Dernier papier de l'Australien Joe Vialls

( décédé en juillet 2005 d'un arrêt cardiaque )

 

Avant de reproduire cet article, paru dans la version anglaise de la Pravda, signalons que les services secrets disposent d''une gamme extrêmement vaste de produits permettant de faire passer quiconque de vie à trépas, de la manière la plus naturelle possible. En 1988 le président Zia fut tué dans l'accident de l'appareil qui le transportait. L'examen de l'épave révéla que les commandes de vol avaient été enduites d'une substance appelée barnetyl, qui agit par voie transcutanée. Les pilotes de l'appareil, en saisissant ces commandes à mains nues se trouvèrent ainsi intoxiqués. Le barnetyl perturbe gravement le contrôle des muscles. Les deux hommes se trouvèrent ainsi, sans même comprendre ce qui leur arrivait, dans l'incapacité de piloter leur appareil, qui s'écrasa.

Rendons au passage hommage à Joe Vialls, dont nous présentons le dernier article.

Quelqu'un pourrait-il me finir la traduction de cet article à partir de l'anglais ?

Les USA orchestrèrent-ils le gigantesque tsunami de décembre 2004 ?


08/05/2005 14:33

Avec la perte déjà avérée de l’Afghanistan et de l’Iraq, les banquiers de Wall Street recherchaient désespérément d’autres moyens pour contrôler notre planète, lorsque soudain et très opportunément, la fosse océanique de Sumatra a explosé

Malgré le nombre très important de victimes du tsunami dans son propre état du Tamil Nadu, l’Inde a transformé le bâtiment hydrographique INS Nirupak en un hôpital flottant de 50 lits en moins de 72 heures, puis l’a envoyé, dépourvu d’armements, afin d’aider les habitants désespérés d’Aceh, en Indonésie. En revanche, l’Amérique a envoyé des navires de guerre et des marines armés. La marine américaine possède deux navires-hôpitaux de 1 000 lits, le Comfort et le Mercy, mais aucun n’a été envoyé. Bien que le USNS Comfort ait été déployé sur New York quand 3 000 Américains sont morts en septembre 2001, cette inaction constitue un signal fort : 150 000 personnes (principalement des musulmans) ont trouvé la mort en Asie du Sud-Est, un demi million d’autres ont été blessées, mais cela n’émeut pas les puissants à New York.

Le gouvernement indien savait très bien qu’il ne s’agissait pas d’un tremblement de terre « normal ». Le 27 décembre, l’Inde a refusé de rejoindre le projet sélect de « club des quatre », qui aurait eu pour effet concret de retirer cette puissance nucléaire asiatique de sa nouvelle coalition avec la Russie, la Chine et le Brésil. Le 28 décembre, le gouvernement indien mettait poliment en garde les militaires américains contre toute incursion sur son territoire souverain, et le 29 décembre, l’éditorial du India Daily mettait publiquement en doute la nature de l’événement : « Était-ce une épreuve de force menée par un pays pour montrer à la région le type de ravage qui peut être créé ? » ... « Au vu du degré atteint par la dévastation et du rôle de l’Inde en tant que puissance régionale en Asie du Sud, la marine indienne a l’obligation de mener une enquête et d’en communiquer les résultats au monde. »

Théoriquement, il serait facile d’encapsuler une charge militaire thermonucléaire américaine W-53 de 9 mégatonnes dans une simili-chambre de plongée en saturation similaire à celle illustrée sur la droite, afin de la protéger de la très forte pression de 700 kilos par centimètre carré qui règne au fond de la fosse océanique de Sumatra. L’ensemble ainsi blindé pèserait moins de cinq tonnes, ce qui permettrait de le faire glisser à la poupe de tout navire de ravitaillement de plate-forme pétrolière, tel qu’il en existe plus de 300 rien qu’en Asie. Et qui le remarquerait ?

En dépit d’une tendance humaine naturelle à rester silencieux sous le choc au vu du nombre colossal des tués et des blessés survenus dans toute l’Asie le 26 décembre 2004, et malgré la crainte d’une perte de crédibilité personnelle en raison de la magnitude du crime apparent, il existe de nombreuses irrégularités démontrables dans l’histoire officielle américaine du tsunami qui restent encore à être enregistrées maintenant, sous peine de se perdre à jamais dans les sables de l’oubli.

Il est hors de doute qu’un mascaret géant (tsunami) a ravagé le Sud et le Sud-Est de l’Asie, et qu’il a eu encore assez de force pour poursuivre sa route à travers l’océan Indien jusqu’en Afrique, où il a tué et blessé encore quelques centaines de victimes. La seule question que nous devons donc nous poser est de savoir si ce tsunami était d’origine naturelle ou s’il a été provoqué par l’homme. Un événement naturel serait déjà assez horrifiant, mais si le tsunami était artificiel, nous serions alors indubitablement en face d’un des crimes de guerre les plus monstrueux de l’histoire de l’humanité.

À midi, heure locale d’Australie, j’ai fidèlement noté la magnitude et la position enregistrées par l’Office Géophysique de Jakarta, en Indonésie. Un tremblement de terre mesurant 6,4 sur l’échelle de Richter avait frappé le Nord de l’île indonésienne de Sumatra. L’Office Géophysique de Jakarta a noté méticuleusement que l’épicentre de l’événement était situé 155 miles au Sud-Sud-Est de la province d’Aceh.

Cet emplacement se trouve environ 250 miles au Sud de la position retenue ultérieurement par l’Administration Nationale Océanique et Atmosphérique (NOAA) américaine, qui a placé l’épicentre au Nord-Ouest d’Aceh et a initialement fait état d’une intensité de 8,0 sur l’échelle de Richter. Cependant, même cette valeur n’était pas suffisante pour rendre compte des dommages causés par cet événement extraordinaire. La NOAA a donc fait passer progressivement cette valeur à 8,5, puis à 8,9, et pour finir à 9,0 – du moins à l’heure actuelle.

Les premières irrégularités démontrables ont donc été colportées par des officiels américains de la NOAA, qui ont soudainement inventé un nouveau pic d’onde sismique « flexible » pour l’événement, d’une magnitude bien supérieure à celle de Jakarta, alors que le bureau de Jakarta était situé bien plus près, presque à bout portant. Croyez-moi lorsque je vous dis qu’il n’existe rien qui ressemble au prétendu nouveau pic « flexible » de la NOAA. Le premier pic sismique que vous enregistrez est le seul véritable, à moins bien entendu que vous n’impliquiez manuellement quelques autres pics de votre cru, dans le but de coller à un agenda qui vous arrange. Naturellement, il n’y a également qu’un seul épicentre, qui a été fidèlement enregistré par des douzaines de sismographes en Indonésie et en Inde.

Le matin du 27 décembre, les médias australiens (sous contrôle d’actionnaires de New York) disaient très clairement que le pays le plus touché de la région était le Sri Lanka, une île située à la pointe Sud de l’Inde qui, comme l’Australie, fait partie du Commonwealth britannique. En conséquence, Tim Costello, dirigeant de l’une des plus importantes associations caritatives d’Australie, s’est immédiatement employé à se rendre sur place pour y évaluer les besoins en aide. Mais ce même matin, Little Johnny [surnom de John Howard, premier ministre australien en exercice] dansait au son d’une toute autre musique qui, du fait de sa docilité avérée, devait provenir du combiné de la ligne téléphonique directe sécurisée qui le relie à Wall Street.

Agissant véritablement à la dérobée, Little Johnny a secrètement envoyé deux avions de transport Hercules de la RAAF (armée de l’air australienne) chargés de vivres en Malaisie afin qu’ils s’y tiennent en attente, ainsi que deux autres à Darwin, dans le Nord de l’Australie. Notez que si Little Johnny avait eu la moindre préoccupation humanitaire, les quatre Hercules auraient pu s’envoler directement vers le pays partenaire du Commonwealth, le Sri Lanka, là où tous les autres Australiens avaient appris par les médias que l’aide était requise. Mais non, les choses n’étaient pas prévues ainsi, et Little Johnny attendait patiemment les ordres en provenance de New York.

La durée d’attente fut courte, et après qu’un vol de reconnaissance à haute altitude par un chasseur ait confirmé que la piste était dégagée à Medan, dans l’Est de Sumatra, les quatre Hercules australiens, chargés de combattants, armes et autres équipements, envahirent Sumatra, juste au Sud de la province dévastée d’Aceh. À son tour, avec 90% de sa population tuée par le tsunami, Aceh pourrait peut-être devenir le Guantanamo de l’Indonésie, grouillant de centaines d’Australiens et d’Américains lourdement armés.

Souvenez-vous bien cependant qu’au moment où ces quatre Hercules atterrissaient à Medan, le grand public australien ne savait absolument pas que Sumatra avait été durement touchée. Seul Little Johnny le savait, ainsi que bien sûr sa boule de cristal à New York. Au diable le Sri Lanka, ses patrons voulaient disposer d’une base importante pour les volumineux contrats de reconstruction en Asie, conçus pour pallier aux échecs rencontrés pour le pillage de l’or noir et la reconstruction en Iraq, et permettre à cette bonne vieille Israël de tituber sur ses jambes new-yorkaises pendant encore quelques semaines ou quelques mois.

Inutile de dire que les Australiens n’étaient que le groupe de reconnaissance, destiné à être rapidement rejoint par une armée américaine curieusement bien préparée et bien équipée, bien qu’il soit douteux qu’aucun des officiers et des hommes de troupe concernés aient réellement compris ce qui se passait. Seuls quelques-uns se sont posé la question de savoir pourquoi ils avaient passé toute une année à s’entraîner pour une « mission humanitaire », alors que l’objectif premier de la marine américaine et du Marine Corps est généralement de tuer des gens en masse. Regardez Fallujah, vous autres, regardez donc Fallujah.

Comme par magie, le Pentagone réussit à disposer de deux groupements de bataille prêts à appareiller sans préavis de Hong Kong et de Guam au cours de la période généralement chaotique des fêtes de fin d’année. Mince alors ! La discipline militaire a fait des progrès fulgurants depuis mon époque, quand tout le monde, jusqu’au chat du navire, faisait la grasse matinée dans un de ces hôtels à la réputation plus que douteuse. Mais pas ces plus de 10 000 Américains, qui avaient dû se tenir au garde-à-vous jour et nuit à côté de leurs hamacs, saluant de façon frénétique autant que réglementaire à chaque fois qu’un officier ou sous-officier était en vue.

L’épisode suivant fut magnifiquement orchestré, car il se déroula en haute mer, loin des yeux des curieux sur les docks comme d’imaginaires agents du KGB. Mais j’oubliais… vous devez d’abord savoir qui était dans le coup. À toute vitesse, l’équipe un, composée du porte-avions à propulsion nucléaire USS Abraham Lincoln et de ses navires d’escorte, quitta précipitamment Hong Kong, tandis que l’équipe deux, bien plus intéressante, quittait Guam toutes voiles dehors, menée par l’USS Bonhomme Richard, un navire de débarquement chargé jusqu’au plat-bord de soldats de bois brandissant des armes. Et ce n’est pas tout, croyez-moi, car le Bonhomme Richard était en réalité à la tête d’une véritable armada appelée le Cinquième corps expéditionnaire de choc [Expeditionary Strike Group 5 ou ESG5].

La partie vraiment sournoise (inexplicable) s’est déroulée alors que les deux groupements de bataille entraient dans l’océan Indien. Le USS Abraham Lincoln avait l’air aussi innocent que possible pour un porte-avions embarquant 70 avions d’attaque, mais il transportait déjà 2 000 marines au lieu d’environ 500 en temps normal. C’est une puissance de feu bien lourde pour un déploiement dans les rues désertes de Banda Aceh, en particulier lorsque Wall Street s’attendrait normalement à ce que ces marines meurent tranquillement pour Israël en Iraq. Maintenant, comment savaient-ils que ce renfort de marines serait requis avant que l’équipe un ne quitte Hong Kong, car les 1 500 marines en supplément n’étaient certainement pas en train de flâner autour des docks de Kowloon, attendant qu’on les prenne en stop.

Alors, pendant que les deux groupements de bataille se dirigeaient (apparemment) dans deux directions différentes à travers l’océan Indien déserté, un événement encore plus étrange se produisit. Bien que le Cinquième corps expéditionnaire de choc (humanitaire) fût censé venir en aide aux habitants du Sri Lanka, les marines à bord du Bonhomme Richard furent transférés sur le vaisseau de transport amphibie USS Duluth, qui se sépara alors du Cinquième corps et se dirigea vers l’équipe un. Ainsi, sans que les Indonésiens en soient réellement conscients, le porte-avions (relativement) inoffensif et encombrant USS Abraham Lincoln avait été utilisé pour masquer l’arrivée d’au moins 3 500 US Marines lourdement armés dans la petite province d’Aceh.

Cela nous informe plus ou moins sur des activités militaires connues, bien qu’hier, un caméraman de la télévision australienne ait filmé accidentellement certains de ces marines lourdement armés (qui ont essayé de lui tirer dessus pour qu’il s’éloigne) explorant une base militaire indonésienne dévastée à la recherche d’éventuelles armes restantes. Vous pouvez me trouver vieux jeu, mais si ces gars et leurs patrons sont corrects, ce genre de tâches ne devrait-il pas être laissé à l’armée indonésienne ?

Je resterai circonspect sur la façon exacte dont une arme thermonucléaire américaine puissante aurait pu parvenir au fond de la fosse océanique de Sumatra, bien que toutes les observations sismiques et l’état de préparation de la mission qui a suivi indiquent de façon insistante que c’est ainsi que cela s’est passé. Après tout, nous revenons à la vieille question de savoir à qui profite le crime, et dans ce cas précis, « qui est assez fou pour tuer plus de 150 000 civils simplement pour asseoir son pouvoir ? » Si l’on se base sur leurs performances passées en Iraq et autres pays malchanceux, il semblerait que les seuls candidats réalistes soient Wolfowitz et compagnie, luttant comme à l’habitude pour créer un « gouvernement mondial unique ».

Il est certain qu’aucune autre puissance nucléaire, comme la Russie ou la Chine, n’aurait strictement rien à gagner d’une tuerie aussi effroyable, et donc, comme toujours, nous revenons à Sherlock Holmes grâce à la plume de Sir Arthur Conan Doyle : « Lorsque vous avez éliminé l’impossible, la solution restante, aussi improbable soit-elle, est la vérité. »

Pour le lobby sioniste, il n’est pas bien difficile d’obtenir une arme nucléaire aux États-Unis, en particulier avec le précédent que constituent 100 petites têtes nucléaires air/air « déclassées » sorties en fraude par la petite porte (civile) du Pentagone, pour former le cœur de l’arsenal nucléaire actuel de l’état juif. Une fois qu’un système d’armement est périmé et hors service, les militaires américains, loyaux et non informés, ne peuvent plus en suivre la trace.

Le concepteur de la bombe à ricochet (appelée « Highball ») de la RAF était un savant du nom de Barnes Wallace, qui avait déjà acquis une haute réputation avec son bombardier Wellington, dont la structure géodésique lui permettait de résister à des chocs énormes en vol. De nombreux Wellington revinrent ainsi à la base littéralement en lambeaux, alors que de nombreux appareils similaires tels que les Stirling et Halifax étaient bien trop souvent consignés dans les profondeurs troubles de la Mer du Nord.

Wallace savait qu’un bombardement vertical était une pure perte de temps, et que la seule chance de succès reposait sur la possibilité de placer une mine tout contre la base du mur du barrage. En effet, il est impossible de comprimer l’eau, ce qui signifie que si la mine était placée contre le barrage lors de la détonation, une partie de son énergie serait automatiquement transmise au mur. Si l’explosion avait lieu en eau relativement peu profonde, la plus grande part de l’énergie du souffle se serait perdue dans l’atmosphère, engendrant bien entendu l’explosion d’un immense nuage d’eau.

Bien qu’il soit évident qu’une seule bombe, lancée depuis un seul bombardier Lancaster, ne pourrait détruire le mur du barrage (elle aurait pesé bien trop lourd pour permettre à l’avion de décoller), Wallace avait placé ses espoirs sur le fait scientifiquement établi que la contrainte accumulée serait suffisante, et les faits lui donnèrent raison. Bien qu’officiellement trois des bombes, contenant chacune 3 tonnes de TNT, furent considérées comme des coups au but, l’une d’elles dévia légèrement de sa trajectoire, ce qui signifie que le barrage géant de Möhne fut brisé par 6 tonnes de trinitrotoluène.

C’est précisément l’incompressibilité de l’eau qui compte au fond de la fosse océanique de Sumatra. Au fond de la fosse, la pression exercée sur votre arme favorite est de 700 kilos par centimètre carré, et au-dessus, vous avez une colonne d’eau haute de 7 kilomètres, qui est précisément à l’origine de cette pression. Mais ce n’est pas tout. Le fond de la fosse est plus étroit, ce qui signifie que l’arme est « bordée », avec une chance très réelle de déplacer une plaque tectonique si la puissance utilisée est suffisante.

Dans ce cas précis, il n’était pas vraiment nécessaire de déplacer une plaque tectonique, et la science semble indiquer que si cette explosion avait eu un tel effet, de nombreuses répliques auraient suivi, comme cela s’est produit par le passé pour tous les autres tremblements de terre d’importance. Mais, comme indiqué précédemment, en mettant de côté le caractère apparemment délibérément provocateur des avertissements erronés de la NOAA américaine, il semble ne pas y avoir eu la moindre réplique susceptible d’être reliée de façon directe et scientifique à « l’événement » de la fosse océanique de Sumatra le 26 décembre 2004 à 07:58, heure locale. Les secousses sismiques ultérieures de faible amplitude pourraient être, ou non, liées à l’arme.

Pour contraindre l’Asie à la docilité et assurer la part du lion dans les contrats de reconstruction, incroyablement lucratifs, tout ce qu’il fallait, c’était un tsunami de très grande ampleur visant les pays sélectionnés, ce qui était tout à fait dans les capacités d’une bombe nucléaire de forte puissance. Il n’y a rien de nouveau concernant les explosions marines, ou « Sea Bursts », comme on les appelait, et il y a plus de 30 ans, les États-Unis comme la Russie élaboraient des plans visant à dévaster les cités côtières de leur adversaire à l’aide de cette même technique. Le mascaret provoqué par une explosion dans les eaux profondes est relativement propre, ce qui permet à l’agresseur de s’emparer des terrains, des bâtiments restants, etc. avec un délai minimal.

Si tout s’était passé comme prévu, l’Indonésie, le Sri Lanka et l’Inde seraient revenues dans le giron du FMI et de la Banque Mondiale pour trente ans ou plus — un temps suffisant pour attendre que le prix du pétrole diminue après le fiasco mortel en Iraq. Au même moment, si le gouvernement indien avait mordu à l’appât, cela aurait anéanti la menaçante coalition entre Russie, Chine, Inde et Brésil. Un résultat intéressant en une journée de travail avec une seule arme nucléaire retirée discrètement du processus de déclassement.

Joe Vialls

 

Version Anglaise :

Did the USA orchestrate the mammoth Asian tsunami of December 2004 ?
08/05/2005 14:33
With Afghanistan and Iraq already lost, the Wall Street bankers were all desperately looking for other ways to control our world, when suddenly and very conveniently, the Sumatran Trench exploded

Despite having a huge number of tsunami victims in its own State of Tamil Nadu, India completely converted the survey ship INS Nirupak into a 50-bed floating hospital in less than 72 hours, then sent it unarmed to help the desperate people of Aceh in Indonesia. By direct comparison, America sent combat ships and armed Marines. The US Navy has two 1,000 bed hospital ships, the 'Comfort' and the 'Mercy', but neither one was dispatched. Though the USNS Comfort was deployed to New York when 3,000 Americans died in September 2001, this current lack of action sends a strong signal that 150,000 (mostly Muslim) dead in South East Asia, and half a million injured, are of no concern whatever to the power brokers in New York.

The Indian Government knew full well that this was not a "normal" earthquake. On 27 December India refused to join George Bush's planned exclusive 'club of four', which would have effectively pulled this Asian nuclear power out of its new coalition with Russia, China and Brazil. On 28 December the Indian Government politely warned the American military to stay clear of Indian sovereign territory, and on 29 December the India Daily Editorial publicly questioned the nature of the event: "Was this a showdown by a country to show the region what havoc can be created?" ... "Given the level of devastation and given the fact India is a regional power in South Asia, [the] Indian Navy has an obligation to investigate and tell the world what they found."

Theoretically, the American 9 megaton W-53 thermonuclear warhead could easily be encased in a small 'lookalike' saturation diving chamber similar to that on the right, to protect it from the massive 10,000 pounds per square inch pressures at the bottom of the Sumatran Trench. The whole armored package would weigh less than five tons, allowing it to be slipped over the stern of any oil rig supply vessel, of which there are more than 300 in Asia alone. Who would even notice?

Despite a natural human tendency to be shocked into silence by the sheer number of dead and injured across Asia on 26 December 2004, and despite also being slightly fearful of losing personal credibility because of the magnitude of the apparent crime, there are many provable irregularities in the official American tsunami story that simply have to be recorded now, or forever be lost in the sands of time.

It is beyond any doubt that a giant tidal wave (tsunami) smashed its way through South and South East Asia, and still had enough legs to continue all the way across the Indian Ocean to Africa, where it killed and injured a few hundred more. So the only question we must ask, is whether this tsunami was a natural or man-made catastrophe? A natural event would be horrifying enough, but if the tsunami was man-made, then we are unquestionably looking at the biggest single war crime in global history.

At midday local Australian time I faithfully recorded the magnitude and position plotted by the Jakarta Geophysical Office in Indonesia. An earthquake measuring 6.4 on the Richter scale had hit the north of the Indonesian island of Sumatra. The Jakarta Geophysical Office meticulously noted that the epicenter of the event was located 155 miles south-southwest of Aceh Province.

This location is approximately 250 miles south of the position later selected by the American NOAA, which plotted the epicenter to the north-west of Aceh, and initially claimed a Richter reading of 8.0. Alas, even that was not enough to cover the damage caused by this extraordinary event, so NOAA progressively upgraded the reading to 8.5, then to 8.9, and finally to 9.0 - at least for the present.

So, the first proven irregularities were peddled by American officials at the NOAA, who suddenly invented a new 'flexible' peak seismic wave for the event, of far greater magnitude than Jakarta, when the Jakarta office was located much closer at almost point-blank range. Believe me when I tell you there is no such thing as the new 'flexible' peak claimed by NOAA. The first seismic peak you record is the only real peak, unless of course you later manually draw in a few more peaks of your own, to match a contrived agenda. Naturally there is also only one epicenter, which was faithfully recorded by dozens of Indonesian and Indian seismographs.

On the morning of 27 December, the Australian (New York owned) media was making it very clear that the most badly hit nation in the region was Sri Lanka, an island at the southern tip of India, which like Australia is a member nation of the British Commonwealth. Accordingly, Tim Costello, head of one of Australia's largest charities, made immediate plans to fly to the area and assess the need for aid. But that same morning, Little Johnny was dancing to a very different tune, which, based on his known subservience, must have been playing down his secure telephone line from Wall Street.

In true covert manner, Little Johnny secretly dispatched two RAAF Hercules transport planes packed with supplies to Malaysia on "Stand By", and directed two more to Darwin in Australia's north. Please note that if Little Johnny had any humanitarian concerns at all, all four Hercules could have flown directly to Commonwealth partner Sri Lanka, where every other Australian had already been told by the media that aid was needed. But no, it wasn't to be, and Little Johnny waited patiently for orders from New York.

The waiting period was short, and after a high-flying reconnaissance jet confirmed that the runway was clear at Medan in eastern Sumatra, all four Australian Hercules complete with troops, guns and other tackle, invaded Sumatra just south of the devastated province of Aceh. In turn, with 90% of its population killed by the tsunami, Aceh might perhaps one day soon become Indonesia's very own Guantanamo Bay, crawling with hundreds of heavily armed Australians and Americans.

Remember carefully though, at the time these four Hercules touched down in Medan, the ordinary Australian public still had no idea that Sumatra was badly hit. Only Little Johnny knew, and of course his trusty crystal ball in New York. To hell with Sri Lanka, his bosses wanted a main base for the huge reconstruction contracts in Asia, designed to replace the failed oil theft and reconstruction in Iraq, and keep poor old Zion on its tottering New York legs for a few more weeks or months.

Needless to say the Australians were merely the advance party, soon to be joined by a curiously well prepared and equipped U.S. Military, though it is doubtful that any of the officers and men involved really comprehend what is going on. Only a handful thought to question why they had been spending a whole year training for a "Humanitarian Mission", when the whole point of the U.S. Navy and Marine Corps is normally to kill people in very large numbers. Just look at Fallujah, people, look at Fallujah.

As if by magic, the Pentagon managed to have two battle groups ready to sail at an instant's notice from Hong Kong and Guam during the normally chaotic Christmas to New Year period. Crikey! Military discipline has come a hell of a long way since my day, when everyone including the ship's cat was sleeping it off at some highly questionably hostelry or another. Not these 10,000+ Americans though, who must have been standing rigidly to attention beside their hammocks day and night, tugging furiously at their forelocks whenever an officer of NCO came in sight.

The next bit was superbly orchestrated, because it took place at sea, far away from the prying eyes of dock spies or imaginary KGB agents. But oops, first you have to know who was involved. Out of Hong Kong rushed team one, comprised of the nuclear-powered USS Abraham Lincoln and her escort vessels, while the far more interesting team two rushed out of Guam, led by the USS Bonhomme Richard, a marine amphibious assault carrier crammed to the gunwales with gun-toting wooden tops. And that is not all, believe me, because the Bonhomme Richard is in fact leading a veritable armada known as "Expeditionary Strike Group 5".

The really sneaky (inexplicable) bit came as both battle groups entered the Indian Ocean. The USS Abraham Lincoln looked about as innocent as a carrier with 70 attack planes can look, but was already carrying 2,000 marines instead of her normal complement of around 500. That is a huge amount of grunt firepower to put on the deserted streets of Banda Aceh, especially when Wall Street normally expects these marines to die quietly for Zion in Iraq. Now then, how did they know the extra marines would be needed before team one left Hong Kong, because the surplus 1,500 marines were certainly not just standing around on Kowloon dock waiting to hitch a ride.

Then while the two battle groups (apparently) headed in two different directions across the deserted Indian Ocean, an even stranger event took place. Though Expeditionary Strike Group 5 (Humanitarian) was supposed to help the folks in Sri Lanka, the combat marines aboard the USS Bonhomme Richard transferred to amphibious transport dock vessel USS Duluth, which then split from ESG-5 and headed towards team one. So without the Indonesians really being aware of it, the (relatively) harmless and Bulky aircraft carrier USS Abraham Lincoln has been used to screen the arrival of at least 3,500 heavily-armed US Marines in tiny Aceh Province.

That more or less brings us up to date on known military activity, though yesterday an Australian television cameraman did accidentally film some of these heavily-armed US Marines (who tried to shoo him away), searching a devastated Indonesian military base for any remaining weapons. Now call me old-fashioned, but if these guys and their bosses are straight, that particular job should be left to the Indonesian Army?

I will be circumspect as to exactly how a large American thermonuclear weapon managed to arrive at the bottom of the Sumatran Trench, though all of the seismic evidence and preparedness for the resulting mission indicates strongly that this is the case. After all, we are back to the age-old question of "who benefits?", and in this particular case, "Who is insane enough to kill more than 150,000 civilians just to hang on to power?' Based on their past performance in Iraq and other luckless countries, it would seem that the only realistic candidates are Wolfowitz and company, striving as always to create a "One World Government".

Certainly no other nuclear powers including Russia and China stand to gain anything at all from such an outrageous mass murder, so, as always in the end, we come back to Sherlock Holmes via the pen of Sir Arthur Conan Doyle: "When you have ruled out the impossible, whatever remains, no matter how improbable, is the truth."

For the Zionist Cabal, obtaining a thermonuclear weapon in America is no great trick, especially when we have the precedent of 100 small 'decommissioned' air-to-air atomic warheads being smuggled out the Pentagon's (civilian) back door, to form the core of the Jewish State's current nuclear arsenal. Once a weapon system is out date and out of service, loyal uniformed US military personnel can no longer track it.

The designer of the RAF's bouncing bomb (actually called "Highball") was a scientist called Barnes Wallace, who had already gained a formidable reputation with his Wellington bomber, which he constructed geodetically, thus enabling it to absorb enormous punishment before actually being shot out of the sky. Many Wellington returned to base literally in tatters, while many luckless cousins like the Stirling and Halifax were all too often consigned to the murky deep of the North Sea.

Wallace knew that bombing the dams vertically was a complete waste of time, and the only possibility of success lay in placing a mine hard up against the dam wall at its base. You see, water cannot be compressed, meaning that if the mine was pressed against the dam wall at the moment of detonation, part of its energy would automatically be expended on the wall itself. Too far away in the relatively shallow water, and most of the blast energy would be lost to atmosphere, in a huge exploding cloud of water of course.

Though it was obvious that the dam wall could not be destroyed by a single bomb from a single Lancaster bomber (it would weight far too much for the aircraft to get off the ground), Wallace pinned his hopes on the scientific fact that cumulative stress should do the job, and he was proved right. Though officially three of the bombs, each containing 6,500 pounds of TNT, were considered to be direct hits, one of these veered off slightly, meaning that the giant Mohne Dam was completely breached by a total of 13,000 pounds of tri-nitro toluene.

It is the incompressibility of water in particular that matters deep down in the Sumatran Trench. At the bottom you already have 10,000 pounds of pressure per square inch pressing down on your weapon of choice, and above that weapon there is a column of water 20,000 feet tall, which is what caused the pressure in the first place. Not only that. The trench narrows at the bottom, meaning that the weapon is 'hemmed-in', with a very real chance of moving a tectonic plate if sufficient tonnage is used.

In this particular case there was no real need to shift a tectonic plate, and science suggests that if this blast had caused such an effect, several very powerful aftershocks would have occurred, as has happened with every other major earthquake in the past. But, as previously stated, and setting aside the seemingly deliberate provocative though false warnings from the American NOAA, there has not been a single aftershock which can be directly & scientifically linked to the 'event' in the Sumatran Trench at 0758 hours local on 26 December 2004. Later tremors might or might not be connected to the weapon.

To force subservience on Asia, and ensure the lion's share of incredibly lucrative reconstruction contracts, all that was needed was a very large tsunami targeted on the selected nations, which was easily within the capabilities of a large thermonuke. There is nothing new about "Sea Bursts" as they are called, and more than 30 years ago plans existed in both America and Russia to wipe out each other's coastal cities using exactly this technique. The tidal wave from a deep sea burst is relatively clean, allowing the aggressor to take over both land and remaining buildings etc. with the minimum of delay.

If everything had gone to plan, then Indonesia, Sri Lanka and India would have been in hock to the IMF and World Bank for thirty or more years - time enough to wait for the price of oil to come down again after the lethal fiasco in Iraq. At the same time, if the Indian Government had taken the bait, the deadly Russian-Chinese-Indian-Brazilian coalition would have been dead in the water. Not a bad day's work for a single thermonuclear weapon discreetly removed from the decommissioning process.

Joe Vialls  

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