Action d'un hacker sur mon site
4 octobre 2003
Je dis des choses qui dérange. J'ai actuellement une vingtaine d'attaques par cheveux de Troie par jour. Mon disque dur a grillé cet été. Les données présentes sur un disque dur entreposé chez mon serveur, Axinet, qui contenait le journal des téléchargements des fichiers sur mon site et qui aurait pu prouver que la mise en place du fichier relatif aux essais nucléaires souterrains, mentionnant les confidences que m'avait fait Antoine Giudicelli, ancien directeur de Marcoule et ancien directeur adjoint des applications militaires du CEA datait de plus de trois mois avant son dépôt de plainte (ce qui était largement le cas) ce qui m'aurait permis (comme ce fut le cas en première instance) de bénéficier de la loi de prescriptions pour la presse.
En effet si quelqu'un s'estime diffamé dans un article de presse il doit porter plainte dans les trois mois sinon on considère que les faits sont prescrits. Ces données étaient sur le disque dur d'Axinet. Dommage...
Au moment où j'écris ces lignes nouvelles attaque par cheval de Troie. Cette fois c'est BackDoor SubSeven.
Ce matin seconde attaque de hacker en un mois, cette fois chez le serveur. Ma page d'accueil a été changée en une page-image de type 1[1], inconnu. La prochaine fois, si cela se produit, je tenterai de l'imprimer et je la scannerai. J'ai porté plainte car ces interventions de hackers chez les serveurs sont passibles de peines importantes, mais il est peu probable que la justice arrive à mettre la main sur le coupable.. Ceci montre simplement jusqu'où peut aller le piratage informatique. Nous avons connu les virus. Puis maintenant nos messageries sont envahies par des publicités sous forme de messages e-mail où le nom de l'expéditeur change à chaque fois. Le filtrage par mots-clés est problématique car il faudrait pratiquement inclure tous les mots du dictionnaire anglais, en majuscules et en minuscules. En toute logique aucun système ne sera jamais totalement invulnérable à ces cyber-intrusions. On sait que les "hold ups informatique" dépassent de loin ceux faits le colt à la main. Pourquoi mettre en jeu des vies humaines, y compris la sienne alors qu'on peut récupérer de l'argent sans quitter son clavier, à condition de changer de domicile et d'ordinateur pour le coup suivant ? Les banques ne s'en vantent guère.
Le hacking peut être un sport. Mais c'est aussi une façon d'aller pêcher de l'information ou de paralyser les actions de ceux qui veulent informer. Nous avions des taupes dans notre association GESTO. Nous le savions et nous en avons identifié quelques-unes, le plus souvent à têtes de bons apôtres. Ces histoire d'infiltrations par taupes, plus ou moins actives, sont contées dans le dernier rapport que j'ai rédigé pour les membres de l'association.
En fait, Internet est le dernier espace de nos libertés. Espérons qu'il subsistera. Pensons à Thierry Meyssan qui fut le premier à lever le lièvre pour l'ensemble des attentats du 11 septembre. Interdit de médias il ne peut s'exprimer qu'à travers un site Internet et à travers des ouvrages qui furent traduits en de nombreuses langues.
Nous savons maintenant que les médias sont à la solde des groupes dont ils dépendent (TF1 est propriété de Bouygues, etc). Même chose pour les journaux, radios, etc. Comme me l'écrivait un lecteur : "nous vivons dans un théâtre d'ombres". Les forces qui tendent à nous maintenir dans l'illusion et le mensonge sont considérables. A l'opposé les forces qui luttent pour que la vérité émerge sont bien faibles. C'est du un contre cent, sinon pire. Mais doit-on succomber au découragement ?
Le monde actuel s'appuie sur des mensonges énormes. La presse s'en fait le relais, consciemment ou inconsciemment. On peut trouver ahurissant que les livres de Thierry Meyssan, consacrés aux attentats du 11 septembre aient été considérés unanimement par la presse Française comme du "conspirationnisme". Les journalistes, décidément, on un point commun avec les scientifiques : celui de s'exprimer sur un sujet sans avoir pris la peine de s'informer. Dans ce cas précis cela a été particulièrement flagrant. J'avais étudié ce dossier au début de l'année et de nombreux lecteurs m'avaient aiguillé vers toutes les documentations accessibles sur internet. Mais au moment où je m'apprêtais à faire la synthèse de cette étude mon disque dur a grillé. Coïncidences fâcheuse. Ca n'est que partie remise.
En avant-première je peux donner mes conclusions du moment. Je suis issu de l'Ecole Nationale Supérieure de l'Aéronautique (Supaéro). L'attentat contre le Pentagone ne colle pas avec l'impact d'un avion de ligne. Il y a trop d'incohérences. Thierry Meyssan s'est battu énergiquement pour signaler ces faits, tellement énormes. A ce stade je dirais la chose suivante, et c'est sur ce clou que je vais taper dans cette affaire dans les mois à venir.
- La suspicion qui pèse sur cette affaire est trop énorme. Pat
ailleurs les éléments disponibles font qu'on est en droit d'exiger
qu'un débat soit ouvert sur ce sujet. On peut s'attendre dans les médias
à voir s'affronter "des experts des deux bords". Mais il y
a une démarche beaucoup plus puissante. Nous sommes dans une situation
où un crime faisant plus de trois mille morts a été commis.
On impute ce crime à un groupe A. Se pourrait-il que ce crime ait été
en fait commis par un groupe B ? Dans le cas de l'attentat sur le Pentagone
la question est simple. S'il ne s'agit pas d'un avion de ligne alors il s'agirait
d'un missile. On ne voit guère de troisième explication possible
: une destruction à l'aide de charges posées à l'intérieur
aurait nécessité une préparation trop peu discrète,
trop risquée. Si la thèse du missile devenait plus crédible
alors le criminel serait un groupe B dont il conviendrait alors de déterminer
l'identité, les accointances.
Avant de se poser la question de l'identité des
véritables criminels la justice, si elle était saisie (cour internationale
de la Haye) pourrait mener son enquête en envisageant une reconstitution.
Comment ? En construisant une maquette à l'échelle
1/1 de l'aile du Pentagone frappée par le Boeing. Même structure
en béton, même réaction face à un impact. Le coût
ne serait pas prohibitif. Il ne serait pas nécessaire de mettre tous
les accessoires : plomberie, électricité, décoration ameublement.
Si ce n'est des "objets équivalents". Nous avons de la chance
: le Pentagone existe encore. Ses plans sont disponibles. Nous connaissons les
matériaux à employer.
Il faut ensuite disposer d'un avion identique à l'appareil
incriminé et le charger de la même façon. On peut pousser
l'authenticité de la reconstitution en plaçant à bord des
cadavres humains. C'est désagréable, mais la question est si grâve
que le souci de faire émerger la vérité pourrait justifier
un tel "souci du détail" (comment n'a-t-on retrouvé
aucun des corps?).
Le guidage de l'appareil, évidemment sans pilote, n'est
pas un problème. On peut même assurer son "homing" en
plaçant une balise dans la cible. Impact garanti au mètre près.
Les spécialistes devront reconstituer tout l'environnement, la pelouse,
placer le même type de caméra de surveillance, remplacer les témoins
allégués par des caméras, pointées dans les directions
qu'ils avaient indiquées. Il faudra négocier une trajectoire d'approche
très précise, susceptible d'amener l'appareil en vol horizontal
à faible de distance du sol, sans qu'il ne décapite de toitures
ou de lampadaires.
Tout ceci étant fait, reconstitution. Si les effets produits sont identiques à ce que nous déduisons de tous les documents assemblés, alors la version officielle sera crédible. Si ça n'est pas le cas il restera à se demander "à qui profite le crime ?". Il se pourrait alors que cette affaire soit la plus monstrueuse manipulation négociée dans toute l'histoire de l'humanité. Enterrés l'incendie du Reichtadt, l'assassinat de Kennedy ou toute autre chose du même genre.
Une telle reconstitution coûterait moins cher "qu'un jour de guerre n'importe où".
Je commence à être convaincu que les gens qui, actuellement, tiennent les rênes du pouvoir aux Etats Unis sont des monstres sans âme et surtout de dangereux imbéciles. Ne trouvez-vous pas que Bush, l'ancien alcoolique, porte sa bêtise sur sa figure ? Ne trouvez-vous pas que Poutine ressemble à un petit bonhomme complexé, ivre de son pouvoir ?
Tous nos gouvernants sont du même acabit. En France, la Présidence a donné son feu vert pour que les essais nucléaires souterrains soient poursuivis ... sur le territoire Français. Poutine laisse mourir les marins du Koursk pour raison d'état. Balai couvre les essais d'armes à micro-ondes qui donnent les jolis "chop carcels". et tout est à l'avenant. Nous vivons dans un glacis de mensonges. Leva Joli, dans son livre, évoque des sphères où le détournement de l'argent des contribuables est "une chose naturelle", ou personne ne paye, jamais, ou si peu. Il y a des gens qui, dans les procès où ils figurent affichent la tranquillité de ceux qui se savent au dessus des lois. J'ai vu cela de très près.
Usque tandem, Catilina abuserat patientia nostra .....
Ce monde nous fait de plus en plus peur. En Tchétchénie des hordes se livrent à toutes les exactions, sans contrôle, ivres de haine après que leurs copains aient sauté sur des mines télécommandées. Au Moyen-Orient des enfants désespérés vont chercher leurs gilets explosifs pour se trouver une raison de vivre, ou de mourir. La folie gagne, monte, partout.
La vérité des faits est le seul antidote auquel on pense
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