Lettre ouverte à François
Bourbeau
journaliste de l'émission canadienne Contact-Choc
Mise à jour du 22 décembre 2005
15 janvier 2006 : Le journaliste François Boubeau m'attaque en justice
A monsieur François Bourbeau, responsable de
la radio Contact-Choc, Québec Lettre doublée par un mail, même date
à
Monsieur, Vous m'avez invité à m'exprimer dans votre émission de radio Contact-Choc et j'ai bien volontiers souscrit à votre invitation. L'interview s'est alors poursuivie pendant une heure trente. Lorsque j'ai pu écouter celle-ci en streaming, quelle n'a pas été ma surprise de constater que vous aviez rajouté un préambule de votre cru, puis aviez invité le journaliste français Bernard Thouanel en lui demandant également de s'exprimer à mon sujet. Quand j'ai entendu que vous me compariez à Luc Jouret, gourou du Temple Solaire, je n'ai pas relevé sur le moment, pensant qu'il ne sagissait là que de l'expression de votre sottise. Mais lors de l'émission du 13 décembre 2005 vous êtes revenu sur ce thème en allant cette fois beaucoup plus loin. Entre temps je m'étais renseigné sur cette affaire du Temple Solaire, que je connaissais mal et c'est alors que vos propos me sont apparus, ainsi que ceux de Bernard Thouanel, qui abondait dans votre sens, dans leur étendue scandaleusement imbécile et diffamatoire. Dès que nous aurons solutionné ce problème technique j'installerai sur mon site cette fin d'émission où vous me comparez au gourou de la secte du Temple Solaire, qui entraîna ses adeptes dans la mort, ce qui constitue une accusation diffamatoire de la plus haute gravité. Mes lecteurs et auditeurs pourront alors prendre connaissance de vos propos et les apprécierons. Je compte également sur mes nombreux lecteurs canadiens français pour me communiquer l'adresse de votre radio, ou votre adresse personnelle ainsi qu'une adresse où je puisse adresser également un courrier à Bernard Thouanel. Je vous trouve assez vulgaire dans votre façon de vous exprimer sur les ondes. Mais cela va me donner l'occasion de m'adresser à vous en usant justement de ce genre de vocabulaire dont vous êtes coutumier. Je vais être clair. Quand on diffame un intervenant en émettant à son endroit, dans son émission de radio, des accusations extrêmement graves, qu'on aurait tout aussi bien pu formuler "en face à face", c'est à dire lorsque celui-ci était à l'antenne, c'est "qu'on a pas de couilles". Si "vous avez des couilles", comme vous dites, reprenons, si vous le voulez bien cette interview et osez reformuler , cette fois en face, les accusations que vous avez proférées derrière mon dos, relayées par votre peu brillant assistant, le sieur Bernard Thouanel, que je vous demanderai, conformément aux usages des droits de réponse, de rediffuser prélablement sur vos ondes ( il s'agit de la fin de votre émission, lorsque vous parlez de moi en compagnie de Bernard Thouanel. J'aurai alors l'occasion de vous répondre. Si vous avez ce courage, ce dont je ne suis pas certain, vous aurez en face de vous non pas seulement Jean-Pierre Petit mais aussi le Président de l'Association Savoir sans Frontières, que vous avez diffamés conjointement. Nous sommes fiers de cette association nouvellement créée, qui s'est donné pour but de diffuser gratuitement un savoir scientifique et technique de par le monde, dans le maximum de langues, de manière totalement désintéressée. Si vous avez la curiosité de jeter un oeil à nos statuts vous verrez que notre comptabilité sera accessible en temps réel, sur site, à la fois pour les adhérents et les non-adhérents. L'état du compte bancaire sera donné au quotidien. Nos finances seront gérées dans un climat de totale transparence, à l'euro près et aucune somme, si minime soit-elle ne sera détournée du but que nous nous sommes fixés. Actuellement, tout l'argent collecté ira à payer nos traducteurs. Nous commencerons ces paiements dès que l'association disposera d'un compte bancaire sur lequel seront déposés la centaine de chèques qui nous ont déjà été adressés. Avouez qu'il s'agit là d'une situation bien singulière pour "une secte qui se monte et lance des appels de fonds" et, si on poursuit ce parallèle avec le temple Solaire, qui envisagerait à terme d'entraîner des hommes et des femmes dans la mort, après les avoir dépouillés. Si "vous avez les couilles", comme vous dites, de me réinviter sur vos ondes je pourrai apporter à l'occasion toutes les précisions souhaitées à vos auditeurs et dans ce contexte vos allégations, ainsi que celles du médiocre Thouanel apparaîtront bien ridicules. Quand vous voudrez.
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Sur http://www.ovni-alerte.com la réponse de notre courageux journaliste |
Pour mes lecteurs, voici où ils pourront écouter
l'émission concernée, du 13 décembre 2005.
Liens enlevé. Voir en pas de la page
22 décembre
2005 : François Bourbeau annonce sur son site
( mais pourquoi ne m'a-t-il pas envoyé au passage un mail ou passé
un coup de téléphone ? ) que je serai l'invité de son émission
du mardi 10 janvier 2006 à 21 heures, en ajoutant "cela dépendra
de son comportement présent et futur sur son site web". Dont
acte. Je me tiendrai donc à son entière disposition. S'il peut
résoudre ce petit problème technique je pense que, tant qu'à
faire il serait bien que le sieur Thouanel soit aussi présent lors de
ce légitime droit de réponse. Je n'ai pas l'habitude de mumurer
dans le dos des gens et quand j'ai été diffamé, je répons,
en face à face et en public.
Je lui envoie donc un mail ce jour, 22 décembre 2005, dont je reproduis ici la copie.
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Réponse de Bourbeau ( 23 décembre
2005 ) : plus, en fin de page, l'épilogue, le 11 janvier 2006
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Ma réponse ( 23 décembre 2005 ) :
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11 janvier 2006 : Perte de temps.
Bourbeau ayant fixé cette date du 10 janvier pour ce que je considérais comme l'exercice d'un droit de réponse j'ai donc passé la journée et la soirée à côté de mon téléphone en attendant son appel.
Rien...
Je n'allais quand même pas aller jusqu'à le relancer au Québec. D'ailleurs je n'avais reçu aucun mail me fixant rendez-vous pour cette date, qui avait simplement été mentionnée dans son site. Mais je ne voulais pas que ce moneieurs puisse dire " Nous avons appelé Jean-Pierre Petit mais nous nous n'avons pas eu de réponse ". Ceci étant, je ne peux pas perdre mon temps avec des affaires de ce genre. Dans ce cas précis il fallait quand même répondre, étant donnée la gravité des accusations. Bourbeau a réussi à m'avoir en interview une fois. Il n'y aura pas de seconde fois. J'ignorais à qui j'avais affaire, ayant plutôt été reçu au Québec par des journalistes intelligents et ouverts.
Il restera à s'occuper de Bernard Thouanel, qui vit à Los Angeleès et avait si bien prêté main forte à Bourbeau pour tenter de me discréditer lors de deux émissions de radio. Cela va encore me faire perdre quelques heures, mais j'ai tout le nécessaire. Un lecteur m'a envoyé les scans de son article de juin 1990, qui avait fait la couverture de Science et Vie, où il nous explique que le F-117, dont les Américains révélaient à cette occasion l'existence était le responsable de la vague d'ovnis observés en Belgique ( titre : " l'OVNI, c'est lui ! ". Un autre a extrait le texte par OCR. Dès que j'aurai un moment je mettrai cela en ligne.
Il me reste à m'occuper des états d'âme du webmaster d'ummo.sciences.org et de ce Delroux qui a créé un site http://www.ssf.int.ms ( Savoir sans Fontières International Management Site ! ) qui tend à se présenter comme le site officiel de l'association, avec au passage un lien bref avec rael.free.fr
Quand cette cohorte me laissera enfin paix je pourrai peut être me remettre à la création de nouvelles bandes dessinées et à la rédaction de travaux scientifiques.
14 janvier 2006 : Quand j'attendais comme un imbécile à côté de mon téléphone, le 10 janvier ...
Ces émission sont désormais payantes : 3 $ 99.
Ce matin j'ai pas mal de tâche qui m'attendent. Je dois m'occuper des traductions en Indhi ( un milliards de lecteurs potentiels ). Un autre traducteur m'a envoyé un fichier où hélas il y a pas mal de fautes d'orthographe ( dans sa langue, signalées par un autre traducteur ). Certains ont fait "des petites erreurs" et il faut que je remplace les pages et que je télécharge. La BD en Chinois fait 9 mégas. Je viens de m'en apercevoir. Raison : elle a été composée en nuances de gris. Ca n'est pas la faute de la traductrice. Les pages sans textes disponibles sur mon site étaient comme ça. Le bénévole qui les avait nettoyées avait resauver en Greyscale sans doute parce que ça lui paraissait plus joli. Mais ça multiplie le poids des pages par cinq. Une traductrice vers l'allemand était déjà au travail. Je l'ai prévenue et hier j'ai passé des heures à revider les "bulles" moi-même. C'était plus simple et plus rapide que de demander de l'aide à quelqu'un.
Il y a 21 langues et je ne sais combien de traducteurs. Et j'ai des tas d'autres choses à faire. J'ai une préface à écrire. J'ai 125 messages e-mails que je n'ai pas eu le temps de lire. Le soir, à minuit, extinction des feux impéritive, sinon surmenage. A ce que j'ai appris, les gourous ne foutent pas grand chose, en principe. Ils ont des tas de gens qui les servent. Trouverai-je ce week-end quelques heures pour avancer une BD sur l'électricité, pour les 12 ans, commencée il y a un mois ?
Aux attitudes d'un certain nombre de gens il faut trouver un dénominateur commun, une explication. Je crois que vous les trouverez dans les oeuvres du psychologues René Girard. Lire par exemple son livre "la route antique des hommes pervers". Dans tous ses écrits celui-ci met l'accent sur le couple :
Le désir et la haine
Quand on y réfléchit, le couplage est très fréquent. Désir, dit Girard, de s'approprier ce que l'autre possède et qu'on a pas. La notoriété, le talent, le savoir, le charisme, le succès, l'audience, n'importe quoi. Ce sentiment, quand il se développe chez un individu frustré par la vie conduit à deux attitudes qui ne sont que l'envers et l'endroit d'un même phénomène. La première réaction peut être l'adulation du fan, irrationnelle, excessive, qui peut se muer en ressentiment violent, en haine, à la moindre occasion. C'est très humain. Il est bon de connaître l'existence de ce mécanisme pour ne succomber ni à l'adulation, ni à son envers, né de la frustration et de la rancoeur. Si vous lisez Ici-Paris vous trouverez une prose, un journal qui ne vit que de l'acharnement sadique sur des personnalités "en vue". Les journalistes battent les hôpitaux pour trouvers des vedettes en mauvaise passe. La rédaction tient toutes prêtes un ensemble de manchettes standard que vous avez maintes fois lues en gros titres :
Xxxx, frappé en pleine gloire Xxxx, sa femme tremble pour lui Xxxx, il n'en aurait plus que pour quelques mois Xxxx, ça cache quelque chose, disent certains |
Ce journal se vend bien. Il est lu par des tas de gens qui se repaissent avec délectation du récit de la chute de personnalités diverses qui, souvent, furent leurs idoles. Une autre facettes est la tentative d'appropriation par un individu ou un groupoe. Tous ces comportements ne sont que des facettes de l'âme humaine. Ces comportement polluent d'authentiques gestes de soutien, des encouragements aussi sincères que discrets, mais il ne faut pas y attacher plus d'importance qu'ils ne le méritent. C'est l'épilogue de ce faisceau d'histoire peu brillantes. Mais lecteurs font vite leur tri. Tout cela n'est que perte de temps à une époque où nous avons beaucop d'action urgentes à mener.
Personnellement, je ne lis pas Ici-Paris
téléchargement 10 h 30 heure locale
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Premier février 2006 : On attend toujours une mise au point de la part de Claude Poher.
Dans une émission récente le journaliste Canadien François C Bourbeau vient d'annoncer "qu'il abandonnait tout projet de poursuites judiciaires contre moi, pour violation des lois sur le copyright". J'avais en effet reproduit en Mp3 sur mon site le passage de quelques minutes d'une émission de Contact-Choc du 13 décembre où il me comparait au gourou assassin Luc Jouret, maître de la secte du Temple Solaire, qui entraîna dans la mort dans plusieurs pays, au cours d'un suicide collectif peu clair 74 personnes, hommes, femmes et enfant. Bourbeau, qui a semble-t-il créé une fondation Auguste Meesen, a justifié sa décision en disant qu'il ne souhaitait pas que celle-ci soit financée par des actions de ce type.
L'accès à ses émission est devenue systématiquement payante ( $ 3.99 ). On a pu voir sur son site http://www.ovni-alerte.com qu'il avait lancé un appel pour que des gens lui lèguent leurs biens par testament. Les lecteur éventuellement intéressés pourront prendre contact avec lui.
Il reste un point un peu ennuyeux. Toujours dans cette émission du 10 janvier 2006, qui reste disponible en téléchargement payant ( comme désormais l'ensemble des interviews ), le journaliste aéronautique Bernard Thouanel a déclaré :
- Jean-Pierre Petit a fait passer
un accident de deltaplane pour un accident du travail afin de bénéficier
d'une pension d'invalidité.
C'est Poher qui me l'a dit.
- Je n'ai jamais eu d'accident de deltaplane - Il ne s'agit plus de sottises ou de chamailleries de cour d'école. Les propos de Bernard Thouanel me présentent comme un escroc à l'assurance accident du travail. Comme il était mineur à l'époque des faits il prétend tenir tout cela de Claude Poher, que nous avons vainement essayé de joindre par e-mail. On dit qu'il voyage beaucoup. Il faudrait que Poher nous précise s'il a réellement dit cela à Thouanel, ce que lui seul peut confirmer ou infirmer. Si ça n'est pas le cas c'est à lui qu'il incomberait alors de publier une mise au point écrite dans le site de Contact-Choc et de démarcher auprès de François C. Bourbeau pour que ces propos infamants soit retirés. A la place de Bourbeau je prendrais moi-même cette initiative. Mais je suis Jean-Pierre Petit, je ne suis pas François C. Bourbeau.
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On attend toujours une mise au point de la part de Claude Poher. Personne ne parvient à le joindre. On me dit qu'il voyage beaucoup. A-t-il réellement à Bernard Thouanel :
- Jean-Pierre Petit a fait passer un accident de deltaplane pour un accident du travail afin de bénéficier d'une pension d'invalidité.
Si c'était le cas, ça serait assez moche et s'il n'a pas dit ces mots cela signifierait que le journaliste Bernard Thouanel se serait rendu coupable de diffamation calomnieuse.
Il ne s'agit pas " de chamailleries de cour d'école ". Cette phrase est tout simplement ignoble.
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