Le Pentagate

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7 octobre 2003, complétée le 8, le 23 octobre et le 27 novembre 2003 en fin de fichier.

 

Ces images sont extraites du site d'Eric Bart, qui déroule devant nous, en anglais, un document très riche d'informations. Allez le consulter si vous lisez l'Anglais. :

http://perso.wanadoo.fr/ericbart/

Le texte, dans ce site, est en Anglais. Il est fait mention de points de vue nombreux de gens qui commencent à croire de moins en moins à cette disparition totale de l'appareil une minute après l'impact, comme s'il s'était "dématérialisé". Dans l'image de synthèse suivante l'appareil en approche :

1 - Reconstitution de l'approche du Boeing

Les images suivantes sont des documents. Elles montrent la trajectoire de l'appareil :

2 - Trajectoire d'approche du Boeing

3 - Trajectoire d'approche du Boeing. Où se trouvaient les photographes qui ont pris les clichés depuis le sol ?

3bis - Les plans de vol des avions "détournés".

4 - Simulation de l'impact : l'appareil, taille réelle, juste avant qu'il ne se replie totalement,
ailes et empennage, avant de disparaître dans le bâtiment avec son carburant.

 

5 - Vu sous un autre angle

6 - Enfin l'impact, vu de profil. Notez la hauteur de l'empennage, "replié" ou "mis en miettes".

7 - Photo d'un 757 d'American Airlines en vol

Le Réseau Voltaire a fait un excellent travail sur tout ce dossier 11 septembre. Plutôt que de démarquer ses écrits nous renvoyons le lecteur à son commentaire sur les essais de simulation sur ordinateur faits à l'Université de Purdue, aux Etats-Unis :

http://www.reseauvoltaire.net/article8737.html

Le but étant de simuler l'impact du Boeing sur le Pentagone. Cette étude débouche sur un échec complet et on peut même s'étonner qu'elle ait été publiée. Les données mêmes du problème avaient été faussées. L'appareil avait été censé pénétrer dans un bâtiment exempt de façade et privé de ses moteurs. Pourtant les "médias anti-conspirationnistes" s'étaient largement fait l'écho de ce travail.

Tout ceci démontre, s'il était encore nécessaire de le faire, à quel point nos médias sont sous contrôle. A ce point on ne peut plus parler de la cécité des journalistes, de leurs stupidité, de leur entêtement à nier les évidences. Il s'agit d'une politique de désinformation délibérée, dont un exemple flagrant a été donné lors de l'émission du 13 avril 2004, sur Arte, série Thema, qui est sans doute le document le plus abominable qu'il m'ait jamais été de regarder sur le petit écran et qui déshonnore carrément la profession de journaliste (dans la mesure où ce métier consiste à informer le public et non à le désinformer).


Nouveau message d'un lecteur qui préfère rester anonyme :

   Il y a d'autres énormités quant aux témoignages de la journée du 11/9/01. En particulier l'utilisation de téléphones portables dans les avions qui aurait permis aux passagers de savoir que leur avion était détourné. Je me suis toujours posé la question de savoir comment le portable pouvait se connecter et se faire suivre par les cellules du réseau de téléphonie mobile (PCS ou GSM) dans un avion qui vole à je ne sais quelle altitude à un vitesse de 900 km/h. Je travaille pour un opérateur de téléphonie mobile et j'attends de mettre la main sur un spécialiste du réseau pour lui poser la question.
   En attendant, en cherchant sur google un lien avec téléphones portables et attentats du 11/9 je suis tombé la-dessus :
"Comment sait-on que les avions ont été détournés ? Les seules "preuves" reposent sur des appels téléphoniques effectués par certains des passagers. L'appel de Barbara Olson, une commentatrice de CNN qui se trouvait à bord du vol AA 77 (Pentagone), est décisif pour la version officielle des faits. Malheureusement, il est fortement sujet à caution. Barbara Olson, dont on nous dit qu'elle avait oublié chez elle son téléphone portable et ses cartes de crédit, aurait passé un coup de fil en PCV à son mari, Theodore Olson, qui est procureur général des USA*. Or, il est techniquement impossible d'utiliser les téléphones de bord encastrés dans les dossiers des sièges, sans y introduire au préalable une carte de crédit. Un appel en PCV est par conséquent inutile et exclu. En outre, le fait qu'un indice aussi essentiel nous soit communiqué par un homme proche du pouvoir peut paraître pour le moins étrange, quand on songe à la manie du secret qui prévaut dans tous les domaines. On ne serait pas étonné d'apprendre qu'il s'agit là d'une "fuite" intentionnelle. Pour ce qui est des autres appels, provenant paraît-il de téléphones portables, il est plus que douteux que de telles communications soient réalisables depuis un avion volant à 10.000 mètres d'altitude, à la vitesse de 800 km/h".

Le texte cité se trouve ici : http://membres.lycos.fr/wotraceafg/etrange.htm

  Sur cette page vous pourrez voir que vous n'êtes pas le seul à vous intéresser aux invraisemblances de l'enquête officielle.

   Dès que j'aurai des infos sur la faisabililté d'une communication cellulaire par avion, je vous en ferai part.
Les pièces du puzzle s'assemblent pour démontrer l'énormité.

Quelque chose a percuté le Pentagone le 11 septembre. Mais, comme Marc Milanini, il me semble de plus en plus difficile d'admettre que cela puisse être un avion de ligne Boeing 757 de l'Américan Airline.


7 octobre 2003 : La Mondialisation de la Raison d'Etat

J'ai pu joindre Thierry Meyssan au téléphone. Cela a été très instructif. Je viens de lui demander l'autorisation de reproduire la teneur de ses propos. Voici ce qu'il en résulte.

Sur le simple plan technique le problème des appels sur téléphones portables reste non-éclairci. A bord d'avions de lignes il y a plusieurs façon de les utiliser. Certains appareils, autonomes et performants, non courants, peuvent fonctionner. Sur certains avions on peut utiliser des téléphones où la communication peut être payée par carte de crédit. Dans les deux cas ces coups de fils laissent des traces sous forme de facturation (sur la carte bancaire du passager qui appelle depuis l'avion). Meyssan me dit qu'on n'a pu remonter à aucune de ces traces. Le journal Allemand Der Spiegel a envoyé une équipe aux USA pendant deux mois pour trouver des éléments destinés à "démonter les affabulations de Meyssan". Ces gens ont évidemment posé des questions de ce genre. Partout ils ont trouvé porte close. "Enquêter sur les évènements du 11 septembre est impie ou ... journalistiquement incorrect".

A propos des lampadaires proches du Pentagone les choses n'ont pas été non plus éclaircies, d'autant plus qu'il est attesté que des lampadaires avaient été déposés avant l'évènement du 11 septembre, pour travaux. Dans tous les cas de figure les autorités Américaines ont fait de leur mieux pour que toute trace disparaîsse et que toute enquête devienne impossible ( ne serait-ce qu'en reconstruisant immédiatemnt la partie du Pentagone qui a été détruite au plus vite. Les travaux ont débuté deux jours après. Les travaux de reconstruction, largement déployés ont tout effacé).

A propos du crash d'un des appareils au dessus de la Pensylvanie, il a été montré qu'il avait explosé en vol, éparpillant des débris sur une grande surface. On a ensuite retrouvé un cratère fumant, mais aucun débris. C'est aberrant. Un appareil qui explose disperse des débris qui n'ont pas une masse suffisante et une énergie pour créer un cratère. Regardez un accident spectaculaire : la destruction de la Navette Spatiale en vol. On a retrouvé au sol des corps, de multiples objets, des éléments presque intacts, mais ... pas de cratère. Tout ce qui touche à ce cratère a d'ailleurs été immédiatement "couvert par le secret défense". Circulez, on n'enquête pas.

J'ai eu confirmation que les travaux avaient été commencés sur le Pentagone deux jours après l'évènement. Des buldozers ont amené du gravier qui a recouvert le gazon pour "stabiliser le sol et permettre aux engins de chantier de pénétrer et d'évoluer". Lors de la reconstruction du Pentagone on a fait les chose en grand, en rasant carrément un septième du bâtiment ("pour des raisons techniques"), le résultat étant de faire disparaître la moindre trace du "crash". Tout s'est passé, dans le traumatisme international qui a suivi ces évènements comme si enquêter ou faire de simples constats était une chose "inopportune".

Il y a quelque chose d'illogique là-dedans. Les gourvenement Américain aurait pu largement exploiter l'évènement, médiatiquement, en produisant des images montrant "des débris de corps atrocement mutilés enfermés dans des sacs", des objets, la paire de chaussure d'une des secrétaires tuée au cours du drame. On aurait pu filmer les enquêteurs sortant des débris de l'avion, même infimes. Mais que filmer, que montrer quand il s'agit d'une "dématérialisation" ?

Mais le plus important dans ce que m'a dit Meyssan c'est son impression. Il n'a pas été en contact avec toutes les chancelleries de tous les pays, mais avec de nombreux représentantrs des gouvernements, au plus haut niveau, et avec des gens émanant de services secrets divers et variés. Dans ce cas les Etats contactés n'ont pas été automatiquement "des pays Arabes ou des pays anti-Américains". Il y avait ... de tout.

Dans les chancelleries des grands pays avec qui il a pu être en contact les gens ne sont pas assez stupides pour avaler la thèse officielle. Il y a trop d'incohérences. Ces gens ont aussi leurs propres sources de renseignements. D'après Meyssan tous ces gens sont parfaitement convaincus qu'il s'agit de toute autre chose que d'un simple attentat terroriste. Mais personne ne bouge et personne ne bougera pour des tas de raisons. Pour les pays proches des Etats-Unis c'est à cause de la désabilisation qui en résulterait, comparable à une onde onde de choc qui éclabousserait tout le monde. Pour des pays anti-Américains, comme les pays Arabes (dont certains ont songé à demander l'ouverture d'une enquête officielle, ou à déposer une plainte auprès du tribunal international de la Haye, "J.R.Ewing" a été immédiatement extrêmement clair. Des menaces de représailles de tous ordres ont été immédiatement évoquées : économiques, atteintes physiques et éventuellement ... guerre. La phrase exacte (en évoquant la guerre en Irak) : "Vous voulez être les prochains ?"

La menace est à prendre au sérieux. Un pays comme les USA, face à un risque de discrédit planétaire grave, et d'une crise intérieure dont on imagine l'ampleur ne reculerait absolument devant rien. Certains pays, disposant de preuves, se sont fait payer grassement leur silence (sous forme d'aides, etc...).

Meyssan : "La situation actuelle est comparable à Munich avant la guerre de 39-40".

Il existe en fait une forme de connivence entre états, qui construisent au jour le jour "la vérité" (de la même manière que les thèses officielles Américaines, Anglaises et Russes ont fini pratiquement par se rejoindre à propos de l'affaire du Koursk, le mot d'ordre étant "pas de vagues", ce qui convient à un ... naufrage).

Meyssan n'a pas de "diplômes universitaires", ni "de compétences techniques". Donc, dans un pays comme la France "où on se tourne toujours vers les experts", et pour les scientifiques, les intellectuels sa parole "ne pèse rien". C'est "un petit journaliste qui a essayé de se faire connaître en faisant beaucoup de bruit" (même si, ce faisant, il risque sa vie. Pour les journalistes Français confortablement calés dans leurs fauteuils c'est un détail sans importance). L'attitude de la presse Française défie l'imagination. Aucun journaliste Français n'a fait l'effort de mener sa propre enquête. Aucun débat n'a été ouvert. La presse Française ne veut pas ouvrir ce débat à cause des conséquences que cela entraînerait. Il y a trop d'éléments qui montrent qu'une enquête doit être ouverte. Je commence à comprendre de plus en plus que le journalisme Français est d'un nullité dont on commence seulement à prendre la mesure. Il suffit d'allumer sa télévision, ou de lire l'article d'Augereau récemment paru dans le Monde, chantant la louange du projet Mégajoule. C'est un journalisme de potins et de nouvelles récupérées sur des téléscripteurs ou de courte-échelle faite à des pouvoirs en place, à tous les pouvoirs. C'est un journalisme où "on peu se défouler de temps en temps" en évoquant des affaires, mais sans aller trop loin. Des affaires qui se solderont toujours par des non-lieux ou par des mois d eprison grassement payés (beaucoup de Français diraient "à ce tarif-là, mon je veux bien passer trois mois en tôle, voir six, ou même une année entière").

Meyssan dit "on ne peut pas faire boire un âne qui n'a pas soif, nous sommes face à des murs". J'abonde dans son sens en disant que cette réaction d'indifférence trouve aussi sa source dans la peur. Peur de la déstabilisation, des conséquences, du chaos. Imaginer que le 11 septembre ne soit qu'une "Effroyable imposture" c'est comme amener les catholiques d'aujourd'hui à envisager, preuves en main, que le pape puisse faire partie de la maffia, ait été mis en place par elle, et ait commandité de sa main plusieurs assassinats. C'est "la raison d'Etat à l'échelle planétaire ou la "Mondialisation de la raison d'Etat".


9 Octobre 2003 : Un autre site en Français qui montre de nouvelles photos, avec des commentaires, crré par jean-Pierre Desmoulins :

http://perso.wanadoo.fr/jpdesm/pentagon/francais.html

J'ai retrouvé quelques photos qui m'avaient déjà été communiquées il y a huit mois et qui sont censées montrer des éléments de "l'avion" ayant pénétré à l'intérieur du Pentagone. Mais on ne sait pas qui a pris ces photos, ni comment.

Ceci est censé être une jambe de train d'atterrissage.

Une roue

Plus singulier un pneu qui est censé avoir été projeté hors du bâtiment (on rappelle que si c'était un avion qui avait percuté le Pentagone, c'était train rentré). Cela ressemble effectivement à un pneu d'avion. Où se situe l'objet ? Mystère.

Mais comment imaginer que ce pneu soit pratiquement intact (au milieu de débris ayant l'allure de confettis) alors que les corps des passagers ont été ... volatilisés ? Qu'est-il advenu des sièges, de tout ce qui compose un avion ? D'un côté la structuyre très complexe qu'est un avion a été transformée en ... confettis et de l'autre, ici et là, des objets quasi intacts.

La photographie ci-après est encore plus suspecte :

La moitié d'un pneu (flèche) censé être dans le bâtiment, au milieu de "confettis"

Notez ces débris "alignés". Derrière, des piliers apparemment intacts. Cela correspond à quoi ? Soit ce sont des éléments liés au fuselage, et alors, où sont les corps? Soit il s'agit de la trace de la course folle d'un moteur et alors pourquoi a-t-il emmené un pneu avec lui ? Comment se fait-il que tous ces éléments n'aient pas fait l'objet d'un rapport accessible et que des journalistes n'aient pas été, sous surveillance policière, autorisés à filmer l'endroit sous toutes ses coutures. S'il s'agissait d'un véritable attentat, d'un véritable impact d'un Boeing 757 sur le Pentagone, qu'est-ce que les autorités auraient eu à craindre ?

J'ai suggéré à Meyssan qu'il lance par Internet une pétition à échelle internationale simplement pour demander qu'une enquête soit lancée sur ces évènements du 11 septembre. Si les gouvernements, les intellectuels, les journalistes, les scientifiques ne bougent pas, parce qu'aucun n'a le courage et l'honnêteté de le faire peut-être que les simples quidams peuvent se constituer en nombre suffisant pour que cela pèse dans la balance ?

A la limite c'est un véritable miracle qu'un homme comme Meyssan ait publié ses livres. S'il ne l'avait pas fait ces faits seraient partis dans l'oubli général.


23 octobre 2003 : Le problème des boites noires.

Source : http://www.themedianews.com/DAGGER/Front%20Page/9-11_black_boxes_.htm

Si on en croit cette source aucune des huit boites noires des quatre appareils impliqués dans les événements du 11 septembre n'aurait été retrouvé, y compris celles équipant l'appareil qui est censé s'être écrasé en Pensylvanie. Voilà ce qu'on peut lire à propos des boites noires en général :

- Ces appareils enregistrent les conversations de l'équipage ainsi que l'ensemble des bruits dans le cockpit. En général le micro enregistreur est placé sur le panneau surplombant la verrière, entre les deux pilotes. De nombreux bruits caractéristiques peuvent être enregistrés, comme des signaux avertisseurs, le bruit de la descente du train, etc. De nombreuses conclusions peuvent être tirées à partir de l'analyse de cette bande sonore. Ces boites noires enregistrent en outre vingt huit paramètres importants dont le temps, l'altitude, la vitesse, le cap, l'altitude de l'appareil. Elles enregistrent également trois cent signaux donnant des renseignements sur l'état de différents éléments de l'appareil : état des volets hypersustentateurs, celui du pilote automatique, du signal d'alarme-incendie, etc. Les avions sont équipés de deux boites noires indépendantes, l'une d'elles étant disposée à l'arrière des appareils, partie qui subit en général le moins de dommages en cas de crash. Ces boites fournissent tous les renseignements nécessaires pour établir les circonstances qui ont précédé l'accident. Les spécifications sont les suivantes :

25 heures de fonctionnement.
Enregistrement de 300 paramètres.
Tolérance à l'impact : 3400 G
Résistance au feu : 1100 ° C pendant 30 minutes.
Résistance à l'immersion : 7000 mètres d'eau.
Emission en 37.5 KHz pour repérage.
Batterie ayant une durée de vie de 6 ans.

Ces spécifications font que ces boites noires sont censées résister à n'importe quel type de crash. Certaines ont été récupérées dans les pires conditions possibles. En général ce qui résiste le plus est l'unité de stockage en mémoire (CSMU) qui est pratiquement indestructible. Elle est enfermée dans une coque en acier et protégée du feu par une envelope isolante, en matériau réfractaire. Ce composant peut résister à 2000° Farenheit pendant une heure, à une immersion pendant un mois, ainsi qu'à de nombreux fluides agressifs. Bien sûr la résistance au choc est aussi de 3400 G.

Quid du crash sur la Pensylvanie ? La réponse fournie fut "que l'enregistrement des voix des pilotes avait été trop endommagé pour être exploitable". Les autorités déclarèrent que l'appareil avait heurté le sol à plus de 900 km/h (ABC News).

Si l'événement survenu au Pentagone correspond à l'impact d'un avion de ligne on a du mal à imaginer que les deux boites noires se soient volatisées, y compris celle qui était située à l'arrière de l'appareil. Certains ont trouvé étrange qu'aucune des quatre boites noires correspondant aux impacts sur les Twin Towers n'aient pas été retrouvées alors qu'un enquêteur retrouva le passeport de Mohamed Atta à peu de distance, intact.

Voici deux images extraites d'un film montrant l'impact d'un des deux appareil avec une des tours jumelles.

 

 

On voit que l'avion, déboulant sur la gauche, pénètre dans la tour et que son fuselage en émerge, et cela avant que le kérozène déverse ne s'enflamme. C'est dans cette partie que se trouvait une des deux boites noires. En toute logique celle-ci aurait du être retrouvée dans les débris de la carlingue, après que ceux-ci soient tombés au sol. Elle aurait du parfaitement résister à une telle chute. Qu'est-elle devenue ?


La Nasa a procédé dans les années quatre fit des essais visant à poser un appareil de ligne dont le pilotage était commandé. En allant sur ce site vous trouverez un film vidéo pris par une caméra placée sur le haut de l'empennage d'un liner. Le contrôle de l'atterrissage ayant échoué, les réacteurs de l'appareil, fixés sous les ailes se trouvèrent en contact avec le sol. L'impact du réacteur de droite provoqua instantanément l'inflammation du kérosène, selon un immense boule de feu jaune. Ce document est à coréller avec le prétendu impact d'un Boeing sur le Pentagone, où le kérosène ne se serait pas instantanément en enflammé. Le lecteur concluera.

http://www.dfrc.nasa.gov/Gallery/Movie/CID


6 novembre 2003 : Le problème des boites noires correspondant au crash sur la Pensylvanie.

On se souvient de cette affaire du quatrième avion, celui à partir duquel seraient partis des appels lancés par des passagers "ayant décidé de tenter quelque chose". D'où appelaient ces gens ? Certains lecteurs ont aussitôt fait la réflexion que l'utilisation d'un portable à partir d'un avion était problématique, étant donnée l'altitude et la vitesse de déplacement de l'appareil, qui rendait problématique le calage du combiné sur une station au sol. Mais Meyssan m'a aussitôt dit qu'il existait à bord des appareils Américains des systèmes permettant aux passages d'utiliser un téléphone fixé aux sièges, en acuqitant simplement leur communication à l'aide d'une carte de crédit. Dans ces conditions la communication n'est pas relayée par des stations au sol mais, à partir de l'avion de ligne, attaque directement un réseau satellitaire. Tout cela demanderait à être éclairci. Toujours selon Meyssan les journaliste de la revue Allemande der Spiegel se sont heurtés à un mur quand ils sont simplement demandé à voir un justificatif de la communication téléphonique allégéue, entre un passager et sa ... future veuve. Une telle communication aurait du laisser un trace sur la facture téléphonique. Or, selon Meyssan, les journalistes Allemands, venus pour enquêter et en principe pour le confondre, lui, se sont trouvés confrontés à un étrange mutisme. Il est vrai qu'aux USA, toute personne contestant la thèse officielle "des attentats terroriste" est aussitôt elle-même considérée comme "faisant le jeu des terroristes" et passibles d'ennuis. Aux USA on peut vite perdre son emploi, simplement en souhaitant avoir des ... explications sur ce qui relève "du secret défense".

Mais revenons à cette affaire de destruction de l'appareil au dessus de la Pensylvanie. Au sol, un cratère et aucun débris identifiable. Encore un appareil "qui se volatilise". Toujours pour motif de "raison d'Etat", il a été impossible à des journalistes ou des enquêteurs d'inspecter le lieu du crash. Si c'est bien un crash ( avec un avion en configuration de piqué à mort ) est-il possible qu'aucun débris ne subsiste, aboslument aucun (en sachant que des boites noires résistent à 3400 g ? A éclaircir.

Toujours selon Meyssan on aurait retrouvé des débris de l'avion sur des miles carrés, comme s'il avait explosé en vol. Une thèse possible : l'avion aurait été détruit par un missile tiré par un avion Américain, qui aurait ensuite lâché une bombe pour faire croire à un crash. Mais même dans cette optique cette histoire reste peu crédible. Un missile tiré à partir d'un avion contient une charge limitée, capable, certes, de faire exploser un réacteur en se guidant sur la tuyère par infrarouge. Si ça n'est pas un missile guidé par infrarouge l'impact resterait ponctuel. Il est alors impossible que cette explosion ne volatilise tout, à commencer par les deux boites noires que contient l'avion et que les "terroristes" ne pourraient avoir détruites en vol. Par ailleurs un avion détruit par missile s'éparpille selon des débris très identifiables. Classiquement la partie arrière, avec l'empennage, se comporte comme un planeur. Or elle contient une des deux boites noires. Comme elle est loin des réservoirs de carburant elle ne peut brûler lors de l'impact. La conclusion est qu'en cas de destruction par un chasseur de l'Air Force ces boites noires devraient avoir été retrouvées. Or... rien.

Autre hypothèse : ce sont les terroristes qui détruisent l'avion en vol. Problématique. Il faudrait d'abord réussir à passer une charge dans l'appareil, suffisante. On se souvient de cette affaire où un terroriste avait réussi à entrer avec un explosif caché... dans ses baskets. Ca reste une charge très limitée, même si, actionnée au bon endroit, celle-ci peut mettre un appareil au tapis. Dans tous les cas de figure on voit mal comment un terroriste aurait pu pénétrer à bord d'un avion d eligne avec plus d'un kilo d'explosif, même fixé à sa taille. Si un tel dispositif peut effectivement entraîner la perte de l'appareil il semble exclu qu'elle puisse le ... volatiliser.

Or (et cela mériterait enquête) il semble bien que cet appareil se soit volatilisé en vol, et non écrasé au sol. Pour arriver à un tel résultat ilm faudrait qu'il ait été soigneusement piégé, en de multiples endroits. Même une valise bourrée d'explosifs ne suffirait pas à volatiliser un appareil. Et, quand bien même, les deux boites noires son conçues pour résister à une plongée vers le sol et à l'explosion la plus intense. On voit mal "des terroristes" équipant un avion de ligne Américain pour faire en sorte de le volatiliser totalement. Pourquoi ? Le détruire suffirait.

Bref il y a là encore quelque chose à élucider, qui n'est pas rien.

En attendant, tandis que Bush père et fils jouent au golf les week-ends les engagés volontaires Américains et soldats de métier continuent de servir de cible en Irak. Cette équipée, préparée en dépit du bon sens (seul comptait, apparemment, l'idée de mettre la main sur les ressources pétrolières Irakiennes) devient cauchemardesque. Bernard Heni Lévy, dans un éditorial publié fin octobre dans le Monde, bien qu'en précisant qu'il avait été contre cette opération, stipule que "lâcher maintenant les Américains serait pire encore". On voit poindre une autre situation insoluble et Saddam Hussein (comme ben Laden) court toujours, tandis que les enquêteurs de l'ONU n'ont pas été à même de démontrer l'existence "d'armes de destruction massive". Cela ne veut pas dire que Saddam ait été blanc comme neige, ni qu'il ait abandonné des projets peu recommandables (comme de servir éventuellement de support technique, ou de base arrière pour un terrorisme international sophistiqué). Cela signifie surtout que l'équipe au pouvoir aux Etats Unis (Bush, Condolezza Rice, Rumsfeld, Dick Cheyney, etc) représente une belle bande de dangereux imbéciles (dont les fortunes personnelles se chiffrent en ... milliards de dollars !!!)


Chute verticale du crédit moral des nations occidentales.

Voyons la situation planétaire "avec l'oeil de Sirius". Nous vivons une crise morale planétaire. Quoi qu'on fasse, nos sociétés fonctionnent avec "des valeurs morales" ou prétendues telles. Il y a des leaders qui font figure de "phares" et sont porteurs de ces valeurs. Or de quelque côté que l'on se tourne c'est catastrophique. Aucun journaliste ne semble remarquer que l'actuel pape, en ayant canonisé 465 personnes n'a fait en 25 années de pontificat que du marketing spirituel, s'apparentant au trafic d'indulgences du passé. Comment voulez-vous que des hommes des pays pauvres, sauf s'ils se comportent comme de naïfs imbéciles (très fiers des nouveaux "saints" dont ils ont été dotés) puissent considérer le Vatican comme un flambeau de valeurs morales ?

Comment voulez-vous qu'un pays comme les USA puisse poser en champion de la morale ? Voyez les valeurs que ce pays exporte. Comment c'est facile pour des Mollah de décrire ce pays comme "un Grand Satan" alors même qu'il présente tous les symptômes de la décomposition morale la plus complète, de ce qu'Einstein avait décrit dès son époque comme une décadence. Il faut voir les chose en face. Les USA c'est "nous, en pire". C'est surtout notre futur. Je me souviens de ma première visite dans le pays, en 1961. En plein New York j'avais vu des gens passer à côté de gens effondrés sur le sol, sans s'arrêter. Déjà, à l'époque, prendre le métro pouvait être assimilé à une activité à risque. Un soir, je m'étais simplement approché d'une femme noire, sur un quai de métro new-yorkais, pour lui demander un renseignement et elle s'était aussitôt enfuide, redoutant une agression par un drogué. A Wahsington square j'avais été intrigué de voir un policier vérifier l'état de marche de son révolver à barillet, porté dans un holster, bas sur la cuisse, comme dans un western, alors qu'à l'époque les flics réglaient encore la circulation aux carrefours, avec un bâton blanc, armés d'un petit pistolet Herstal dont bien peu devaient connaître le maniement. Des flics à pied, incpables de poursuivre qui que ce soit. J'avais interrogé ce policier New-Yorkais sur son attitude, qui me déconcertait quelque peu et il m'avait répondu :

- Mon gars, je ne sais pas comment ça se passe chez toi, mais chez nous, il faut être prêt à dégainer le premier. La semaine passée un de mes collègues était en patrouille à Harlem. Il est tombé sur deux jeunes, de 14 et 17 ans, qui essayaient de pénétrer de nuit dans un magasin. Il s'est approché en disant "les gars, suivez-moi", quand le plus jeune a sorti un flingue et lui a collé une balle en pleine poitrine. Depuis, il est dans le coma et on ne sait pas s'il s'en sortira.

Inimaginable dans cette France des années soixante. Idem pour la drogue, qui restait dans notre pays un phénomène très marginal, qu'on pouvait découvrir dans le film "touchez pas au grisbi", avec Gabin. Les drogués étaient des bourgeois désoeuvrés, des prostituées, des déséquilibrés. Aujourd'hui, comme me le disait cet été un imbécile d'adolescente :

- Mais, Jean-Pierre, tu retardes. Aujourd'hui la conaïne se deale dans les bars, à Apt !

En 1961 il était fortement déconseillé de s'aventurer dans Central Park, à la nuit tombée, devenue une zone de non-droit, peuplée de dealers. Je me rappelle que j'avais emmenée une jeune Américaine pour une "promenade romantique", à la nuit tombée, près des quais de New-York. Une voiture de police nous avait abordés.

- Qu'est-ce que vous faites ? Une promenade ? Mais vous êtes fous ! Vous ne savez pas ce que vous risquez. Montez, nous allons vous raccompagner.

A l'époque il n'était même pas question de se promener à pied, la nuit, dans Manhatan. En 1961 en France on pouvait se promener n'importe où, de nuit : sur les quais de la Seine, ou d'un port quelconque. On pouvait faire du camping sauvage à peu près n'importe où. Aujourd'hui qui se hasarderait à s'arrêter pour dormir dans une aire de repos d'autoroute désert, en risquant de se faire coincer par une bande de détrousseurs opérant sur nos highways ?

En cette fin des années cinquante le film "Graine de violence", avec Glenn Ford nous avait fait découvrir avec des yeux ronds la vie d'un collège où un enseignant était confronté à un jeune chef de bande qu'il se voyait obligé en fin de film d'affronter en pleine classe, sans que personne ne bouge, le jeune ayant sorti un couteau. Nous avions regardé ce film avec des yeux ronds. Quarante ans plus tard tout cela fait partie du panorama Français et des enseignants sont assassinés par ... leurs élèves.

Un autre film, dont James Dean était la vedette, montrait des adolescent disposant de voitures, lâchés dans la vie sans le moindre repère. &&& Je ne me rappelle plus du titre. Un lecteur me trouvera cela (je crois que c'est "rebel without a case"). Le fait de voir de jeunes Américains disposer de voitures à 18-19 ans nous paraîssait débouler d'une autre planète. A cette époque rares étaient ceux d'entre nous qui avaient simplement leur permis. Ces jeunes se livraient à des jeux dangereux, faisant des courses entre eux en pleine ville (pensez à ce film "remarquablement intelligent" qu'est "Taxi", de Besson, où le héro roule à 200 km/h en pleine ville de Marseille). Le jeu le plus prisé consistait à se lancer des défis en fonçant vers un précipice à pleine vitesse avec une voiture volée et en sautant au dernier moment. Je me souviens d'une scène où James Dean faisait face à son père qui avoue être complètement dépassé par les évênements. Un pauvre type écrasé par son travail, ses crédits et sa télé, qui ne comprend plus son fils, simplement totalement privé de repères, sans bornes à ne pas dépasser, sans limites posées par un père incapable de faire face à ces nouvelles "normes de groupe" des adolescents Américains.

C'était à une époque où les jeunes lycéens que nous étions redoutaient encore d'être convoqués devant le proviseur, ou fichus à la porte d'un établissement scolaire. Aucun d'entre nous n'aurait imaginé se livrer à des rodéos automobiles. La peur du gendarme existait encore. Le rebelles étaient des cas isolés. Ils ne s'organisaient pas en bandes, dans les établissements scolaires ou même dans les banlieues. Il n'existait pas de territoires de non-droit où la police ne se serait pas aventurée.

A New-York en 1961, j'avais découvert le premier sex-shop, grand comme un supermarché. Dans la rue, un homme marchait en tenant son compagnon par une chaîne reliée à un anneau passée dans le nez de celui-ci. En France nous parvenaient des nouvelles de meurtres perpétrés par des "tueurs en série". Des jeunes "disjonctaient". Je me souviens d'une affaire où un étudiant était monté sur un campanile de l'université de Berkeley et avait soudain fait un carton sur la foule de ses compagnons, se rendant à leur réfectoire, faisant des dizaines de morts avant d'être abattu.

Ce que je voyais à l'époque correspondait simplement à notre futur, à hauteur de quelques décennies.

Au Etats-Unis les assassinats politiques ont toujours été monnaie courante (voir l'assassinat de Kennedy ou, ce qui a été plus récemment révélé sur Arte, l'assassinat orchestré par la CIA de 20.000 nord-vietnamiens pour provoquer le déclenchement d'une guerre qui coûta la vie à 55.000 G.I. et à un million de Nord Vietnamiens). Les USA ont actionné le renversement des gouvernements à prétention sociales en Amérique du Sud (Chili et autres). L'Amérique d'aujourd'hui est celle des J.R.Ewing, cynique et totalement immorale, sous ses dehors puritains et imbéciles (savez-vous que les Etats-Unis ont été le seul pays (&&& lien vers Lanturluland) à rhabiller Sophie, mon héroïne de la série des Aventures d'Anselme Lanturlu, à part... l'Iran où dans un des albums ayant fait l'objet d'une édition pirate l'éditeur avait doté celle-ci d'un tchador).

Civilisés, nous ne le sommes guère plus avec notre politique Africaine plus que doûteuse (affaire Elf, etc) mais... à notre échelle. Dans les pays socialistes les Maffias ont pris le relais d'une nomenklatura qui vivait en symbiose avec un kgb organisé comme des commandos de la mort.

Comment voudriez-vous que les habitants des pays pauvres se tournent vers des pays qui pratiquent le meurtre, distillent la violence et tous les délires possibles dans leurs médias et activités filmographiques ? Où sont "les valeurs morales de notre "Occident", sinon celles du Veau d'Or ? Vers quel destin emmènent ces défavorisés, ces laissés pour compte de la mondialisation sinon une dépersonnalisation, une prolétarisation croissante, quand il ne s'agit pas d'une famine entretenue.

En face, des "hommes de Dieu" aux motivations discutables proposent une religion des plus simples à pratiquer, avec une tâche "sacrée" : amener les autres hommes à rejoindre ce courant, y compris par la force, voire le sacrifice délibéré de leur vie (leur interprétation du "Jihad") avec une généralisation de la Charia à l'ensemble de la planète. Au delà d'une religion (le mot religion vient de religare : relier) ils proposent une identité, ce que le système occidental leur refuse. Comment voulez-vous qu'un tel message ne gagne pas d'immenses masses populaires ?

La crise que vit le monde occidental est avant tout une crise morale. L'incapacité des pays phares ou des "pays-flics" de la planète de convaincre de leur intégrité les discrédite d'emblée et ce n'est pas le pape, en canonisant à tour de bras et en se ... comparant au Christ en croix, qui accroîtrait cette crédibilité.


27 novembre 2003

J'ai regardé deux émission ces jours derniers. Dans l'une on voyait une patrouille de marines, du 81° corps de parachutistes (celui qui avait sauté pendant la guerre de 39-45 sur Sainte Mère l'Eglise), unité qui a la réputation d'être composée de soldats d'élite. Un groupe intervenait dans une ville où les soldats "réguliers" Américains n'osaient plus patrouiller que dans leurs engins blindés. La peur s'installe là-bas. J'ai aussi lu qu'il y avait maintenant chez les soldat Américains un taux de suicide plus important que pendant la guerre du Viet-Nàm. Donc le reportage montrant les évolution d'une patrouille composée par un sergent aguerri et quelques jeunes marines, déconcertés par un genre de guerre à laquelle ils ne s'attendaient pas. On voit le sergent investir une maison de la ville, en l'absence de son propriétaire. Il fait mettre le mobilier dehors, percer une cloison. Il avance avec son fusil semi-automatique devant lui, en s'adressant à ses soldats à la manière ordurière qui est le langage standard dans les marines, comme on s'adresse à des pitbulls. Il cherche des armes et n'en trouvera qu'un, que la caméra nous montre : le pistolet à plomb, un jouet du fils de la maison.

Le propriétaire Irakien arrive, stupéfait. Le sergent se contente de lui dire qu'il réquisitionne sa maison.

- Mais, où vais-je loger ?

Ca n'est visiblement pas le problème du soldat. Ces troupes Américaines sont des toute évidence en train de transformer cet Irakien en futur ennemi, en lui crachant au visage leur plus grand mépris des populations locales. Il aurait été plus adroit de dire "Nous sommes désolés. La situation stratégique de votre domicile a fait que nous avons été contraints de le réquisitionner. Vous serez relogé, vous et votre famille, et dédommagé". Un peu plus tard le sergent déclare "si ça continue, on fera agir les bombardiers". Pour quoi faire ? Pour raser l'Irak sous un tapis de bombes ? Derrière la bestialité de ce sergent des marines, l'étendue de la bêtise Américaine, à tous les niveaux. Non, la solution ne consiste pas à tirer dans le tas. Ca n'a pas marché au Vietnàm, que les Américains ont tenté d'écraser sous les bombes. La leçon aurait du suffire. Quand on voit ce reportage on se dit que si c'est monnaie courante, alors les Américains ont le chic pour se faire haïr partout où ils posent leurs bottes.

J'ai repensé à un autre dossier, diffusé tard dans la nuit du 27 au 28 novembre 2003. Il s'agit d'émissions où les Américains évoquent des affaires criminelles, de la manière la plus malsaine possible. Dans un premier dossier on évoque l'histoire d'une jeune soldat Américain et de sa première aventure dans la première guerre du Golfe. Il avait raconté à ses parents comment il avait vu, alors qu'il n'était âge que de vingt ans, ses compagnons d'arme enterrer vivants des soldats Irakiens dans leurs tranchées, à l'aide de chars transformés en buldozers. On sait que c'est un fait d'histoire, une "nouvelle technique" qui a été expérimentée avec succès là-bas. Il se rappelait aussi des consignes données aux soldats : ne pas porter aide aux populations civiles. Ils avaient ainsi progressé dans des villages dévastés, sans répondre aux appels au secours d'enfants affamés. Par la suite, de retour aux Etats Unis ce jeune, complêtement déstabilisé, avait assisté à l'investissement brutal, à Waco je crois, des locaux où les membres d'une secte s'étaient réfugiés, plusieurs dizaines d'hommes, de femmes et d'enfants. On voyait comment la Garde Nationale avait "solutionné le problème" en tuant tout le monde et en incendiant le bâtiment au lance-flamme. On racontait que ce jeune homme avait alors rejoint des "milices" et préparé un attentat à l'explosif qui, en Oklahoma, avait fait 170 victimes, hommes, femmes et enfants, ainsi qu'un nombre considérable de blessés. Le reportage montrait des images des différentes personnes impliquées, tous des jeunes hommes. Le marin avait été condamné à mort et "exécuté par injection". Bref, justice était faite. Je suppose que les Américains ne se sont jamais demandé s'il pouvait exister un lien entre le délire meutrier de ce jeune homme et la guerre qu'on lui avait fait mener quelques années auparavant. La violence s'exporte, mais apparemment peut aussi s'importer.

Je me rappelle au passage un article que j'avais lu dans un journal Américain, lors de ma dernière visite dans le pays, en 95 je crois. On lisait dans ce journal "qu'enfin la justice s'était décidée à prononcer une condamnation à mort pour un meurtrier mineur". Disons qu'aux USA les choses se sevant, on les étale. Ailleurs on tue dans l'ombre, des gens "disparaîssent". En Tchétchénie Poutine tue les gens par dizaines à l'aide d'un explosif disposé au fond d'une fosse emplie de gens à éliminer. Tandis que, quotidiennement, des rebelles Tchétchènes font sauter ses véhicules blindés en utilisant des mines télécommandées.

J'ai aussi vu, cette même nuit, un autre reportage, totalement hallucinant, indécent de voyeurisme. Il s'agissait d'un homme d'un quarantaine d'années, apparemment d'origine thaïlandaise, accusé de violences conjugales sur sa femme, de même nationalité, celle-ci ne parlant pas l'Anglais. La femme auvait du recevoir des soins, après avoir reçu un coup de couteau dans le flanc, profond de dix à douze centimètres. Elle tente de prendre la défense de son mari, en disant "que c'était un accident" et que cet homme "était un bon mari". Mais une femme d'une trentaine d'années, le procureur, manoeuvre pour obtenir la condamnation de l'accusé. En face, le juge, une femme d'une cinquataine d'années, au cheveux grisonnants. On sait qu'aux Etats Unis les chefs d'accusation sont cumulables. On fait comprendre à l'accusé qu'il risque " 101 ans de prison" (il a 45 ans). Après avoir envisagé de plaider coupable il renonce à le faire, envisageant le risque de n'être condamné "qu'à 50 ans de prison". Le reportage est présenté en "live". Tout est filmé en direct. On précise qu'il n'y a pas de reconstitutions. On filme en particulier les dialogues de la jeune procureur avec ses collègues, guère plus âgés qu'elle. Leurs échanges ressemblent à un jeu, qui évoque la célèbre pièce de Marcel Aimé "La tête des autres". "Je pense que si tu manoeuvres comme ceci tu devrais pouvoir obtenir sa condamnation". On voit que cette femme est toute contente d'être filmée, que ceci prime avant toute autre chose. Le procès se déroule. Le "jury populaire" se prononce positivement sur les différents chefs d'accusations allégués. On apprend que l'homme était fétichiste et avait été surpris par sa femme portant des bas et un culote et visionnant des films pornographiques. Quinze ans plus tôt il avait été déjà condamné pour différentes agressions à main armée et passé déjà une bonne partie de sa vie en prison. Une querelle aurait eu lieu au domicile conjugal après que la femme ait trouvé son marin en train de visionner ces films, dans cet accoutrement, au terme de laquelle la femme aurait été blessée. L'homme opte finalement pour une version selon laquelle il se serait agi d'une blessure accidentelle, la femme étant venue vers lui avec un couteau de cuisine. Son épouse abonde d'ailleurs dans ce sens. Dans l'avant dernière séquence la femme procureur apprend que l'homme sera condamnée et exulte. Ses collègues la congratulent. Tous ont un sourire qui leur fait trois fois le tour de la figure. Ainsi la pièce de Marcel Aimé était-elle... réaliste. La sentence tombe finalement, édictée par ce juge impassible : 61 ans de prison. On emmène l'homme abasourdi, condamné pratiquement à la prison à vie pour un fait qui n'a pas entraîné de décès, mais un simple blessure dont la victime s'est vite remise. C'est d'ailleurs sur pied que la victime était venue témoigner.

Les Etats-Unis sont le pays de la démesure.

Si ces attentats du 11 septembre étaient bel et bien un affaire organisée, le vertige saisit le lecteur. On touche à l'impensable. Je ne tire pas de conclusion, me contentant d'essayer d'apporter des éléments d'appréciation. Hier un pilote de ligne m'a dit :

- Frapper un cible est relativement facile, vis à vis d'un repérage horonzontal. Un guidage GPS permet de le faire. Mais le plus difficile c'est en vertical. Une imprécision de dix à vingt mètres est alors courante, puisque le pilote automatique se base sur la mesure de la pression atmosphérique. Pour les Twin Towers c'était jouable. Pour le Pentagone ça ne l'est plus. Seul un excellent pilote, si tant est qu'il s'agissait bien d'un appareil piloté et non d'un engin guidé par une centrale inertielle pour par un système de homing, pouvait frapper sa cible avec une précision de l'ordre du mètre.

Je le pense aussi.

Il y a un autre éléments. Un lecteur, Florian Leforestier, m'a fait suivre deux clichés se référant à un décollage ou à un atterrissage raté d'un 747. Celui-ci, en bout de piste, s'en est aller se tanquer dans un fossé. Il est vraisemblable que l'impact a du s'effectuer à vitesse très modérée, en fin de freinage, comme en témoigne l'attitude de la jambe de train avant, à peine repliée. Noter la manière dont l'avant s'est trouvé écrasé. En tant qu'ancien ingénieur de l'aéronautique je sais que la partie avant d'un appareil civil est assimilable "à du papier de chocolat". Il faudrait que quelqu'un nous explique comment l'avant d'un 757 aurait pu perforer plusieurs cloisons de béton successives, lors de ce crash sur le Pentagone. .


19 avril 2004

Je n'ai pas vécu accroché à ce dossier 11 septembre au fil des mois, comme d'autres l'ont fait. J'ai reçu des mails très divers, dont un qui critiquait mes analyses. Je pense que le mieux sera que je mettre une page "lecteurs" en plaçant ces différents messages. Il y a des avis fort différents. Un type, par exemple, dit qu'il est sûr que le Pentagone a été frappé par un avion, mais que celui-ci, avant de toucher le bâtiment, aurait tiré un projectile à haut pouvoir de perforation, style tête à auranium appauvri. Ma fois, pourquoi pas ? Ce qui reste c'est que ce dossier 11 septembre est loin d'être clair. Je pense que la seule façon de tirer cette affaire au clair serait d'effectuer une simulation en reconstituant cette aile du Pentagone pour sa partie mécanique et en faisant arriver dessus un Boeing bourré de kérozène et de ... cadavres, de valises. Quand je dis de reconstituer la partie mécanique du Pentagone, pourquoi ne pas serrer au plus près cette reconstitution, en y mettant des moquettes, des placarts, des téléphones, etc. L'avion pourrait être guidé au mètre près par une balise radio. S'ils se volatilise et que tout peut être reconstitué alors la version officielle prendre de la crédibilité. Pour le moment ça n'est pas le cas.

Ce qui est quand même étonnant dans cette affaire c'est la disparition totale de tout indice. Les photos officielles produites, montrant l'intérieur du Pentagone ne sont guère convaincantes. On y voit des murs et des piliers mis à bus avec ... rien, si ce n'est quelques débris en alliage léger. Or si un avion a frappé le bâtiment il ne peut y avoir une totale discontinuité dans les destructions. Si on s'éloigne de l'épicentre du phénomène on devrait trouver des locaux "à moitié ravagés", avec des blessés, etc... Mais personne n'a pu aller enquêter sutr place. Secret Defense....

Même dans ces conditions on ne voit pas comment des photographes philitaires, accrédités su secret défense, n'auraient pas pu aller faire un reportage sur place. On imagine, quelques dizaines de mètres plus loin, une secrétaire, le visage en sang, etc. Mais là, rien. Aucune donnée.

Dans cette affaire s'oppose "conspirationnistes" et "anti-conspirationnistes". Entre les deux il y a les gens qui souhaiteraient que des éclaircissements soient produits. Ceci étant on voit apparaître de nouveaux documents. Cette fois ce sont les histoires liées aux tours du World Trade Center qui sont passées au crible. On parle d'étranges secousses sismiques, de l'effondrement bizarre d'un bâtiment voisin "déstabilisé par l'e'ffondrement des tours". Il y a des films. Effectivement ce bâtiment voisin implose sur lui-même. Il semblerait qu'il s'agisse des ... archives de la CIA. Je ne suis pas spécialiste des bâtiments, mais je ne vois pas comment ce bâtiment voisin pourrait imploser si joliement et si totalement en étant déstabilisé dans ses fondations. Pour les tours cela pourrait être expliqué par le ramollissement de la structure métallique porteuse, du fait de l'incendie intérieur, dans le puits central. Mais dans le cas de ce nouveau bâtiment, pourquoi cette implosion ? Pourquoi pas un basculement eu bâtiment, une fissuration. Non, il disparaît complètement.....

Pour résumer j'aurais envie de dire :

Le 11 septembre c'est ... magique !

On raconte énormément de choses sur cette partie World Trade Center. J'incite les lecteurs à consulter ce site :

http://www.letsroll911.org/

Il s'agit d'une vidéo qui montre les dernières séquences du vol d'un des appareils avant l'impact. On constate d'abord que celui-ci emporte sous son fuselage un étrange "pod" (un container fixée en dehors). Il est très visible. Mais juste avant que cet appareil ne frappe le bâtiment on voit un missile jaillir de celui-ci. Si le document est authentique on peut tout supposer. La thèse officielle était que des terroristes de la mouvance d'Al Quaïda s'était emparés de l'avion, après avoir sommairement appris à le piloter. On a déjà dit que ce ne serait à la limite nullement nécessaire. Les appareils ont des systèmes de pilotage automatique qui peuvent être réglés pour faire un "homing" sur un point indiqué par GPS. Latéralement la précision est alors métrique. En altitude l'appareil pour se guider à l'aide de son altimètre. L'erreur de frappe peut alors être un peu plus grand. Disons dix mètres. Mais rien ne dit que des terroristes aient été réellement à bord. La prise de contact d'un appareil en vol et son téléguidage sont des choses aisées, y compris en prenant le contrôle de son propre pilote automatique et en lui indiquant le lieu de homing, dans un avion où les pilotes perdraient alors tout contrôle, non seulement du pilotage de leur appareil, mais des communications radio.

Si l'appareil a été "préparé" il peut emporter un pod, contenant un missile, à l'insu de l'équipage, à qui on aura raconté tout autre chose. On se rappelera que cette technique du tir juste avant l'impact permet de camoufler une "frappe" en collision. Et on retrouverait une technique similaire pour le Pentagone, si un avion a effectivement frappé. De multiples scénarios peuvent être élaborés. On peut aussi faire un parallèle avec la technique d'abordage évoqué dans le dossier du Koursk, où les sous-marins américains effectuent un tir d'engin performant au contact de sous-marins, en faisant croire à une collision.


15 mai 2004 : J'ai trouvé dans le site de la société SANDIA (un des plus gros laboratoires américains en matière d'armements) une vidéo située au bas de la page :

http://www.sandia.gov/media/NRgallery00-03.htm

Ca vaut le coup de télécharger un des documents présentsé, celui qui fait 1,3 méga, par exemple. Je ne sais pas su ce document est censé apporter des éclaircissements sur ce qu'aurait pu produire l'impact d'un avion sur un bâtiment en béton. Nénamoins voici les éléments de ce document :

- Appareil : un chasseur bombardier Phantom IV
- Vitesse à l'impact : 890 k/h et non près de 600 comme on pourrait le supposer pour xelui d'un avion de ligne sur le Pentagone
- Epaisseur du bunker monté pour les besoins de l'expérience : 3 m 66
- Les résevoirs de l'appareil avaient été remplis... d'eau, car le but du test était de mesurer le pouvoir de pénétration des deux moteurs (le phantom est un biréacteur). Le rapport conclut que ce sont les moteurs qui ont entraîné de dégâts dans ce "mur".
- Apparemment, celui-ci ne devait pas être lié à des fondations puisqu'on le voit reculer de deux bons mètres.

Je ne vois pas mentionné ici "l'effet Delroux". Voir l'interprétation de cet informaticien, Jean-Sylvain Delroux.

 


 

Mai 2008 : Ce qui se passe quand un Boeing ( 707, télécommandé ) se crashe avec ses réservoirs pleins de kérosène :

Une vidéo extrêmement regardée aux USA.....

http://www.sur-la-toile.com/article-5412-Video--Crash-volontaire-d%92un-Boeing-707-commande-a-distance.html

 


29 mai 2012 ( ! ....)

EPILOGUE

 

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