Annonce d'une conférence sur ITER :

création de cette page web : 16 mai 2013 - 23et 27 mai 2013 (voir plus bas)

Jérôme Pamela, directeur de l'agence ITER-France, donnera le 6 juin prochaine une conférence sur ITER, à l'école des Arts et Métiers d'Aix en Provence. Voici l'annonce :

 

27 mai 2013 : A monsieur Jérome Pamela

Directeur de l'Agence ITER France.

Monsieur,

Depuis ce matin la cinquième et dernière partie des vidéos que j'ai enregistrées, concernant le projet ITER, est maintenant disponible sur Youtube.

https://www.youtube.com/watch?v=9vwGo2npm94

faisant suite à l'ensemble accessible sur :

https://www.youtube.com/user/JPPETITofficiel

Je souhaiterais que vous en preniez également connaissance.

Dans sa seconde partie elle comporte l'évocation d'une filière basée sur une fusion impulsionnelle (Z-machine). J'aurai, à ce sujet, des questions supplémentaires à formuler :

- Avez-vous connaissance de ce dossier concernant la Z-machine ?

- Dans la mesure où, comme je le pense, les chercheurs de Cadarache (et/ou) d'ITER n'ont probablement que des idées assez vagues sur ce sujet, seriez-vous favorable au fait que je puisse donner une conférence sur ce thème à L'Institut National des Sciences et des Techniques Nucléaires, à Cadarache ? (préférable à l'IRM, Institut de recherche sur la Fusion Magnétique, où le public ne pourrait pas avoir aisément accès, étant donnée sa situation intra muros).

J'ai noté, dans votre courtoise réponse par e-mail, que vous efforceriez de répondre aux question que je vous ai soumis et je vous en remercie.

Sincèrement à vous

Jean-Pierre Petit .

 

23 mai 2013 : Je rajoute ceci en haut de page. Je serai donc présent aux Arts et Métiers d'Aix en provence, le 6 juin 2013. J'assisterai à la conférence de Jérôme Pamela et je lui poserai quelques questions.

Il serait intéressant que des gens viennent (il faut s'inscrire préalablement, voir ci-dessus) et filment, non seulement sa conférence, mais l'échange que nous aurons ensuite, et la réponse à mes questions, ainsi que son éventuelle réaction, vis à vis des quatre vidéos que j'ai mis sur Youtube. Il serait intéressant que ces enregistrements puissent ensuite être mis en ligne sur Youtube.

Voici le courriel que je lui ai adressé :


 
Jean-Pierre Petit

Ancien directeur de recherche au CNRS
Physicien des plasmas ( toujours en activité : communications aux colloques internationaux de la spécialiste de Vilnius, Lithuanie, 2008, Brème en 2009, Jéju (Corée), 2010, Prague, et prochainement Varsovie 2013 )
 
A Monsieur Jérome Pamela
Directeur de l'Agence ITER France
 
Monsieur le Directeur,
 
Je me suis inscrit pour assister à la conférence que vous donnerez le 6 juin prochain à l’Ecole des Arts et Métiers d’Aix en Provence, de 18 à 20 heures.
 
J’aurai à cette occasion un certain nombre de question à vous poser.
 
Vous savez peut être qu’en 2010 j’avais rédigé un document qui avait été adressé, en français et en anglais, à la commission du budget du Parlement Européen, concernant le projet ITER. Ceci m’avait valu la mise en ligne d’un texte de 10 pages, en français et en anglais, dans le site du CEA, qui était censé représenter une réfutation de mes propos.
 
J’ai vainement cherché à savoir qui en était l’auteur, ou les auteurs. En démarchant auprès du CEA j’ai simplement pu savoir que ce texte émanait « d’un groupe de personnes qui ne tenaient pas que leurs noms soient communiqués ».
 
J’ai vainement demandé, sans avoir de réponse, fut-elle négative, de publier un droit de réponse, vis à vis d’un texte qui visait à me discréditer au plan scientifique.
 
Comme j’ai vainement tenté de dialoguer avec des gens comme Bernard Bigot, Jean Jacquinot ou Philippe Gendrih, qui m’a adressé un mail où il n’y allait pas avec le dos de la cuillère en écrivant :
 
- Quant à votre incompétence, c’est vous qu’elle insulte.
 
Je viens donc de mettre en ligne sur youtube les quatre première parties (sur cinq au total) d’une vidéo que j’ai enregistrée, concernant ce projet ITER. Elle est accessible à partir de la playlist :
 
https://www.youtube.com/playlist?list=PLfdj8oy5zeoEyEgTusYRznnwptG_n-OVo
 
Vidéos qui sont en cours de sous-titrage en langue anglaise.
 
Je souhaitais vivement que vous preniez connaissance de ces éléments et que vous fournissiez votre avis personnel sur ceux-ci.
 
Ces vidéos ont en soi un questionnement public, auquel j’espère que vous aurez la courtoisie de répondre.
 
Subsidiairement, j’aurais des questions techniques à vous poser :
 
- Dans la machine ITER on installera les plus grands bobinages supraconducteurs jamais construits.
Comme dans toute première, cette opération comporte un risque de rupture (techniquement on parle de « transit »).
Comme vous ne l’ignorez pas, lorsque l’installation Tore Supra a été mise en service, à Cadarache, en 1988 sauf erreur, l’une des bobines supraconductrices s’est trouvée détériorée au cours des essais et a dû être remplacée. Cette opération, qui a nécessité un démontage en règle de l’installation, a mis celle-ci hors service pendant deux années.
Au cas où l’un des bobinages d’ITER transiterait, cesserait d’être supraconducteur, et que ceci nécessite son remplacement, comment procéderait-on à cette opération? La chose a-t-elle été envisagée ? La procédure a-t-elle été définie ? A combien évalue-t-on le temps pendant lequel la machine serait hors service ? Le coût de l’opération a-t-il été chiffré ?

Mêmes question dans le cas où des essais avec du tritium auraient été réalisés, rendant l’opération humaine impossible et nécessitant le recours à un robot ?
 
- Autre question : Lors du passage à un fonctionnement avec du tritium, cet élément radioactif contaminera tout ce avec quoi il sera en contact, qu’il s’agisse d’éléments appartenant à la chambre ou des groupes de pompage, etc. Un traitement des effluents gazeux sera donc nécessaire. Comment procédera-t-on ? Devra-t-on opérer une séparation isotopique, et si oui, comment ? Pourriez-vous nous en dire plus sur ce point, décrire, même sommairement, l’installation prévue et donner un ordre de grandeur de son coût ?
 
- Autre question : M. Serguei Putvinski, anciennement chargé du problème des disruptions à ITER Organization (démissionnaire en 2012), m’avait dit que l’épaisseur de la première paroi en béryllium d’ITER serait d’un centimètre. J’ai lu également que la profondeur de pénétration des électrons découplés était évaluée à 3,5 cm. Comment peut-on envisager de travailler avec une première paroi dont l’épaisseur est inférieure à cette profondeur de pénétration ? Pourriez vous éclairer ma lanterne sur ce point ?
 
- Il est dit en outre qu’une disruption majeure volatiliserait dans la chambre une masse de plusieurs dizaines de kilos de béryllium, substance hautement toxique. Pourriez vous nous indiquer quelle procédure serait alors mise en œuvre, quelle serait la technique utilisée, le temps requis par l’opération et son coût ?
 
- Les essais sur Tore Supra et sur JET ont fait montre d’un taux de disruptivité de 10 à 30 %, sur les tirs effectués. Parmi ces événements on compte des disruptions majeures, ayant endommagé les parois de ces machines. A combien évalue-t-on le taux de disruptivité sur ITER ? Quelle sera la procédure envisagée en cas de disruption majeure ?

Sincèrement à vous

                Jean-Pierre Petit
 
 

 

 

Le courriel d'annonce que j'ai reçu donnait des précision sur monsieur Pamela, que je reproduis :

Jérôme PAMELA, Directeur de l'agence ITER-France a accepté de prendre sur son temps pour venir nous instruire.

A sa sortie de l'X, en 1977, il a intégré le CEA pour des recherches sur la physique des particules, puis sur les faisceaux destinés à l'échauffement des plasmas de fusion.

Ensuite, il a dirigé le département "fusion" de Cadarache ;

puis le JET (Joint European Torus) de Culham (UK)

et l'EFDA (European Fusion Development Agreement) à Jülich (Allemagne).

Enfin, en 2010, il a pris la direction de l'agence ITER France, créée en 2006, dont il nous présentera sans doute les nombreuses actions de coordination indispensables pour la construction et la mise en service d'ITER.

C'est donc le conférencier le plus qualifié sur ce sujet que nous aurons l'honneur d'accueillir et le plaisir d'entendre le 6 juin prochain.

Je vous rappelle que cette conférence est, comme les autres, ouverte à toute personne intéressée ; vous pouvez donc en parler autour de vous. Seule l'inscription préalable est obligatoire, de préférence par courriel.

J'avais donné en 2012 une conférence-débat dans le village de Gargas, Vaucluse, sur invitation d'une association dont j'ai oublié le nom. Un membre important de ce groupe ITER, Jean Jacquinot, ancien fondateur et directeur de l'IRFM (Institut de Recherche sur la Fusion Magnétique, sis à Cadarache) avait accepté d'être présent pour "débattre". Mais il déclara forfait au dernier moment.

J'ai quand même donné cette conférence, qui fut enregistrée en vidéo par le responsable de l'association, apparemment assez satisfait de la qualité de ma prestation, également appréciée par le public présent.

Il avait été convenu que cet enregistrement serait ensuite positionné sur Youtube et gratuitement accessible. Mais ce ne fut pas le cas. Pour des raisons qu'il conviendrait d'élucider, celui-ci décida d'effacer le contenu de ces bandes.

J'ai donc réenregistré cette conférence cet été, dans mon jardin, avec l'aide de mon ami Alix. Vous trouverez cet enregistrement en cinq parties. Les quatre premières (sur cinq au total) sont actuellement sur ma page Youtube, à :

https://www.youtube.com/user/JPPETITofficiel

et, plus simplement sur la playlist :

https://www.youtube.com/playlist?list=PLfdj8oy5zeoEyEgTusYRznnwptG_n-OVo

La première, en 48 heures, a été vue 400 fois, la seconde 300, etc

Ne sont pour le moment accessibles sur cette page que les parties I, II, III et IV. La partie III, la plus intéressante, concernant les disruptions. Mise en ligne depuis le 21 mais 2013.

A l'attention des personnes qui envisagent d'assister à la conférence de monsieur Pamela, nous leur conseillons de regarder ces vidéos, ce qui les aidera à mieux formuler leurs questions à l'issue de celle-ci.

Le travail de sous-titrage de cette série de vidéos en langue anglaise est en cours

 

Remarque subsidiaire :

Depuis 2011 des internautes achètent des DvD où figurent neuf interviews d'une heure trente que j'ai données, et qui se trouvent commercialisées par Jean Robin à son propre profit, sous forme de coffrets porteurs chacun de trois DvD (150 euros pour les trois coffrets, plus le port).

Il avait été convenu que Monsieur jean Robin reverserait 3 euros par DvD vendu à l'association Savoir sans Frontières (je n'avais pas personnellement souhaité être rétribué). Il n'a pas respecté cet engagement. Devant plus de 2300 euros à l'association (selon ses propres chiffres), il considère qu'il s'acquitte pleinement de ses engagements en envoyant mensuellement un chèque de 100 euros à SSF. Nous lui avons demandé à plusieurs reprises d'interrompre cette commercialisation, que nous qualifions d'escroquerie et d'abus de confiance. En vain. Il a même le culot de prétendre qu'il diffuse, ce faisant, mes idées, et que je devrais lui en être reconnaissant. Mais s'il est un personnage dont j'aurais souhaité ne jamais croiser la route, c'est bien lui.

 

Jean Robin en train de s'auto-interwiever.

 

Ces trois premières vidéos, consacrées à ITER, font donc maintenant double emploi avec ce que vous pourrez trouver sur celle que Robin commercialise. Elles seront suivies par d'autres, qui seront en outre illustrées par des images et des vidéos, afin que ses éventuels clients finissent par se dire :

- Pourquoi enverrais-je de l'argent à cet homme malhonnête, alors que je peux avoir accès à beaucoup mieux, sans bourse délier ?

Avec de la patience, ce faisant, je finirai bien par être débarrassé ce ce personnage qui, dans toutes les actions qui sont les siennes, ne fait que jouer le rôle d'un parasite. Nombre d'internautes, qui m'écrivent, finissent par le réaliser.

 

20 mai 2013 : Je constate avec satisfaction qu'un internaute a commencé à mettre les vidéos que j'ai enregistrées avec Jean Robin sur Youtube.

Me concernant, je me presse d'indiquer que je ne formulerai aucune réclamation concernant des droits d'auteur se référant à ces 9 DvD d'une heure trente, que Robin vend à son propre profit.

Si Robin le fait, j'espère que Youtube lui demandera aussitôt la copie du bout de papier que celui-ci est censé m'avoir fait signer, à la sauvette, comme le font les bons escrocs quand ils ont affaire à quelqu'un de généreux et de naïf. Ma femme dit se souvenir que j'aurais signé un tel bout de papier. Pas moi.

Et Robin s'est toujours refusé à m'en envoyer copie.

Si ce document existe, il devrait porter la mention des 3 euros par DvD vendu que Robin aurait été censé reverser à l'Association Savoir sans Frontières. Comme il ne respecte pas ces engagements (il y a six mois il avouait devoir 2300 euros à l'association) ce "contrat" non honoré n'aurait ainsi plus de valeur, de facto. Depuis une année, j'ai vainement demandé à Robin de cesser ces ventes et de mettre ces interviews en téléchargeable gratuit sur le net.

Silence, on s'emplit les poches ....

Depuis 2010 Robin s'est suffisamment rempli les poches avec ces ventes, dont il avait admis, à l'époque, qu'elle démarrait "très fort". Si des Internautes réalisent la mise en place de ces 9 DvD sur Youtube, ils feront cesser ce qui n'a jamais été qu'un abus de confiance et une escroquerie. Enfin !

Ce lamentable clown a eu le culot de dire et d'écrire " aucun journaliste ou éditeur n'a jamais fait ce que j'ai fait pour vous ".

Si vous regardez ces vidéos, le "travail" de Robin que j'ai, de même que sa compagne, logé et nourri, a effectué un "travail" qui s'est limité à déplier un pied, à fixer sa caméra vidéo et à appuyer sur le bouton " on ". Il n'a eu aucun travail de montage à faire. Il n'a mis en place aucune illustration graphique et s'est contenté, après édition des DvD d'ouvrir son tiroir-caisse.

Même constat pour l'édition de la Bible en BD. J'ai un mail de lui où il m'écrivai en 2012 : " je viens de finir la seconde lecture du manuscrit, et j'estime avoir fait là, largement, mon travail d'éditeur". Effectivement, tout le travail que fait normalement l'éditeur, c'est ma femme et moi qui nous le sommes tapé. Le choix du format, la mise en page des âges "droite" et "gauche", la création du fichier indesign, qui est ce dont l'éditeur a besoin pour lancer son impression. Nous avons choisi le grammage du papier, géré tous les échanges avec l'imprimeur. Sinon cette édition aurait été catastrophique, effectuée sur du papier de 80 grammes, qui ne convient que pour des formats plus petits. Le livre aurait eu la tenue, du fait de l'incompétence de Robin, d'un annuaire téléphonique. Nous avons malheureusement fait l'erreur de penser, dans le climat de pression où nous devions travailler, pour sortir l'ouvrage à temps, pour Noël 2011, de croire qu'il gérerait les inévitables erreurs orthographiques. Grave erreur : l'ouvrage en est bourré. Il y en a près de deux cent.

Voici les adresses Youtube de ces première vidéos :

https://www.youtube.com/watch?v=m43nzTj_5T4

3/3 : https://www.youtube.com/watch?v=eveeCCbXxIc

 

Ceci n'a pas rapport, mais je signale que cette vidéo UFO-science a été vue par 128.000 internautes :

http://www.dailymotion.com/video/x5eye6_ufo-science_tech#.UZmbrYX83bk

La présentation de nos travaux expérimentaux au colloque de Jéju, Corée (22.000 vues):

http://www.youtube.com/watch?v=PZteb3moISs

Je constate avec plaisir que les quatre Vidéos sur ITER ( il y en aura cinq au total ) sont consultés à rythme élevé, à partir de :

https://www.youtube.com/playlist?list=PLfdj8oy5zeoEyEgTusYRznnwptG_n-OVo

Et encore plus que celle où j'expose mes idées sur le phénomène de la Vie a été téléchargée 1300 fois en 48 heures (le bouche à oreille).

https://www.youtube.com/user/JPPETITofficiel