Moteur Stirling. Sommaire
27 septembre 2005
Suite aux quelques articles que j'ai fait paraître sur mon site, des lecteurs m'ont orienté vers une masse d'autres sites, signalé l'existence de recherches fort avancées ou de pays où ces techniques avaient été prises en considération depuis fort longtemps, à commencer par l'Allemagne. Je crée donc, ce jour, un peu en vrac, une page-sommaire qui sera entièrement consacrée au générateur Stirling. Je n'ai malheureusement pas le temps de gérer un forum, mais si une structure de ce genre, de qualité se créait, je serais ravi d'y envoyer les gens intéressés par cet éventail de questions. Il y a déjà des sites excellents pour expliquer le principe de fonctionnement et les différentes variantes, comme :
http://www.moteurstirling.com/index.htm
Ceux qui pourront venir à l'émission de " Radio Grenouille " à l'Ecole des beaux Arts d'Aix en Provence le 30 septembre 2005 à 20 h 30 pourront voir fonctionner le mini-moteur Stirling créé par Patrick Raspino, un Marseillais de 29 ans, technicien supérieur en biomécanique, véritable bijou de micromécanique. J'espère que notre télévision régionale aura l'idée d'inviter ce garçon à montrer sa réalisation sur ce plateau.
Le moteur Stirling de Patrick Raspino, 28 ans, septembre 2005
Le moteur Stirling n'est pas un gadget ( on devrait dire les moteurs, car il en existe de nombreuses variantes ). C'est un moteur sans combustion interne, donc non-polluant, qui peut s'accomoder de toute sorte d'énergie thermique. J'avoue que depuis des mois c'est un domaine que je découvre. J'ai été impressionné par l'avancée de réalisations américaines, à Sandia, où des unités solaires autonomes développent 20 KW à l'unité. 24.000 de ces appareils devraient être implantés dans le désert proche d'Albuquerque, au nouveau Mexique.
Mais les miroirs solaires sont fragiles, vis à vis de vents forts. Imaginez qu'un parc de générateurs de ce genre ait été implanté dans le sud des Etats-Unis. Le moindre cyclone le détruirait. Là où il y a beaucoup de Soleil, près des côtes, la météo peut être aussi très violente. Une solution consisterait à utiliser des miroirs de Fresnel, plans. Ceci a été expérimenté en Belgique. Mais les Belges ont opté pour des miroirs de Fresnel constitué par des éléments plans, comparables aux lamelles d'un store, qui pourraient atteindre de grandes longueurs ( 1000 mètres ). Une mauvaise météo les détruirait sans coup férir. Une solution à explorer serait celle d'un miroir fixe, en ... béton, comportant une argenture réfléchissante, susceptible d'être nettoyé par un balai mobile ( assimilable à un essuie-glace ). La collecte d'énergie pourrait se faire, en tablant sur un miroir de Fresnel "cylindique" sur une ligne focale mobile, mue par un mécanisme. En cas de tempête ce système de collecte pourrait tout simplement escamoté et mis à l'abri.
J'ai rêvé, un temps, de convaincre les émirs de Dubaï d'investir dans cette direction. Au lieu d'utiliser des esclaves pour construire leurs immeubles de haut standing et de tenter de devenir "la capitale du luxe" ils feraient mieux d'implanter dans leur désert, qui s'étend à perte de vue derrière leurs plages, derrière leur bande urbaine côtière des unités exploitant l'énergie solaire. Et il n'est pas marrant, ce désert. Regardez le bout de terrain qui est devant le bateau du cheik. C'est comme ça sur des milliers de kilomètres.
Avec l'énergie ils pourraient alimenter des unités d'habitation, rendre cette région vivable. Avec celle-ci ils pourraient aussi désaliniser l'eau de mer et alimenter des cultures situées sous les miroirs, à l'abri d'une insolation destrutrice, alimentées par une insolation soigneusement contrôlée. Chaque émir rêve de laisser un souvenir dans l'histoire, en construisant le plus long, le plus haut, le plus cher ... n'importe quoi. "Quelque chose qui puisse se voir de l'espace", comme ces absurdes Palmeira, hlm de luxe, dont les canaux deviendront rapidement putrides.
I had a dream.....
J'ai rêvé. Mais maintenant je doute de parvenir à convaincre l'un de ces rois du pétrole, plus intéressés par "des sous-marins pour touristes milliardaires", alors que dans ces eaux pleines de plancton il n'y a ... strictement rien à voir. Au point que pour convaincre les plongeurs sous-marins de parcourir... ces fonds de sable, à perte de vue, le chef de l'Etat, le Cheik Mohammed, propriétaire du plus grand yacht du monde ( au point que son tirant d'eau lui interdit l'entrée dans la plupart des ports de plaisance et lui impose pratiquement de rester à quai à Dubaï ) a prévu de jeter chaque matin dans la mer .... un lingot d'or d'un kilo, au voisinage de ces ensembles de milliers de résidences à trois millions de dollars pièce. Accessoirement il possède " l'avion privé le plus grand du monde ". Un ... 747, ce qui limite l'accès à un nombre très limité de terrains. Il en a un second pour ... transporter ses chevaux de course....
Le yacht du Cheik Mohammed ( l'avant est à gauche )
Ces gens pourraient rendre leur désert habitable en créant des colonies énergétiquement autonomes, en concrétisant au passage la phrase de la chanson des frères Jacques :
Mais son rêve, c'était d'faire pousser l'gazon....
Qui apprendra à ces gens à rêver, avec des rêves réellement riches, comme ceux qu'évoquait un jour le pasteur Martin Luther King, tué d'une balle en plein front et non des rêves plaqués or, des rêves de pacotille.
Au fil de la plume, je repense à la dernière réplique d'un film de Humphrey Bogart, " Le Faucon Maltais ". L'acteur y joue le rôle d'un policier, témoin d'une course effrenée d'hommes et de femmes pour s'approrier une statue de faucun qu'ils imaginent être en or. L'histoire, impitoyable et fiévreuse est jonchée de morts. Dans la dernière scène, un bandit, auteur de nombreux crimes, qui pensait enfin s'être approprié l'objet, demande, menottes aux mains aux officiers de police qui l'ont arrêté, en désignant ce faucon.
- What is it made of ? ( De quoi cela est-il fait ? )
Un des officiers gratte la statue avec un canif, enlève la peinture qui la recouvre, et lui répond, laconique :
- Led... ( du plomb )
Et Bogart lâche la dernière réplique :
- What men's dreams are made of ( ce dont les rêves des hommes sont faits )
Les rêves sont les moteurs des activités humaines. Tout ce qui dépasse la satisfaction des besoins immédiats relève du rêve. La puissance des rêves est considérable. Dans le livre d'Aldous Huxley, si prémonitoire, les rêves des hommes étaient gérés par " des ingénieurs en émotions ". Or, moi, je vous dis : récupérez le monde de vos propres rêves. Reapprenez à rêver le monde futur de manière moins médiocre, sinon au mieux vous finirez comme Chirac, dans son château, avec un cerveau qui commence déjà à se déglinguer son un zizi qui ne doit guère valoir mieux. Eh oui, la vie est un voyage. Quel que soit le compartiment qu'on emprunte, entassé dans un wagon étouffant, ou balayé par des vents glacés, ou confortablement installé dans un wagon Pulman de luxe, on n'échappe pas à la visite d'un étrange contrôleur vétu de vert, avec une calote sur la tête. Il demande les tickets des présents, les examine. Et puis, soudain il se tourne vers l'un d'eux :
- Ah, je vois là que vous descendez à la
prochaine...
- Comment ! Ce train ne va pas jusqu'au terminus ?
- Le train, oui, mais vous, non.
- Pourtant j'avais payé ce billet fort cher.
- Je suis désolé. Ca n'est pas moi qui imprime les billets...
Et il passe au compartiment suivant.
J'avais une amie issue d'une famille assez riche. Son père, décédé, qui fut un de mes meilleurs amis, doit sourire en lisant ces lignes par dessus mon épaule. Elle avait commencé par épouser un comte fort riche. Bègue, ennuyeux à périr mais riche. Puis, de mari en mari elle finit par terminer sa vie avec un autre nanti. Je dois à cette femme une phrase qu'elle avait prononcé quand elle avait dix huit ans, et qui est assez jolie.
- L'argent n'est rien pour moi. Je pourrais très bien dormir sur un canapé.
Il y a un an le hasard m'avait conduit à lui rendre visite. Son dernier époux agonisait, à l'étage supérieur, atteint d'un cancer au poumon. Il n'était pas visible. On l'entendait respirer avec difficulté. Il allait être transporté le lendemain "dans le service du grand professeur Machin ". Mais, quand on en est à ce stade, mourir dans le luxe ne sert pas à grand chose. Cet homme allait partir. Ca n'était plus qu'une question de jours, ou même d'heures. Partir, dans tous les sens du terme. Ses valises, en bas, étaient prêtes. Des valises Vuiton.
J'imaginais une scène, dans l'au delà. Il y aurait un tableau à faire : l'antichambre de l'au-delà. Pêle-mêle, des valises Vuiton et des besaces trouées. Quand on arrive, un employé doit dire :
- Vous laissez simplement cela ici ....
La seule chose que l'ont peut conserver, peut être, ce sont les rêves. Ca peut se dire avec une chanson. L'amour fait partie des rêves des hommes et des femmes. Ce sont alors des rêves vécus, un temps, à deux. Il est bon d'en faire provision, d'en vivre. Aujourd'hui je pourrais dire :
Réapprenez à rêver par vous-mêmes, sinon d'autres rêveront pour vous
Comme disait le vieil Indien dans Little Big Man, soudain " mon coeur s'envole comme un faucon ". Mais revenons aux moteurs Stirling. Tout ceci représente des recherches tout à fait passionnantes. Cela représente aussi des investissements et on se prête à rêver à tout ce qu'on pourrait faire si au lieu de gâcher des dizaines de milliards d'euros dans ces stupidités, condamnées à la stérilité, que sont les projets Mégajoule et ITER on consacrait le dixième de ces budget au développement de sources d'énergies nouvelles réellement intelligentes.
Il faudra que je regarde au passage comment ces moteurs pourraient exploiter des différences de température faibles, de quelques dizaines de degrés, par exemple surface-profondeur des océans, dans des régions tropicale ou dans des lacs. J'ai cru entrevoir que c'était possible et je serais preneur d'un papier sur cet aspects des choses. Si c'était le cas il serait possible d'implanter, dans les régions tropicales, des stations créant de l'électricité, immergées sous seulement vingt mètres d'eau, ce qui les mettrait à l'abri des plus fortes tempêtes. Idem dans des lacs.
Ces développements sont freinés par des lobbies de toutes sortes. L'énergie électrique, en France, est un lobby. Je regardais hier soir un reportage sur le nuage de Tchernobyl "qui s'est miraculeusement arrêté à nos frontières". Le film montrait l'étendue du mensonge d'Etat, immédiatement piloté depuis l'Elysée par Mitterand, Président et Chirac, Vice-Président depuis un mois et demi, et dejà menteur. Il ne fallait à aucun prix que les Français, affolés par l'évènement, ne remettent en cause le vaste projet nucléaire français. Il y avait des sous derrière tout cela, et des voix d'électeurs. On a donc tu des faits avérés, menti délibérément aux Français et un nombre inévaluable de gens ont contracté des cancers, en particulier à la thyroïde, à cause des pressions exercées par le lobby du nucléaire sur les hommes politiques français. Alors que dans tous les pays limitrophes des mesures efficaces ont immédiatement été prises. On a distribué des cachets d'iode, interdit la consommation des légumes à larges feuilles, comme les salades, capables de fixer des poussières. On a recommandé aux gens de fermer leurs fenêtres. On a vidé les piscines, les bacs à sable des enfants. On a en tout rendu publiques toutes les mesures effectuées, chiffres qui ont été délibérément cachés aux français, le professeur Pélerin disant "que, de toute façon, les français ou les journalistes ne sauraient pas les interopréter". Tous les relais ont été trouvés, pour ce faire, y compris celui de ce Professeur Pellerin, spécialiste de la médecine nucléaire, qui finit par être confondu lors d'une émission à la télévision par le journaliste Jean-Claude Bourret, bien trop tard malheureusement. Le film décrit l'étendue du mensonge, qui est inimaginable et révèle une vaste cascade de responsabilités, à commencer celle des préfets de régions, qui reçurent consigne d'ignorer délibérément les signaux d'alerte délivrés par des dizaines de spécialistes dont les instruments de mesure et d'alerte sifflaient en continu, la radioactivité moyenne de l'air ayant été, dans l'ensemble du territoire français, multipliée par cinq ! En Corse, des pompiers virent même passer le nuage radioactif au ... ras du sol, sous forme d'un brouillard opaque qui affola tous leurs détecteurs et les incita à fermer immédiatement leurs fenêtres. Dans l'émission, ils témoignent. A la bêtise, à l'incompétence s'ajouta l'irresponsabilité criminelle, qui restera impunie. Mitterand est mort, mais Chirac, retranché dans un château qu'il a fait rénover aux frais des contribuables ne sera jamais puni pour ses nombreux manquements et détournements d'argents, fausses factures (4000 F de "frais de bouche" par jour pour nourrir le couple Chirac), salaires fictifs etc.
Personnellement je me demande comment Mitterand, authentique fripouille, a pu pendant des années "maintenir son entourage sous le charme". Je pense qu'avec moi, ce côté "gourou" n'aurait pas pris. Un lecteur de son entourage m'a dit qu'il nhésitait pas à brandir des menaces très explicites. C'est un Président dont un ministre s'est suicidé d'une balle dans le dos, ce qui mériterait de figurer au livre des records.
Il faudra ouvrir un autre secteur concernant l'éolien. Là encore il y a des masses de choses à dire. Il ne faudrait pas faire n'importe quoi. Des lecteurs m'ont signalé qu'il existait bel et bien un lobby de l'éolien. Déjà. Or ces engins tripales, outre de représenter une nuisance esthétique, produisent des infra-sons nuisibles pour la santé. Ce lobby contrarie l'émergence de systèmes plus rationnels et plus compacts que son les éoliennes carénées. C'est comme si l'hélice interdisait l'émergence du turbo-réacteur à double flux, à soufflante, deux fois plus rentable que la première.
Ce ne sont pas les pouvoir publics, ou notre ministère de la recherche et de la technologie ( poste un moment tenue par ..... Claudie Haygneré ! ), ce fossile qu'est le Cnrs ( qui contient pourtant les éléments français les plus brillants et les plus créatifs, mais qui est hélas parasité par de trop nombreux imbéciles ), ou même nos grands secteurs industriels, tentés par l'aventure de l'ultra-libéralisme et les profits à court terme qui réaliseront les investissements-clés dans ces domaines.
A ce sujet je voudrais citer une anecdote émanant du gendre de mon ami le mathématicien Jean-Marie Souriau, Matthias Trottin ( ancien militaire au passage ). Un jour je lui demandais :
- Pourquoi est-ce que certaines choses marchent, en France, et d'autres, non ? Pourquoi avez vous réussi à créer à Kourou un centre d'essai qui a bien fonctionné? Tu es actuellement à la retraite, mais pendant longtemps, tu as été directeur des tirs. Explique.....
- Quand on a voulu me confier ce poste j'ai dit que je n'accepterais qie si on me donnait carte blanche. J'ai alors imposé deux mesures. La première était de se montrer très pointilleux sur le recrutement, en se concentrant sur les compétences, les qualités réelles des individus, jointes à une capacité de travailler en groupe et non exclusivement sur leurs titres et diplômes. J'avais ensuite imposé une seconde mesure. Si quelqu'un dans la maison constatait un disfonctionnement quelconque, une erreur de gestion ou d'orientation, il devait les signaler aussitôt, même si ces erreurs mettaient en cause un de ses supérieurs, en sachant que s'il ne le faisait pas il serait à terme lui-mêrme sanctionné. Et il y avait aussi un troisième aspect qui a fait que les choses ont relativement bien marché.
- Quoi ?
- On avait seulement dix pour cent de cons.
Un chiffre qui laisse rêveur. Nous avons des gens brillants au Cnrs, mais ce pourcentage, dans le secteur université-recherche est certainement plus élevé. Je n'oserais hasarder un chiffre, s'agissant de notre classe politique, toutes tendances confoindues. Là, on tournerait peut être autour de 90 %, voire plus. Car, comme je l'avais écrit dans un livre en 1986 les cons sont une race grégaire très envahissante. A la différence des gens brillants qui ne savant guère s'entre-aider , les cons savent très intelligemment se reconnaître, s'identifier et se soutenir. Ils recrutent activement leurs semblables, ou même des individus plus avancés qu'eux dans cette voie. Ils peuvent ainsi gangrener des structures très efficacement. Sous cet aspect le con, l'inefficace, l'énergétiquement dissipatif présentent des aspects qui ne peuvent que forcer le respect.
Je reviens sur ce thème des énergies nouvelles. Il faudra que les citoyens eux-mêmes impulsent ce mouvement, que l'Etat Français a été incapable d'initier. Notre retard en la matière vis à vis des Allemands est spectaculaire. Je l'ai écrit ces jours derniers : la Trosième Guerre MOindiale est déjà commencé. C'est celle de l'information contre la désinformation, le mensonge. C'est aussi celle de l'intelligence, de la créativité, de la probité, face à l'inertie, face à la connerie et la malhonnêteté.
Dites-vous par exemple que si Internet avait existé du temps de Tchernobyl les choses se seraient passées différemment. Le " Web-téléphone " aurait fonctionné à plein régime et les gens auraient été informés, auraient pu aller vérifier les faits par eux-mêmes ( dans les centres équipés pour effectuer des mesures ou en achetant eux mêmes leur propre détecteur ).
Oui, les choses ont totalement changé, et vous ne le réalisez pas. Jimmy Walter et son équipe luttent courageusement contre le mensonge le plus horrible de l'histoire du monde. Une poignée d'hommes et de femmes courageux luttent contre le mensonge, la corruption, mais peut être pire encore, contre la connerie. Car jamais l'équipe dirigeante des USA n'a été composée de gens aussi incompétents et soumis aux puissances d'argent, et par le fait, malfaisants.
Les médias français vous ont pulvérisé la tête pour vous inciter à accepter une constitution européenne rédigée par des imbéciles, Giscard d'Estaing en tête. Tous les hommes politiques, à des très rares exceptions, de droite comme de gauche, s'y sont mis. Tous les médias, tous les journaux. Mais, à cause de quelques sites internet vous n'avez pas marché. Le plan a foiré lamentablement.
Etonnant, comme disait Desproges.
Dans tous les domaines, dans tous les pays, les citoyens, les hommes et les femmes de bonne volonté vont devoir reprendre les rênes d'une manière totalement nouvellen, en commençant par dénoncer et refuser la corruption, l'exploitation éhontée des êtres humains.
Au passage, je me souviens d'une phrase de mon vieux compagnon, le Russe Vladimir Golubev, pionniers de la MHD avec Vélikhov, qui était dans les années soixante membre du parti communiste d'Union Soviétique :
- On dit que chez vous c'est l'exploitatin de l'homme par l'homme. Eh bien, chez nous, c'est l'inverse....
Quand j'étais lycéen, mon prof de français me disait que je ne serais jamais capable de composer une dissertation, parce que je passais toujours d'un sujet à l'autre. Spécialiste en chemins de traverse je m'aperçois que je digresse aisément.
On ne se refait pas.
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