer de nouveaux médicaments 
                  pour lutter contre ces maladies. Les victimes de ces campagnes 
                  d’éradication des moustiques meurent lentement 
                  de maladies chroniques débilitantes. Les centres de soins 
                  et les hôpitaux construits pour traiter ces malades ne 
                  sont que des camps de concentration virtuels. Parmi toutes ces maladies nouvelles provoquées 
                  artificiellement figurent un grand nombre de maladies touchant 
                  le système immunitaire, ainsi que de nombreux cancers 
                  pratiquement inconnus il y a cinquante ans. Ce simple fait, 
                  à lui seul, suffit à suggérer l’existence 
                  d’un véritable génocide socio-économique 
                  programmé par certaines autorités  Une grippe aviaire qui rapporte !
 Face à l’épidémie 
                  de pneumonie atypique, Michael Fumento, chercheur à l’Institut 
                  Hudson de Washington, a publié à Toronto une thèse 
                  économique, qui ressemble à celle que je développe 
                  dans cet article. Cette thèse a été publiée 
                  dans le Canadian National Post. On a demandé aux Canadiens 
                  de se mettre eux-mêmes en quarantaine, de porter des masques 
                  et, dans certains cas, de rester chez eux. Le Ministre de la 
                  santé de l’Ontario a décrété 
                  un “état d’urgence sanitaire,” alors 
                  que les médias parlaient de la “super pneumonie, 
                  cette tueuse mystérieuse.” Refusant de se laisser gagner par cette hystérie, 
                  Fumento posait un certain nombre de vraies questions. Cette 
                  épidémie était-elle réellement aussi 
                  mortelle et aussi contagieuse qu’on le disait ? Il concluait 
                  en ces termes : “Les réponses à ces questions 
                  ne laissent aucune place à l’excitation, encore 
                  moins à la panique.” On pourrait en dire tout autant 
                  pour cette nouvelle épidémie de grippe aviaire 
                  (1).
 Mortelle ? A l’heure actuelle, le grippe aviaire 
                  serait responsable d’environ 65 décès dans 
                  toute l’Asie du Sud-Est, au cours des deux dernières 
                  années ! Encore connaît-on peu de faits précis 
                  sur les victimes, qui présentaient en général 
                  des troubles de leur système immunitaire. En outre, tous 
                  ces décès se sont produits dans des pays de l’Asie 
                  du Sud- Est dont les services sanitaires laissent beaucoup à 
                  désirer. A titre de comparaison, les formes ordinaires 
                  de grippe tuent plus de 40.000 Américains chaque année, 
                  en général des personnes âgées au 
                  système immunitaire affaibli.
 Contagieuse ? Selon le magazine “USA Today” du 
                  9 octobre 2005, “les services de santé européens 
                  travaillent à contenir le virus de la grippe aviaire 
                  qui, jusqu’à présent, n’a touché 
                  personne dans cette région du monde.” Cependant, 
                  plus de 140 millions de volatiles seraient déjà 
                  décédés ou auraient été supprimés. 
                  Les pertes financières, pour le secteur de la volaille, 
                  représentent déjà plus de dix milliards 
                  de dollars. Selon les termes de cette propagande, “le 
                  virus actuel, baptisé H5N1, n’a pas encore muté 
                  au point de pouvoir se transmettre facilement d’homme 
                  à homme.” En fait, il est probable que ce virus 
                  ne s’est jamais transmis d’homme à homme, 
                  si ce n’est au cours de manipulations de laboratoire (5) 
                  !
 Difficile à soigner ? Selon un rapport du “Business Week”, 
                  “Le Sénat Américain a déjà 
                  voté un budget de 3,9 milliards de dollars pour acheter 
                  des vaccins et des médicaments antiviraux. Le gouvernement 
                  prépare aussi une nouvelle demande de crédits 
                  de 6 à 10 milliards de dollars.” Y a-t-il réellement une vie intelligente 
                  sur notre planète ? La réponse à cette 
                  question permettrait d’expliquer pourquoi le public accepte 
                  aussi facilement de tels mensonges ! Même “USA Today” 
                  affirme “qu’il n’existe pas actuellement de 
                  vaccin pour l’homme.” Comment se fait-il donc que 
                  le Sénat Américain puisse voter dans la précipitation 
                  la dépense d’autant de milliards pour acheter un 
                  vaccin contre la grippe aviaire ? Je suppose que nous devons négliger 
                  le fait que le virus H5N1 actuel ne s’est jamais transmis 
                  d’homme à homme, et qu’il ne s’est 
                  même pas non plus transmis très fréquemment 
                  des oiseaux aux hommes. Ainsi, un vaccin vraiment efficace ne 
                  pourrait être préparé qu’en faisant 
                  muter ce virus, et en provoquant justement ce que le monde craint 
                  le plus. Permettez-moi de m’expliquer. Afin de fabriquer un vaccin spécifique 
                  contre un virus mutant H5N1 transmissible à l’homme, 
                  il faudrait tout d’abord que ce virus de la grippe aviaire 
                  transmissible à l’homme existe. Or, actuellement, 
                  ce virus n’existe pas, excepté peut-être 
                  dans quelques laboratoires du complexe militaro-médico-pharmaceutique. 
                  En fait, d’après les informations dont je dispose, 
                  c’est exactement ce qui est en train d’être 
                  préparé en secret. Afin de produire un virus transmissible 
                  à l’homme, il faut cultiver le virus de la grippe 
                  aviaire pendant assez longtemps, en le mélangeant à 
                  des cultures de cellules humaines. Il faut ensuite l’injecter 
                  à des singes, puis à des êtres humains, 
                  pour vérifier si ces sujets attrapent ce nouveau virus 
                  fabriqué en laboratoire. Ainsi, ce nouveau virus que le monde craint 
                  tant est 1) soit en train d’être fabriqué 
                  dans des laboratoires financés par des industriels puissamment 
                  motivés à laisser “accidentellement” 
                  se répandre ce virus, 2) soit a déjà été 
                  fabriqué dans ces laboratoires, pour profiter de la panique mondiale actuelle, en prévision 
                  des énormes profits qui seront dégagés 
                  par la lutte contre ce virus.
 Il faut savoir qu’un vaccin, pour être 
                  réellement efficace contre un virus, a besoin d’être 
                  spécifique. Si les autorités voulaient réellement 
                  répandre le virus humain de la grippe aviaire H5N1 à 
                  une certaine échéance future précise, elles 
                  n’auraient aucune garantie sérieuse que le vaccin 
                  produit en parallèle soit efficace à cette même 
                  échéance, compte tenu des mutations virales possibles. 
                  En effet, la rapidité des mutations virales dépend 
                  de la nouveauté du virus. Les nouveaux virus fabriqués 
                  par l’homme et créés en laboratoire, comme 
                  ceux qui sont actuellement fabriqués pour préparer 
                  un vaccin, sont beaucoup moins stables que ceux qui ont naturellement 
                  évolué au cours des millénaires. C’est pour cette raison que tous les 
                  efforts actuels pour préparer un vaccin ne sont que de 
                  la poudre jetée aux yeux, et que les véritables 
                  motivations restent cachées. Il faut aussi savoir que l’efficacité 
                  d’un vaccin exige des années, ou du moins des mois 
                  de contrôles et de vérifications au sein de la 
                  population visée. Pendant cette période, on doit 
                  soigneusement réunir toutes les informations sur les 
                  effets secondaires ou les accidents thérapeutiques provoqués 
                  par ce vaccin, afin de s’assurer qu’il ne tue pas, 
                  ou ne rende pas malades, plus de personnes que celles qu’il 
                  prétend sauver ! Pouvez-vous sérieusement croire 
                  que le gouvernement, ou l’industrie pharmaceutique, pourront 
                  réunir toutes ces garanties, au milieu de l’hystérie 
                  provoquée par cette “pandémie” ? La 
                  réaction désastreuse des autorités face 
                  à l’ouragan Katrina sera avantageusement comparée 
                  au désastre sanitaire et humanitaire certain provoqué 
                  par un vaccin mal testé et des mesures de santé 
                  publique inadaptées !
 Je parle de désastre certain, parce 
                  que nous disposons de précédents. La liste est 
                  longue de vaccins préparés à la hâte, 
                  qui ont entraîné, une fois mis sur le marché, 
                  des conséquences humaines horribles. On peut citer le 
                  premier vaccin contre la peste porcine, les vaccins contre la 
                  polio, le vaccin contre la variole, le vaccin contre l’anthrax, 
                  le vaccin contre l’hépatite B et, plus récemment, 
                  le vaccin contre la maladie de Lyme, qui a handicapé 
                  près de 750.000 personnes en quelques mois, avant d’être 
                  retiré du marché par les autorités ! La plupart des gens ignorent que tous les vaccins 
                  comportent toute une série d’ingrédients 
                  qui sont potentiellement nuisibles pour la santé, et 
                  même mortels. On peut citer, parmi ces ingrédients, 
                  des produits chimiques toxiques comme le mercure, l’aluminium, 
                  le formaldéhyde et le formol (employés pour conserver 
                  les cadavres), des produits génétiques étrangers 
                  à l’homme, des protéines à haut risque 
                  issues de certaines espèces de bactéries, de virus 
                  ou d’animaux, et qui ont été scientifiquement 
                  associés au déclenchement de certaines maladies 
                  du système immunitaire ou de certains cancers. Nous disposons 
                  de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à 
                  démontrer que les vaccins sont en grande partie responsables 
                  de nombreuses maladies, comme l’autisme, la fatigue chronique, 
                  la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en plaques, l’arthrite 
                  rhumatoïde, l’asthme, le rhume des foins, les infections 
                  chroniques de l’oreille, le diabète de type 1, 
                  et bien d’autres maladies encore. Ces maladies chroniques 
                  et débilitantes nécessitent des traitements à 
                  long terme, qui eux-mêmes entraînent de nombreux 
                  effets secondaires. En réalité, la principale 
                  cause de mortalité en Amérique est représentée 
                  par les maladies iatrogéniques, c’est-à-dire 
                  les maladies produites par le système médical, 
                  ou contractées en son sein. Cela signifie que les vaccins, 
                  comme bien d’autres inventions de l’industrie pharmaceutique, 
                  handicapent et tuent littéralement des millions de personnes, 
                  sans que ni le gouvernement ni l’industrie n’interviennent 
                  pour arrêter ce fléau. D’après tout ce que nous savons, 
                  ce sont les gouvernements qui sont en train de fabriquer un 
                  vaccin contre la grippe aviaire, dont l’effet sera précisément 
                  de répandre cette pandémie dans le monde entier, 
                  afin de réduire la population mondiale. Cette hypothèse 
                  vous semble-t-elle absurde ? Lisez donc la suite. Business Week pense que l’accumulation 
                  de vaccins par les gouvernements ne peut que profiter aux sociétés 
                  pharmaceutiques, comme Sanofi-Pasteur, Sanofi-Aventis ou Chiron. 
                  On considère que le Tamiflu, un antivirus fabriqué 
                  par Roche, serait efficace contre la grippe aviaire. Les Etats-Unis 
                  possèdent déjà 4,3 millions de doses de 
                  Tamiflu, et d’autres commandes dont en cours. Voici toutefois 
                  ce que Business Week n’a pas révélé 
                  : L’efficacité et l’innocuité 
                  du Tamiflu n’ont pas été prouvées 
                  pour ce qui concerne les populations souffrant de maladies chroniques, 
                  ce qui est le cas d’une bonne partie de la population 
                  américaine. Il faut aussi noter que ce médicament 
                  provoque de nombreux effets secondaires : nausées, vomissements, 
                  diarrhées, bronchite, douleurs gastriques, étourdissements, 
                  mots de tête, etc., etc.. En 1999, les Laboratoires Roche (Hoffman-LaRoche) 
                  ont été reconnus coupables de malversations en 
                  ce qui concerne la fourniture de vitamines sur le marché 
                  mondial. Roche appartient à un cartel pétrochimique 
                  et pharmaceutique issu de l’I.G. Farben, l’un des 
                  piliers industriels de l’Allemagne Nazie (2) (6). L’un des partenaires industriels de Sanofi-Aventis 
                  est la Société Merck. Cette entreprise avait reçu 
                  la part du lion, lors de la distribution des dépouilles 
                  de l’économie nazie, à la fin de la deuxième 
                  guerre mondiale. Le chiffre d’affaires de la Société 
                  Merck a fortement chuté l’an dernier, quand elle 
                  a dû retirer du marché l’un de ses médicaments 
                  de lutte contre l’arthrite, le Viox, aux effets dévastateurs. 
                  Selon des rapports récents, Merck et Sanofi-Aventis travaillent 
                  actuellement à produire le premier vaccin contre un cancer 
                  sexuellement transmissible, vaccin destiné aux adolescents 
                  (7). Merck est aussi tristement célèbre pour avoir 
                  produit le premier vaccin contre l’hépatite B, 
                  responsable du déclenchement l’épidémie 
                  de SIDA, selon des rapports scientifiques que j’ai publiés 
                  dans l’un de mes livres, qui est actuellement un best-seller 
                  (3) (8). Au cours des semaines et des mois qui ont suivi 
                  les attaques du 11 septembre aux Etats-Unis, j’ai réussi 
                  à démontrer que les courriers contenant de l’anthrax 
                  provenaient d’entreprises qui produisent des armes bactériologiques, 
                  qui avaient conclu des contrats avec la CIA, et qui avaient 
                  aussi des liens avec les services secrets anglais, ainsi qu’avec 
                  ce même cartel pharmaceutique Anglo-Américain déjà 
                  cité (9). Ces courriers chargés d’anthrax 
                  avaient provoqué dans toute l’Amérique une 
                  vive crainte du terrorisme bactériologique, qui a profité 
                  largement aux fabricants de vaccins et de produits pharmaceutiques, 
                  les mêmes qui sont aujourd’hui associés à 
                  tous ceux qui profitent de la grippe aviaire (10). Confrontés à de telles craintes, 
                  la plupart des gens n’hésitent pas à renoncer 
                  à leurs droits civiques et à leurs libertés 
                  individuelles. En Amérique, le vote de la loi scandaleuse 
                  sur la Sécurité Nationale (Home Security Act), 
                  ainsi que d’une loi similaire au Canada, sont des exemples 
                  classiques de cette dérive sociale, et de cette manipulation 
                  à grande échelle aboutissant à une législation 
                  forcée.
 Pourquoi l’Asie ? Au moment où les relations entre la 
                  Chine, d’une part, et la Grande- Bretagne et les Etats-Unis, 
                  d’autre part, sont assez tendues, pour ne pas dire plus, 
                  il est assez opportun que cette grippe aviaire provienne d’Asie, 
                  tout comme la récente pneumonie atypique. Juste avant les premiers cas de pneumonie atypique, 
                  les Américains ont dû faire face à une escalade 
                  d’agressions dans la péninsule de Corée. 
                  La Chine communiste, pourtant déclarée “partenaire 
                  commercial privilégié” de l’Amérique, 
                  est politiquement alliée avec plusieurs ennemis de l’Amérique, 
                  y compris ceux qui, à l’époque, étaient 
                  censés posséder des armes de destruction massive, 
                  comme l’Irak. Etait-ce une coïncidence ? Vraisemblablement 
                  pas, quand on considère l’oligarchie Anglo-Américaine, 
                  ses entreprises multinationales, et ses “conflits sans 
                  guerre” artificiellement provoqués. Considérez aussi le fait que les principaux 
                  médias étaient fortement influencés, si 
                  ce n’est complètement contrôlés, par 
                  leurs commanditaires multinationaux, qui défendaient 
                  les intérêts d’un nombre relativement restreint 
                  d’entreprises et d’organismes multinationaux. N’oubliez pas non plus que les fournisseurs 
                  d’informations suivent les directives des services de 
                  renseignements, si l’on en croit le témoignage 
                  respectable de très nombreux fonctionnaires et agents 
                  de renseignements à la retraite. Il serait donc bon que 
                  vous vous posiez les questions intelligentes suivantes, et que 
                  vous y apportiez une réponse : Pourquoi les hauts responsables de la Défense 
                  Américaine, à commencer par William Cohen, Secrétaire 
                  à la Défense sous Bill Clinton, ont-ils fait autant 
                  de publicité à la prétendue vulnérabilité 
                  des Etats-Unis en matière de terrorisme bactériologique 
                  ? N’est-ce pas une forme de haute trahison à l’égard 
                  des Etats-Unis, que de dévoiler dans la presse des “secrets 
                  défense” aussi importants, qui pouvaient être 
                  exploités par les ennemis potentiels de notre pays ? Pourquoi les principaux médias continuent-ils 
                  à prédire l’arrivée d’une pandémie 
                  mondiale causée par un virus grippal humain, qui provoquera 
                  des millions de morts, comme la “grippe espagnole” 
                  en 1918-1919 ? Pourquoi ces mêmes médias ne parlent-ils 
                  pas des faits indubitables concernant les individus, les organisations 
                  ou les laboratoires qui travaillent à produire ces agents 
                  de destruction massive ? On a même tout fait pour “déterrer” 
                  le virus de la grippe espagnole, soi-disant pour l’étudier 
                  et, éventuellement, le répandre à nouveau 
                  ! Pourquoi dit-on que le virus de la grippe espagnole 
                  est-il apparu au Tibet en 1917, d’après les données 
                  historiques officielles ? On a raconté que les journaux 
                  espagnols avaient été les seuls à publier 
                  des articles concernant cette grande épidémie, 
                  en raison de leur neutralité au cours de la première 
                  guerre mondiale. Toutefois, les relations entre l’Espagne 
                  et les Etats-Unis, à l’époque, n’étaient 
                  pas meilleures que les relations entre la Chine communiste et 
                  les Etats-Unisaujourd’hui. On avait décidé 
                  de baptiser cette épidémie “grippe espagnole”, 
                  suite à deux décennies de disputes entre l’Amérique 
                  et l’Espagne, à propos de la colonisation des Caraïbes, 
                  de Hawaii et des Philippines, après la guerre hispano-américaine, 
                  qui s’était terminée en 1902 aux Philippines. 
                  En fait, la grippe espagnole avait commencé dans des 
                  camps militaires. L’Histoire n’est- elle pas en 
                  train de se répéter ? N’est-il pas clair que l’Amérique 
                  est en train d’être manipulée, et qu’elle 
                  est sans doute la victime des planificateurs du Nouvel Ordre 
                  Mondial ? N’oubliez pas que l’une des priorités 
                  de ces planificateurs est la réduction de la population 
                  mondiale !
 La grande pandémie annoncée. J’affirme à nouveau qu’au 
                  cours des années 60 et 70, des laboratoires militaires 
                  étroitement associés à l’industrie 
                  pharmaceutique ont fabriqué des virus mutants de la grippe, 
                  et les ont combinés avec des virus de la leucémie 
                  aiguë. En d’autres termes, ils ont amassé 
                  des quantités considérables de virus de la leucémie, 
                  aussi contagieux que celui de la grippe (3). Par ailleurs, de nombreux experts des maladies 
                  infectieuses ou hauts responsables de la santé publique, 
                  apparemment oublieux de cette réalité scientifique, 
                  affirment que la grippe aviaire actuelle pourrait être 
                  la “grande pandémie” prédite. Il y 
                  a quelques jours, les Nations Unies ont publié un rapport 
                  déclarant que 150 millions de personnes dans le monde 
                  pourraient mourir de cette grippe aviaire. Emma Ross, journaliste à l’Associated 
                  Press, avait publié des articles sur la manière 
                  dont l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) 
                  avait lancé son “plan de crise pour éradiquer 
                  l’épidémie de pneumonie atypique”. 
                  Vous savez sans doute que l’OMS est l’une des organisations 
                  qui dépendent de l’ONU, et qu’elle a été 
                  accusée de répandre le SIDA en Afrique, sous couvert 
                  de campagnes de vaccination contre l’hépatite B 
                  et la poliomyélite. Il existe un certain nombre de faits 
                  précis qui étayent cette accusation (1). Il est troublant de savoir que les Nations 
                  Unies sont très fortement influencées par certains 
                  membres de la famille Rockefeller, qui possèdent des 
                  intérêts dans les industries pétrochimique 
                  et pharmaceutique. On sait que le siège des Nations Unies 
                  à New York a été construit grâce 
                  à la fortune des Rockefeller. Au cours de la seconde 
                  guerre mondiale, ce sont encore les Rockefeller, ainsi que leur 
                  “Standard Oil Company”, qui ont soutenu Hitler, 
                  bien plus que les Alliés. Cela a été reconnu 
                  devant les tribunaux. Un juge fédéral a décidé 
                  que Rockefeller avait commis une “trahison” envers 
                  les Etats- Unis. Après la seconde guerre mondiale, selon 
                  l’avocat John Loftus, enquêteur officiel sur les 
                  crimes nazis, Nelson Rockefeller a persuadé les nations 
                  Sud-Américaines de voter en faveur de la création 
                  de l’Etat d’Israël, dans le seul but de détourner 
                  l’attention du fait qu’il avait soutenu les Nazis. John D. Rockefeller s’est joint à 
                  Prescott Bush (le grand-père de George W. Bush), ainsi 
                  qu’à la famille royale anglaise, pour financer 
                  les initiatives “d’amélioration de la race” 
                  qui ont donné naissance aux programmes “eugéniques” 
                  d’Adolf Hitler. Au cours de cette même période, 
                  la famille Rockefeller a pratiquement monopolisé l’industrie 
                  pharmaceutique américaine, ainsi que les laboratoires 
                  de lutte contre le cancer et de recherche génétique 
                  (2) (3). Aujourd’hui, la famille Rockefeller, 
                  la Fondation Rockefeller, les Nations Unies et l’OMS sont 
                  responsables de “programmes démographiques” 
                  visant à réduire la population mondiale à 
                  un niveau jugé plus “acceptable”. Comme l’a 
                  écrit “Foreign Affairs”, un périodique 
                  politique prestigieux publié par le CFR (Council on Foreign Relations), dirigé par David Rockefeller, l’objectif 
                  serait de réduire la population des Etats-Unis de 50 
                  % (2).
 Davis Heymann, de l’OMS, avait déclaré, 
                  à propos de la pneumonie atypique : “Nous n’avons 
                  jamais rencontré une épidémie aussi généralisée, 
                  à une aussi grande échelle.” Le Docteur Klaus Stohr, virologue de l’OMS 
                  en charge de la coordination internationale des laboratoires, 
                  avait ajouté : “C’est la première 
                  fois qu’un réseau mondial de laboratoires échange 
                  ainsi des informations, des échantillons, des prélèvements 
                  sanguins et des images. Il n’y a plus de secrets, plus 
                  de jalousie, ni de compétition, face à une telle urgence sanitaire 
                  mondiale. C’est un réseau phénoménal 
                  !” (1).
 Ces réseaux de surveillance des maladies 
                  infectieuses sont encore contrôlés par les Rockefeller 
                  ! Dr Léonard G. Horowitz     6 novembre 2005
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 L’original peut être consulté en Anglais 
                  à l’adresse suivante: http://educate-yourself.org/cn/ 
                  lenhorowitzdebunksavianfluhysteria11oct05.shtml
 Reproduction de la traduction française autorisée, 
                  pourvu qu'elle soit intégrale, et que les sources soient 
                  indiquées.
 
 A propos de l’auteur 
                  : Le Docteur Leonard Horowitz est un expert international 
                  en matière de santé publique, de sciences du comportement, 
                  de maladies nouvelles et de terrorisme bactériologique. 
                  Diplômé de Harvard, il est membre de l’équipe 
                  de chercheurs de cette université. Il est connu pour 
                  plusieurs livres à succès, dont un best-seller 
                  : “Emerging Viruses : AIDS & Ebola - Nature, Accident 
                  or Intentional ?” (Les virus émergents, SIDA et 
                  Ebola - Naturels, accidentels ou intentionnels ?) Ce livre a 
                  permis l’ouverture d’une enquête officielle 
                  aux Etats-Unis pour vérifier les hypothèses avancées 
                  par le Dr Horowitz. Les travaux du Dr Horowitz concernant les risques 
                  associés aux vaccinations ont poussé au moins 
                  trois pays du Tiers-Monde de modifier leurs politiques en matière 
                  de vaccination. Le Dr Horowitz a eu l’occasion de donner 
                  un témoignage retentissant devant le Sénat des 
                  Etats-Unis. Une semaine avant les attentats à l’anthrax, 
                  le Dr Horowitz avait officiellement averti le FBI de cette menace 
                  précise, mais il n’avait pas été 
                  écouté. Trois mois avant les attaques du 11 septembre, 
                  le Dr Horowitz avait publié son treizième livre, 
                  intitulé, d’une manière plutôt prophétique 
                  : “Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare” 
                  (Mort dans l’air : Mondialisation, Terrorisme et Guerre 
                  bactériologique). Dans ce livre, le Dr Horowitz s’en 
                  prend au “cartel pétrolier et pharmaceutique,” 
                  qu’il accuse de préparer un nouveau génocide 
                  programmé. 
 Notes 
                  : 1) Horowitz LG. SARS (Severe Acute Respiratory 
                  Syndrome) : A Great Global Scam. Available at: http://www.healingcelebrations.com/SARS.htm
 2) Horowitz LG. Death in the Air : Globalism, 
                  Terrorism and Toxic Warfare.Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing 
                  Group, (Spring) 2001. 3) Horowitz LG. Emerging Viruses: AIDS & 
                  Ebola, Nature, Accident or Intentional ? Sandpoint, ID : Tetrahedron 
                  Publishing Group, (Spring) 2001. 4) The Institute of Science in Society. SARS 
                  and Genetic Engineering ? London, England. Article available 
                  at:http://www.tetrahedron.org/articles/health_risks/sars_engineering.html
 5) Knox N. Europe braces for avian flu. USA 
                  TODAY, October 9, 2005 ; Manning A Government to stock up on 
                  avian flu shots. USA Today, Oct 8, 2005. 6) Wang P. Avian Flu: Inoculate Your Portfolio. 
                  BusinessWeek. Online edition. Available at:http://www.businessweek.com/investor/content/oct2005/ pi2005110_4988_pi015.htm
 7) CNNMoney. Merck shares jump on cancer drug 
                  vaccine. October 6, 2005.Available at : http://money.cnn.com/2005/10/06/news/fortune500/ merck.reut/
 8) For more scientific background on the link 
                  between the hepatitis B vaccine and the AIDS pandemic link to 
                  http://www.originofAIDS.com. 9) Horowitz LG. The CIA’s Role in the 
                  Anthrax Mailings : Could Our Spies be Agents for Military-Industrial 
                  Sabotage, Terrorism, and Even Population Control ? A Special 
                  Report. Article available at : http://www.tetrahedron.org/articles/anthrax/anthrax_espionage.html 10) Horowitz LG. DNA : Pirates of the Sacred 
                  Spiral. Sandpoint, ID :Tetrahedron Publishing Group, 2004.   |