Fausse paudémie : l'OMS sur la sellette

Source : http://www.alterinfo.net/Le-Parlement-europeen-va-enqueter-sur-l-OMS-et-le-scandale-pandemique_a40907.html

Le public français aurait tort de concentrer toutes ses critiques sur la seule personne de Roselyne Bachelot, comme si la politique de vaccination à outrance, menée en France, n'était due qu'à son propre aveuglement et à sa supposée stupidité.

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bachelot écrit aux assurés

 

Il est beaucoup plus pertinent de rechercher les responsabilités à un plus haut niveau. Cette vaste opération de vaccination trouve en fait son origine à l'OMS, l'Organisation Mondiale de la Santé, organisme qui est censé veiller sur la santé des citoyens du monde entier. On l'imagine relevant de l'ONU, indépendant des lobbies pharmaceutiques, uniquement soucieux de l'état de santé des habitants de cette planète.

 

margaret chan

Margaret Chan, présidente de l'OMS, annonçant que la grippe A(H1N1) doit être considérée comme une "pandémie"

Une escroquerie planétaire

 

La vérité est toute autre. Dans l'article qui suit, on apprend que le Dr Wolfgang Wodarg, Président du Comité européen sur la santé du Parlement. Wodarg, médecin et épidémiologiste, spécialiste en maladies pulmonaires et en médecine environnementale, a déposé une motion réclamant la mise en accusation de l'OMS pour ce qu'il considère comme « l'un des plus grands scandales médicaux du siècle. ». En effet, tout est parti d'une redéfinition du concept de pandémie, par l'OMS, effectuée en l'absence de toute consultation ! Personne ne sait qui et quand cette décision a été prise. Toujours est-il qu'un jour ce changement de définition est apparu sur le site de l'OMS. Sa directrice, madame Chan, est de ce fait juridiquement responsable de cette manipulation, qui fut le point de départ de cette opération, d'envergure internationale.

Antérieurement, était considérée comme une pandémie une affection

- qui touchait un nombre important de pays ( " pan " en Grec, veut dire " tout " )

- qui revétait un certain caractère de gravité

La modification apportée par l'OMS à cette définition a consisté à faire disparaître le second critère, ce qui permettait de considérer la grippe ( quelle que soit la souche virale et la gravité des atteintes ! ) comme une pandémie.

La grippe classique, saisonnière, est une affection extrêmement contagieuse, qui s'étend tout naturellement à un grand nombre de pays, à cause du développement mondial du système de communications. Personne ne songerait à s'en protéger de manière drastique, s'il ne s'agit pas de sujets à risques :

- très jeunes enfants dont le système immunitaire n'est pas encore constitué

- personnes âges dont les système immunitaire est devenu déficient avec l'âge.

Mais, d'une manière générale, si un être humain contracte une grippe, le risque de décéder est d'une chance sur mille. Encore faut-il appartenir aux deux groupes précités. Chaque année, un nombre très importants d'hommes, de femmes, d'enfants et de vieillards contractent la grippe, et la vivent de façon si bénigne qu'ils ... ne s'en aperçoivent même pas, et se constituent ainsi naturellement une défense immunitaire, sans adjuvants toxiques, ni retombées sous forme, de pathologies graves liées soit à ceux ci, soit à des produits conservateurs des vaccins.

Le changement de définition de la pandémie permit à madame Chan de proférer sa fracassante annonce " du passage en niveau 6 " ( photo ci-dessus ), celle-ci servant de point de départ à une campagne alarmiste à échelle planétaire, alors même que cette grippe H1N1 avait déjà jooué son rôle dans l'hémisphère sud, sans dégâts notables. Le nombre des décès enregistrés en Argentine, Australie, Nouvelle-Zélande, Chili était plutôt plus faible que pour la grippe saisonnière des années passées. Mais on entendit parler, partout de " grippe pandémique ", mot que les politiques et les journalistes reprirent aussitôt. Sans parler des experts à la solde des compagnies pharmaceutiques, alors que selon ce nouveau critère, toutes celles qui avaient précédé devenaient des ... grippes pandémiques !!

On peut discerner deux " retombées" d'une telle déclaration et prise de position.

- L'annonce d'un profit considérable pour les grands trusts pharmaceutiques

- Une répétition générale de l'exercice d'un gouvernement planétaire, du Nouvel Ordre Mondial, dans le domaine de la santé publique, avec passage des systèmes de gestion de crises, à l'échelle des nations, sous le contrôle de ... l'OMS, cr'est à dire d'une autorité supranationale.

Je n'ai pas la date en tête, mais la ministre (socialiste !) belge de la santé fut une des première à manifester cet alignement, cette soumission, cette décision de mettre le système médical belge sous ... les ordres de l'OMS, ce qui provoqua un tel tollé dans le pays, qu'elle dut immédiatement annuler cette décision !

Aux Etats Unis, un nombre de morts ridicule (mille) , par rapport au nombre annuel moyen de décès dans le pays du fait de la grippe saisonnière ( 15.000 ) permit à Barak Obama de déclarer l'état d'urgence (...). Dans certains états d'Amérique les autorités se déclaraient prêts à vacciner d'autorité les citoyens, y compris avec l'aide de l'armée, et d'interner les récalcitrants dans des camps. Simple remarque en passant : personne n'accorde maintenant plus la moindre confiance à ce nouveau proséident des Etats Unis. Lire mon commentaire de son discours à West Point, justifiant l'envoi de 30.000 hommes supplémentaires en Afghanistan.

Mais, visiblement, le plan, l'opération pandémie fait long feu, dans tous les pays.

L'OMS y perd son crédit, de même que les différents gouvernements qui se sont montrés partie prenante de ce plan sordide.

En France, des citoyens ont déposé une plainte en référé contre Roselyne Bachelot, ministre de la santé.

Quelle instance pourrait traduire en justice madame Chan, présidente de l'OMS ? Car telle devrait être la suite logique d'une telle escroquerie et manipulation, à l'échelle planétaire.

 

Le Parlement européen va enquêter sur l’OMS et le scandale « pandémique »



F. William Engdahl

Jeudi 31 Décembre 2009

 


Le Parlement européen va enquêter sur l’OMS et le scandale « pandémique »

F. William Engdahl, 31 décembre 2009

      Les membres du Conseil de l'Europe lanceront une enquête en janvier 2010 sur l'influence des compagnies pharmaceutiques dans la campagne mondiale de grippe porcine, en se concentrant plus particulièrement sur l'étendue de l’influence de l'industrie pharmaceutique au sein de l'OMS. Le Comité sur la santé du Parlement européen a adopté à l'unanimité une résolution exigeant une enquête. Cette démarche est une initiative attendue depuis longtemps pour assurer la transparence publique sur un « Triangle d'or » de la corruption thérapeutique entre l'OMS, l'industrie pharmaceutique et les chercheurs universitaires, qui ont compromis à jamais la vie de millions de gens et même provoqué la mort.

      La motion du Parlement a été présentée par le Dr Wolfgang Wodarg, ancien membre du SPD au Bundestag allemand et aujourd’hui Président du Comité européen sur la santé du Parlement. Wodarg est médecin et épidémiologiste, spécialiste en maladies pulmonaires et en médecine environnementale.

Il considère que la campagne actuelle sur la pandémie de grippe porcine de l'OMS est « l'un des plus grands scandales médicaux du siècle. »

      Le texte de la résolution venant juste d’être adoptée par un nombre suffisant au sein du Conseil du Parlement de l'Europe, dit entre autres choses, « Afin de promouvoir leurs médicaments et vaccins brevetés contre la grippe, les compagnies pharmaceutiques ont influencé les scientifiques et les organismes officiels responsables des normes de santé publique, afin d’alarmer les gouvernements du monde entier et leur faire gaspiller leurs maigres ressources de santé dans des stratégies vaccinales inefficace et exposer inutilement des millions de gens en bonne santé au risque d'un nombre inconnu d'effets secondaires des vaccins insuffisamment testés. La campagne de grippe aviaire (2005/06) combinée à la campagne de grippe porcine semblent avoir provoqué beaucoup de dégâts, non seulement chez certains patients vaccinés et dans les budgets de santé publique, mais aussi dans la crédibilité et la responsabilisation d’importantes agences de santé internationales. »

      L'enquête Parlementaire se penchera sur la question de la « fausse pandémie » déclarée en juin 2009 par l'OMS sur les conseils de son groupe d'experts universitaires, le SAGE, dont il a été documenté que de nombreux membres ont des liens financiers profonds avec GlaxoSmithKline, Roche, Novartis, ces mêmes géants pharmaceutiques qui profitent de la production de médicaments et de vaccins non testés contre le H1N1. Elle étudiera l'influence de l'industrie pharmaceutique dans la création de la campagne mondiale contre la fameuse grippe aviaire du H5N1. L’enquête aura la priorité « urgente » à l'assemblée générale du Parlement.

      Dans sa déclaration officielle devant le comité, Wodarg a critiqué l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les responsables de l'OMS, affirmant que cela a conduit à une situation où « des millions de gens en bonne santé sont exposés inutilement aux risques des vaccins mal testés, et cela, pour une souche grippale « infiniment moins dangereuse » que toutes les épidémies de grippe antérieures.

      Wodarg dit que l'enquête du Parlement européen doit se concentrer particulièrement sur le rôle de l'OMS et sa déclaration de l’état d'urgence pandémique en juin.

Pour la première fois, en avril 2009, au moment où étaient signalés les premiers cas au Mexique, les critères pandémiques de l'OMS ont été modifiée de manière à déclarer l’état « pandémique » non pas sur le risque réel de maladie mais sur le nombre de cas de la maladie concernée. En cataloguant pandémie la grippe porcine, les pays ont été obligés de mettre en œuvre les plans pandémiques et d’acheter les vaccins contre la grippe porcine. Du fait que l'OMS n'est soumise à aucun contrôle parlementaire, Wodarg affirme qu'il est nécessaire que les gouvernements insistent sur le fait qu’elle doit rendre compte de ses actions. L'enquête permettra aussi de jeter un coup d’œil sur le rôle des deux organismes déterminants en Allemagne dans la publication des directives sur la pandémie, l’Institut Paul-Ehrlich et Robert-Koch Institut.

 


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