J'ai envoyé à UFOCOM ma réponse aux accusations proférées contre moi par l'ufologue Gildas Bourdais
24 mars 2003
J'ai vu que Simone Brunie, ancienne Directrice de recherche au CNRS, coordinatrice et webmaster d'UFOCOM, s'était prononcée dans le site UFOCOM. Elle écrit que :
" Je connais Alain DH depuis mon arrivée, il y a presque 4 ans,
à l' UFOCOM. Il est coordinateur de l'équipe ADV (Analyse des
Documents Visuels) de l' UFOCOM. Je peux certifier qu'il n'est pas un astronome
amateur et qu'il a la compétence scientifique requise pour écrire
l'article incriminé. C'est par nécessité professionnelle
qu'il est obligé de garder l'anonymat. Le monde professionnel privé
n'est pas aussi large d'esprit que le CNRS qui permet à
un de ses directeurs de recherche de se commettre dans une pantalonnade comme
celle à laquelle nous avons malheureusement assisté hier soir,
sur France 2, lors de votre passage à l'émission de Ruquier."
Si on se réfère au staff d'UFOCOM on trouve :
Simone B Thierry W Alain DH Tristant P
A ce propos Simone Brunie "coordinateur et webmaster d'UFOCOM" m'écrit :
A Ufocom, il y a une règle: le respect de l'anonymat de chacun qui se traduit par la seule mention du prénom de chacun. Cette règle a été établie par Thierry Wathelet et je n'ai pas à la transgresser. Afficher mon titre de directeur de recherche au CNRS aurait été pour moi un manque de modestie, contraire à mon caractère. L'intérêt que je porte aux ovnis n'a rien à voir avec ma carrière scientifique et j'estime que je ne devais pas afficher celle-ci. Je vous le répète, ceci par pure modestie. Si j'accepte de sortir de l'anonymat c'est pour répondre à vos attaques. mais je n'ai à rougir ni de ma carrière scientifique ni des recherches auxquelles je participe à l'UFOCOM depuis que je suis à la retraite.
Personnellement je pense que cela fait un peu "les Anonymes réunis" et que sur ce plan ça ne fait pas très sérieux. Je crois que ces gens devraient faire mention de leurs noms, en toute simplicité, et installer un lien qui mènerait à un curiculum vitae permettant de situer leur position actuelle, leur trajectoire et leur champ de compétence. Je pense que Simone Brunie est trop modeste et ne devrait pas avoir de réticence à mentionner le titre qui était le sien au CNRS. J'ai toujours eu la faiblesse de penser que le sujet ovni s'inscrivait tout simplement dans le champ de la recherche scientifique. Les mots "Physique", "Astrophysique", "Cosmologie", "Relativités Restreinte et Générale", "Chimie", "Psychologie", "Sociologie", "Epistémologie", "Histoire" etc, ont un certain sens pour moi. Je n'ai jamais très bien compris ce que signifiait "ufologie" et "ufologue".
A la suite de la publication des lignes précédentes sur mon site la description du staff d'UFOCOM a immédiatement changé, comme on pourra le vérifier. De toute manière Thierry Wathelet, que je connaissais de longue date, n'était pas homme à avancer masqué et il a immédiatement demandé à ce que ses initiales soient remplacées par son nom complet. Simone Brunie a fait de même. Je persiste à dire qu'il serait plus clair, plus sain, que les gens qui gèrent de tels sites précisent leurs fonctions, profession, titres présents ou passés s'ils sont à la retraite, à travers un lien conduisant à un curiculum vitae schématique et permettant de situer leur champ de compétence. Simone Brunie, ex-cristallographe, m'a écrit qu'elle avait caché son titre d'ex Directrice de recherche au CNRS par ... modestie. Je pense qu'elle doit passer outre à ce sentiment.
Par ailleurs je suis toujours sans réponse d'un mail que je lui ai envoyé et a pour moi une grande importance. J'ai su par des membres d'UFOCOM qu'elle serait très liée au polytechnicien Gilbert Payan, "l'homme de l'ombre" par excellence. Je lui ai donc demandé la confirmation de ce fait, et si elle confirmait quelle était la fréquence de leurs rencontres, quand elle était entrée en contact avec ce personnage et comment. Je lui ai aussi demandé si ces contacts, s'ils ont eu lieu, auraient été antérieurs ou postérieurs à son entrée à UFOCOM. Même question concernant son opinion le comportement de ce personnage dans le domaine de l'ovni depuis plus d'un quart de siècle (voir la Saga OVNI, sur mon site). Comme Didier de Plaige met à disposition un media-radio touchant 80.000 personnes en région parisienne ("Ici et Maintenant sur 95.2 FM) qu'on peut également suivre à distance et où les interventions, enregistrées, sont téléchargeables, nous sommes nombreux à souhaiter que M. Gilbert Payan se décide enfin de sortir de cet ombre qu'il affectionne depuis plus d'un quart de siècle pour venir répondre à nos questions en direct. Lui et pas mal d'autres.....
Je ne sais pas si, sous prétexte d'ouverture d'esprit et de recherche d'objectivité on peut entretenir des relations avec n'importe qui. Je pense que des choses sont à éclaircir. Plus que jamais nous avons besoin de transparence, d'honnêteté et de ... compétence :
J'ai envoyé à UFOCOM ma réponse à l'ufologue Gildas Bourdais, si prolixe sur ce site , si catégorique et incisif. Plutôt que de multiplier les échanges de réponses écrites sur un site il lui sera dès la fin avril proposé une rencontre avec moi, en radio, sur l'antenne d'Ici et Maintenant. Je crois que quand on s'engage comme il le fait et qu'on profère telles accusations, de mensonge, d'imposture, il convient de faire face aux gens à qui on s'en prend.
J'ai vu qu'Alain DH avait enlevé son texte sur SL9. Un membre de mon équipe mène actuellement une enquête sur ce sujet délicat. J'essaye de les mettre tous deux en contact pour qu'ils collaborent. En effet il convient d'essayer de se rapprocher le plus possible d'une éventuelle vérité, quelle que soit sa nature : fantastique manipulation ou réalité dépassant la fiction la plus folle. Je persiste à dire que ce problème n'est pas aussi simple qu'il ne le paraît. Ce qui était condamnable n'était pas de donner sa propre opinion sur un sujet, fut-elle très négative. Il a peut-être raison, sinon sur l'ensemble, du moins sur certains points. Par contre je persiste à dire qu'on ne peut pas se permettre de citer une personne nommément, en attirant sur elle la dérision sans signer un tel texte de son nom. C'est un simple point de déontologie. Donc, SL9, affaire à suivre, en espérant des conclusions communes dans un avenir proche, étayées par une étude bibliographique solide.
Je suis sidéré de la menace de procédure proférée par Simone Brunie lorsqu'elle écrit :
J'ai suffisamment perdu de temps pour, désormais, ne plus répondre à des attaques dévoyées et puériles susceptibles de conduire à une procédure pour atteinte à la vie privée. Certains sites ont été fermés pour moins que cela.
Est-ce que poser ouvertement la question "Avez vous eu des contacts et, le cas échéant continuez vous d'en entretenir avec Gilbert Payan ?" constitue une atteinte à la vie privée ? Comment se fait-il que la réponse ne puisse pas être simplement "oui" ou "non"? Comment se fait-il que le simple fait de poser cette question amène Simone Brinue à brandir la menace d'une procédure ?
Je pose la question aux lecteurs de mon site et je leur demande de formuler leur réponse en l'adressant à Simone Brunie et en m'envoyant copie de leur message.
La fréquentation d'un personnage comme Gilbert Payan, qui a joué un rôle très actif dans la saga ovni française, si elle existe, doit être connue. Si Simone Brunie, coordinatrice d'UFOCOM entretient réellement de relations avec Gilbert Payan alors cela impliquerait un changement profond dans la démarche par rapport aux orientations données par les fondateurs de ce mouvement.
L'étude du dossier OVNI n'est pas une curiosité pour intellectuels. Des milliards ont été gâchés (dès que j'aurai un moment je positionnerai sur mon site, à moins qu'UFOCOM ne me permette de le faire dans le sien, le dossier contenant les preuves accablantes d'une gabegie qui provoqua la dissolution du GEPAN et la mise au placard de son responsable). Des opérations à peine croyables de désinformation ont été mises en oeuvre. Des gens doivent rendre des comptes. C'est l'argent des français qui a été dilapidé, gâché et qui continue de l'être. C'est un essor scientifiuque qui a été complètement anéanti par des gens apparemment toujours agissants. On a confié des tâches importantes à des gens totalement incompétents. On a cherché à réduire au silence d'autres qui révélaient des choses par trop gênantes. Tout cela va maintenant sortir, émerger, à cause de médias nouveaux comme Internet ou des radios "libres" comme "Ici et Maintenant", qui n'usrpent pas un tel qualificatif. Pendant plus de deux décennies des gens se sont tapis dans l'ombre, paralysant toute recherche, accumulant les fautes les plus catastrophiques, entrenant un climat de mensonge, de dissimulation, tout en bénéficiant du silence des médias. Ces gens seront invités lors de face à face radios où ils auront tout loisir de se défendre, en direct.
A propos de l'article d'Alain DH : quand on positionne sur un site un texte qui attire le discrédit sur un homme qu'on cite nommément et qu'on taxe de légèreté, alors on signe de son nom. On ne s'abrite pas derrière des initiales.
Ma réponse à Gildas Bourdais sera, j'ai lu, inscrite prochainement dans ce site UFOCOM. Mais je m'en tiendrai pas là. Une chose devra être tirée au clair. Peut-on se prononcer sur n'importe quoi et toute autre chose, pratiquer la dérision quand on n'a pas la moindre connaissance scientifique ? C'est un débat qui devra faire l'objet d'un face à face en radio.
J'ai participé hier à une émission sur la radio "Ici et Maintenant". L'émission a été très suivie, s'est poursuivie jusqu'à trois heures du matin. et Thierry Wathelet a pu y participer. Le fichier sera rapidement téléchargeable. Thierry a confirmé qu'il avait été le créateur du site UFOCOM, puis qu'il y a deux ans et demi il avait pour des raisons personnelles installé la scientifiques française Simone Brunie, directrice de recherche au CNRS, en retraite, en tant que "coordinatrice et webmaster du site", le site ayant été ensuite déménagé chez un autre hébergeur. Il a confirmé ce qu'il m'avait dit téléphoniquement, à savoir qu'il avait appris que Simone Brunie avait été en contact ou était en contact avec le polytechnicien Gilbert Payan. J'ai rappelé que Simone Brunie avait refusé de réponse à cette question lorsque je la lui avais posée en arguant "qu'il s'agissait d'une atteinte à se vie privée qui pourrait motiver un dépôt de plainte de sa part et que certains certains sites avaient été fermés pour moins que cela". Une réponse selon moi disproportionnée par rapport à la question. Tout ceci demandera à être éclairci, de même que le rôle joué par Gilbert Payan dans toute la "saga ovni française" depuis 1975, évoqué dans mon site. Il semblerait qu'il soit toujours en activité en tant que conseiller scientifique du général Letty, dans le groupe Cometa, comme confirmé par Thierry Wathelet selon les confidences d'un journalistes allemand qui les avait interviewés tous les deux. La participation de Gilbert Payan dans des projets de MHD est attestée, en dépit de sa légendaire discrétion, dans un rapport rédigée par Claude Thénard, reponsable de la MHD de MHD de Rouen (basée sur mes idées et travaux), qui se trouver reproduit pages 116 à 118 de mon livre Enquête sur les OVNI (Editions Albin Michel). C'est probablement la seule trace tangible qu'aura laissé un homme qui pourtant est intervenu à tous les niveaux dans tout ce qui touche aux OVNI et à la MHD depuis 1975. Il a en particulier assisté à toutes les réunions du Conseil Scientifique du Gepan. Je l'ai évidemment pas mal fréquenté entre 1976 et 1979 et je peux reproduire une remarque à caractère technique, émanant de lui et datant de cette fin des années soixante-dix :
- En supposant que vous réussissiez à supprimer les ondes de choc autour d'une machine volante il restera à réoudre un problème : comment la propulserez vous ?
Thierry Wathelet a rappelé qu'UFOCOM avait toujours mené ses propres enquêtes concernant les dires ou les interventions des différentes personnes impliquées dans le dossier ovni et que ces enquêtes seraient poursuivies et qu'aucun point ne serait laissé dans l'obscurité.
Didier de Plaige nous a dit que Gildas Bourdais avait décliné une rencontre radiophonique face à moi, à "Ici et Maintenant". Simone Brunie a publié ma réponse dans le site UFOCOM avec son propre commentaire. Elle a qualifié le texte dont j'avais demandé l'insertion de " sabir ". C'est probablement la chose la plus grave dans toute cette affaire. En effet ce texte représente le discours le plus classique en matière de physique des plamas. Je crois que madame Brunie confond complètement science et "ufologie". Elle m'a d'ailleurs présenté comme "Ufologue" et considère sans doute que le site UFOCOM se consacre à "l'ufologie". Ceci pose un problème de fond. Ou le site pourra retrouver son orientation initiale, fixée par Thierry Wathelet et ses compagnons de la première heure, ou il s'avèrera impossible, comme j'en avais le projet, d'y implanter des textes structurés, et s'adressant aux scientifiques, étudiants et chercheurs. En effet mon intention est d'implanter sur un site un cours de MHD de 400 pages, niveau DEA, en français et en anglais, qui n'aura aucun équivalent dans le monde et qui intéressera nombre d'étudiants et de chercheurs, de tous les pays. Même chose pour la cosmologie. Ces documents (commentés jadis par le polytechnicien Alain Esterle, lors qu'il était chef du GEPAN, en disant "qu'il s'agissait de textes compliqués auxquels personne ne comprenait rien") seront complétés par les articles publiés dans les différents domaines, dans des revues à comité de lecture, dont ces éléments garantiront l'accessibilité au non-initié. Ces éléments sont indispendables pour comprendre réellement les liens qui peuvent exister entre le dossier ovni et le monde de la science. Ces textes seront évidemment hors de portée d'un Bourdais, essayiste et enquêteur sur le terrain, qui a d'ailleurs fait un excellent travail dans ce domaine mais gagnerait à ne pas tenter de rechercher par lui-même une validation de travaux qui lui échappent totalement. Si la position que l'on pourrait qualifier de .. déconcertante de la cristallographe Simone Brunie rend cette opération impossible cette implantation très attendue sera effectuée ailleurs.
Enfin, Jean-Pierre Petit tient à préciser qu'il ne publiera de réponses aux critiques portées contre lui et ses travaux que lorsque les auteurs de celles-ci les auront signées de leurs noms, en précisant leurs titres et qualités ainsi que les justifications des compétences scientifiques alléguées.
Retour sur le texte mis en place le 22 mars 2003
Dans son article consacré au dossier SL9, Alain
DH conclut :
A l'issue de ce rapide panorama, reste-t-il le moindre doute ? Non. Le texte
SL9 n'est rien d'autre qu'une aimable galéjade telle qu'on les aime dans
le
sud de la France. Cela allait sans dire, pour certains, mais peut-être
que cela va mieux en le disant.
Ce qui peut étonner, en revanche, c'est que des gens sérieux
aient pris le texte au pied de la lettre. Jean-Pierre Petit s'en sert même
d'illustration
aux théories qu'il défend dans son dernier livre. Il ne nous appartient
pas de discuter ici de ces théories. Il semble toutefois que M. Petit,
excellent scientifique par ailleurs, fasse preuve d'une certaine légèreté
en s'appuyant sur ce document.
Mais peut-être n'est-ce pas si étonnant. On assiste dans cette
affaire aux développements d'une rumeur. Jean-Noël Kapferer, dans
son livre "Rumeurs" en
a parfaitement démonté les mécanismes. Une rumeur, véridique
ou aussi invraisemblable soit-elle, naît et se développe pour peu
qu'elle soit pourvue d'une cohérence interne minimale. Et ce, indépendamment
du niveau intellectuel ou social des gens qui prêtent une oreille attentive
à la rumeur.
Les rumeurs font partie du bruit de fond de l'ufologie. C'est un élément
du dossier qui ne facilite pas la compréhension du phénomène.
En espérant que
nous arriverons à le comprendre un jour...
Alain DH
Coordinateur de l'équipe ADV
"Aimable galéjade telle qu'on les aime dans le sud de la France" (Alain DH sait que j'habite cette région), " ... fasse preuve d'une certaine légèreté en s'appuyant sur ce document"... "rumeur" (évocation implicite de ma crédulité) voilà qui ne me présente pas sous mon meilleur jour. Dans ces conditions monsieur Alain DH ne saurait bénéficier de l'abri d'un anonymat. Je demande donc que son nom figure en bas de cet article et que soient fournis, en lien, des éléments permettant d'évaluer sa crédibilité vis à vis du sujet qu'il a abordé. J'aurai alors la possibilité de répondre à un individu identifié et non à de simples initiales.
J'ai récemment brisé le sacro-saint anonymat d'une personne qui s'exprimait sur un forum en cherchait à "tracer" l'un des participants et en mettant pour ce faire en oeuvre tous les moyens possibles. J'ai été alors vivement critiqué par les deux gestionnaires de ce forum, dont l'un est couvert par un pseudo. Censuré par la suite à plusieurs reprises sur ce forum par ses "modérateurs" j'ai cessé de m'y exprimer. Je donne un exemple du ridicule total de cette censure dont a été l'objet l'un des intervenants, qui a également cessé de s'exprimer dans ce forum. Dans un mail censuré (de l'aveu même du modérateur) celui-ci avait écrit :
.... citons également l'ouvrage de de Conally ert Anderson, Premier Contact, mentionné par Jean-Pierre Petit
le texte en bleu fut censuré ! Jamais je n'aurais imaginé qu'une telle mesquinnerie soit possible.
Il y a des gens qui ont eu le courage de combattre en terrain découvert et qui en ont payé le prix. Tout le monde ne se paye pas un procès lourd pour dénoncer l'existence d'essais nucléaires souterrains sur le territoire français (nouvelle que j'ai vainement essayé de faire passer dans le media de grande audience où je me suis exprimé le 21 mars dernier). Tout le monde n'a pas le courage de risquer sa vie en dénonçant de telles pratiques. Nous vivons des heures graves et ce que j'essaye de faire comprendre aux gens c'est que le dossier ovni est en passe de devenir un problème-clé de notre avenir terrestre, outre qu'il est totalement présent depuis des décennies dans le domaine des sciences non seulement humaines mais physiques. De très gros ennuis nous attendent dans des délais qui sont de l'ordre de la décennie, dont les gens n'ont pas conscience une seule seconde. Et dans ce contexte, plus que jamais, les "ufologues" ressemblent aux bandar-logs de Kipling, pris par leur ego, leurs envies. Les débats "ufologiques" ressemblent à des discussions de salon, ou pire "à des joutes entre universitaires". On y prend ses distance, on s'y montre extrêmement prudent, alors même que la maison est en feu. Les scientifiques, ou prétendus tels, avancent masqués.
A propos des critiques inscrites à propos de mon livre dans le site UFOCOM par Gildas Bourdais, lequel a au moins le mérite de signer ces écrits sous son nom, j'enverrai ma réponse à Simone Brunie sous peu. J'espère que cette réponse, exercice d'un légitime droit de réponse, ne sera pas censurée, sinon je la ferai figurer dans mon propre site. Je pense qu'il est grand temps que soit précisée une bonne fois la distance qui existe entre les compétences de l'essayiste-enquêteur et celles du scientifique professionnel.
Jean-Pierre Petit
Directeur de Recherche au CNRS
Laboratoire d'Astrophysique de Marseille
Site http://www.jp-petit.com
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